Une affaire a resurgit tout récemment dans le milieu du showbusiness togolais, créant une vague de tension entre certains acteurs culturels. Il s’agit bel et bien du mythique problème de « paye des artistes » communément appelé « cachet » (À ne pas confondre avec médicaments keh).
Plusieurs acteurs culturels se sont exprimés sur le sujet (pour ne pas dire déchirés), dans un climat très colérique. On pouvait voir des publications et directs Facebook remplies d’accusations, d’injures et diatribes.
Qu’est-ce qui se passe ?
En effet, les artistes togolais seraient victimes d’un problème de paye de la part des grands promoteurs du showbusiness. D’après les rumeurs qui circulent sur le net, les artistes locaux seraient marginalisés et traités d’une manière rudimentaire et archaïque au détriment des artistes étrangers.
Et donc ?
Cette question qui existait bien depuis la naissance du showbusiness refait surface en créant un débat que je qualifierai de « non constructif » car à ce jour, outre les multiples injures et querelles, aucune idée, aucun opinion et aucun mouvement n’a fait l’unanimité.
La division
La problématique semble diviser l’univers très restreint du showbusiness togolais. Plutôt étonnant quand on sait que toute la classe des artistes togolais se plaint autour de la question.
Les revendications des artistes togolais pourraient-ils avoir une suite favorable de la part des grands promoteurs du showbusiness ? Les acteurs du showbusiness, pourraient-ils s’entendre sur une démarche particulière à suivre pour mettre un terme à la question ? Entre justice et règlements de comptes, le problème de cachet des artistes togolais reste à ce jour sans résultat.
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