Gnadoe Magazine N12/Gladiator : Maria Mobil


Gladiator : Maria Mobil

La chaleur de ces temps-ci…. Je ne sais vraiment plus quelle illustration choisir. Il parait que celui qui dose les degrés là-bas manquerait d’expérience. Que ce n’est pas l’ange que Dieu envoie souvent pour la tâche. En tout cas, qui qu’il soit, il n’a qu’à bien sciencer, apprendre vite son métier, parce que là c’est chaud au sens propre du terme. Mouléfao. Et j’en parle justement parce que c’est sous une température de 35 degré à l’ombre que j’étais posée au Palais Gourmand, attendant l’influenceuse qui venait de descendre de vol. Non mais c’est dire qu’elle vit entre deux avions hein la go. Elle était encore sur le tournage du clip Success Life la semaine précédente… Influamento life heinnn.

Donc j’étais là au calme et après une heure d’attente, je vois enfin une Chrysler noire garer dans le parking de Mad Complexe. Ouf enfin! Voici la guest et son agent Moussa de Lyon qui montent et s’installent.

Le phénomène Maria Mobil est dans la place. En fait, je l’avais déjà côtoyée dans d’autres circonstances sans discuter réellement avec elle. Mais là tout ce dont j’ai envie, c’est de la découvrir autrement, parler à l’humaine qu’elle est. Comprendre ses émotions, percer son mystère; qui est la brown skin girl à sensations, aux formes plantureuses, aux boobs fermes, à l’habillement osé,  aux yeux bleu-gris, qui embrase la toile depuis un moment à chacune de ses apparitions, pour chacun de ses dires ou mouvements.

Maria Mobil voit le jour à Lomé le……….. Elle y passe sa petite enfance, précisément chez sa grand-mère jusqu’à l’âge de 7 ans, avant que ses frères et elle ne rejoignent la maison de leur papa. Elle est l’ainée d’une famille de 14 enfants. Et elle précise « Mon papa ne blague pas ». Ça j’avoue bien que non.

Elle reste chez lui jusqu’à l’âge de 13 ans, puis papa décide d’envoyer sa fille au pays de l’Oncle Sam.  Maria débarque donc très jeune à New York. Je sais pas pourquoi mais instinctivement le titre New York de Alicia Keys sonne dans ma tête. Oui je sais, j’ai suivi trop de films américains ou bien. Elle séjourne chez un oncle jusqu’à ce qu’il décide de rentrer à Lomé pour des raisons personnelles.

Premier tournant de la vie de Maria. La jeune fille se retrouve donc seule dans l’une des plus grandes métropoles au monde. Elle n’avait que 14 ans. Tout de suite la question qui me vient est comment une adolescente de 14 ans fait pour s’en sortir dans un pays qu’elle ne maîtrise pas encore.  Bien entendu, ça n’a pas été une partie de plaisir. Je laisse chacun de nous imaginer un peu… Pas de papa, ni de maman, ou autre repère familial, sans compter la barrière de la langue…. Vous êtes peut-être entrain de vous demander, mais pourquoi elle n’est pas revenue avec son oncle au pays n’est-ce pas ? Eh les gars, si elle était revenue, il n’y aurait pas la Maria Mobil que nous connaissons aujourd’hui hein. En vrai Maria n’aurait même pas pu rentrer avec son oncle vu qu’apparemment son papa avait vu en elle la vie aux Etats-Unis.  C’était ça ou….ça. Un visionnaire le vieux père. Je comprends de qui Maria tient tout.

La jeune fille a donc dû faire face aux responsabilités très tôt, ceci veut dire TRAVAILLER pour se nourrir et s’en sortir.

Elle avoue avoir eu beaucoup de difficultés à s’intégrer. « Je ne parlais pas leur langue, je suis très noire, africaine, j’avais un style différent du leur, pas forcément branchée à l’époque. J’avais des difficultés pour communiquer.»

Le tout premier job de Maria a été de servir dans une cafétéria. Elle vendait également des tickets aux touristes qui voulaient visiter New York. Cette expérience  de double job qui a duré 2 ans, lui a permis d’apprendre l’anglais car petit à petit elle arrive à tenir des conversations avec les clients.

Parmi ces clients elle se souvient bien de Michel, policier et Mike détective qui l’ont soutenue dans ces moments.  C’était des personnes qu’elle ne connaissait pas, mais elle a gagné leur sympathie par sa façon de les traiter. « Les policiers adorent le café. Et lorsque je les voyais arriver, je préparais déjà leur café et ils m’adoraient pour ça. Ils savaient que je n’avais pas de famille aussi donc ils me soutenaient. Spécialement quand j’avais à peu près 16 ans, je n’arrivais pas à payer mon loyer. Ils m’ont aidée. Il y a toujours des gens  que Dieu met sur le chemin de nos vies comme des anges. Ils sont comme sortis de nulle part et toujours là au bon moment, au bon endroit ; en réalité elles font partie du plan. »

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Après cette période, Maria rencontre quelqu’un dans la rue qui lui remet sa carte de visite, disant qu’une société veut recruter. Elle le contacte donc et il lui présente alors l’affaire. Mission: aider les gens à maigrir ! « Moi-même j’étais un peu grosse à ce moment parce que avec le chocolat et tout ce que je prenais à la cafétéria, j’avais pris du poids. Je me suis mise au sport. J’aidais les gens à maigrir, à perdre jusqu’à même 100 kilos. Je les conseillais en sport, pour la nutrition … J’ai fait ça pendant 6 ans ». Bloquons d’abord. Bon peut-être depuis là je n’ai pas encore parlé du corps de Maria, vous n’êtes pas contents. La première des choses qui vous attire chez Maria c’est d’abord son corps.On voit direct que c’est une accro au sport.  Au fil de l’entretien je découvre d’ailleurs qu’elle a une grande salle de gym en Californie. Même si aujourd’hui elle ne le fait plus pour gagner sa vie, elle continue d’aider à maigrir des personnes proches à elles qui le désirent. Parfois il lui arrive de se faire encore un peu de sous avec, avoue-t-elle. Elle-même pratique toujours le sport. Quel que soit le pays où elle se trouve, Maria prend soin de se mettre en forme. Et le résultat est là : plaquettes de chocolat, taille fine, disons un corps taillé à coup de sport. Je ne voulais pas parler de son popotin, mais comme gnadoe peut vous tuer, voilà ça. Je vais faire le job. J’ai tout de suite envie de passer en mode émission où on pose des questions auxquelles il faut répondre par vrai ou faux, parce qu’il y a beaucoup d’idées reçues sur la Maria. Je vais vous éclaircir les idées une fois pour toutes sur celles concernant son corps. Allez midjo !

Numéro 1 : le gogo (les fesses) de Maria n’est pas fake.  Elle me le confirme de sa bouche.

Numéro 2 :Détrompez-vous. Ce ne sont pas des lentilles de fantaisie. Maria a subi une chirurgie pour avoir des yeux de chat. Et quand  je lui demande si elle n’a pas eu peur du danger que cela pouvait représenter, elle répond « Mais il y a du danger partout ! ». Elle a un de ces calmes olympiens qui m’impressionne carrément !

Numéro 3 : Ses seins sont refaits mais pas démesurément augmentés « Dans ma famille  on a seins, jolis seins même  » me dit-elle. Il y a du monde au balcon et c’est dans le sang dans la famille de Maria. C’est sangui…. Non non hihi. Je vais couper tranquillement le mot. C’est mieux!

Pourquoi donc faire de la chirurgie pour modeler à sa guise son corps ? Vous serez peut-être étonnés mais rien à y voir avec son job de model. C’est juste qu’elle vit en Californie, dans un milieu où on a envie d’avoir plus joli que ce qu’on a déjà. On veut améliorer ses attributs. Et Maria sur ce coup n’a pas échappé à cela. Et pourquoi être arrivée en Californie ? Tout part d’une ambition.

Après les 6 ans à New York, Maria plaque le job de Coach pour se consacrer principalement à  ce qu’elle a toujours voulu faire: être model. Elle est à fond sur Instagram, elle poste des photos très très … sexy d’elle. La Californie est décrite par Maria comme la ville où « on ne s’habille pas. »,  pour dire qu’on est toujours dans des vêtements courts,  » Là-bas tout le monde se promène comme ça.  Personne ne juge l’autre. » Alors les rues de Californie ressembleraient à une plage des Caraïbes ? Ou une ville du Brésil ?  Vous voyez le genre; Short ras les fesses, top à col très plongeant laissant voir les bouts de seins des botos, etc et…etc? Ah ça. J’en connais qui ont direct envie de prendre l’avion pour atterrir dans ce coin. Ou bien les gars ?Pointez je vais voir.

Face à ce potentiel, les contrats commencent à pleuvoir pour elle car les sociétés veulent qu’elle représente leur marque. Personnellement c’est en 2015 que pour la première fois j’entends parler de Maria Mobil comme fille togolaise vivant aux Etats-Unis, qu’on voit dans des clips de stars américaines. Ce qui les intéresse le plus souvent justement c’est ce beau noir ébène, et cette forme qui ne la laisse pas inaperçue. Je dédie la dernière partie de cette phrase à OCLT au passage.

Au compteur, Maria a tourné une centaine de clips dont ceux de stars américaines comme Akon, Drake, J-Lo, Lil Wayne,etc …et même Young Thug. Avec lui, la rencontre s’est faite dans un studio Elle y était quand il est arrivé. Après l’avoir vue, il a dit «  Toi je te veux dans mon clip ». Or Maria est une grande fan de l’artiste. Il faisait partie des stars que Maria rêvait de voir en face un jour. Et voilà qu’elle a collaboré avec lui. La joie de ça…

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Je ne pourrais parler de clips sans évoquer Jolie Amina de Ariel Sheney dont sa participation a fait un bruit sans précédent la concernant sur les réseaux sociaux. Le chanteur de coupé décalé ivoirien l’avait repérée à la cérémonie de The Heroes 228 et avait décidé de faire d’elle la figurante principale du clip du hit Jolie Amina. Et là, la toile monte au créneau. On traite la Barbie africaine de tous les noms en Côte d’Ivoire. On s’en prend à elle comme jamais. Mais ironie du sort, après cela elle s’est mise en couple avec un Ivoirien heinn. Dans cette histoire, s’il y a quelque chose que j’aime chez Maria Mobil c’est la manière dont elle s’assume. En fait, les gens, ne vous fatiguez pas. Maria ne se soucie pas de si vous l’aimez ou pas, de ce que vous pensez d’elle non plus. Tout ce que vous dites d’elle coule sur elle comme de l’eau sur le dos d’un canard. Tout ce qui l’importe c’est d’être en paix avec elle-même. Si elle m’avoue que ce self control n’a pas été au rendez-vous au tout début, elle m’en explique les raisons «  J’ai compris que les Africains pensent qu’il y a des choses que les Africains ne peuvent pas faire. Si c’était une fille américaine qui postait des photos d’elle en maillot de bain, on aurait applaudi. Avant ça me touchait quand on me disait que je suis une trainée. Mais j’ai fini par comprendre aussi que plus on parle de moi, plus je suis exposée et on me connait d’avantage »

Elle me dit carrément qu’elle a besoin de ses détracteurs pour avancer. A ce moment j’étais morte de rire.

Et qui dit faire le buzz, dit se vendre, par conséquent, se faire des sous. N’oublions pas Maria est une influenceuse et en tant que tel, je peux vous assurer qu’elle a une aura de dingue.

J’étais bien dans le studio le jour où elle et Morisson son fiancé sont passés à la TVT dans LAPOZ… Nous n’en revenions tous pas. Le studio était bondé de monde (surtout gente masculine bien sûr), venu voir la star.On n’avait jamais vu un délire dans le genre. Ce jour-là je me suis dite ouais…. Voilà ce qu’on appelle avoir de l’influence.

Pourtant cette influence n’a pas tué l’amabilité et le sens du contact chez elle. « Beaucoup de gens disent que je suis gentille et je ne connais personne qui après m’avoir rencontrée, dit du mal de moi. Même si tu m’as insultée avant notre rencontre, tu vas changer d’avis sur moi. »  Eh oui. Elle a comme ce truc-là qui fait qu’on l’aime quand on la découvre autrement que sur les réseaux sociaux. Pour moi, ce qu’elle est à l’intérieur se révèle. On ne calcule plus les  préjugés d’internet, on met de côté l’image qu’on peut percevoir d’elle lorsqu’elle s’active pour gagner sa vie. C’est bien là le revers de la médaille. Les gens ne vont pas au-delà de ce qu’ils voient. Mais Maria est une femme réellement intelligente qui sait ce qu’elle veut, qui pense avec sa tête et reste professionnelle même dans le domaine réputé vicieux qu’elle a choisi. Il ya une frontière entre ces deux aspects d’elle que peu de gens perçoivent. Et surtout, j’ai envie de dire que la tenue ne fait pas la Maria. Même si c’est difficile à croire, Maria Mobil n’est pas une fille qui exhibe juste son corps. En vrai c’est une véritable business Woman et une femme au grand cœur. Maria a commencé à investir dès qu’elle a commencé à se faire de l’argent en travaillant pour la société spécialisée dans l’accompagnement sportif pour l’amaigrissement. Elle n’avait que 16 ans à l’époque, mais avait déjà commencé à investir les gros sous qu’elle gagnait dans d’autres business notamment l’immobilier et la bourse. Vous êtes bluffés n’est-ce pas ? On passe le temps à s’arrêter sur ce qui est superficiel, sans chercher à découvrir. Et on se conforte en partageant des informations qui font le buzz. A la base Maria ne voulait pas parler de son côté entrepreneure parce qu’elle estime que quoi qu’elle dise, les gens continueront à penser qu’elle n’est que superficielle, une coquille vide. Elle adore la mode mais dit ne pas être du genre à aller claquer des sommes colossales pour des articles vestimentaires. Il peut même lui arriver de retourner certains cadeaux chers et de reprendre l’argent.  Actuellement, elle investit aussi dans l’immobilier au Togo mais le projet est toujours en cours.

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A part cela Maria est une actrice de films et séries. Le cinéma a été son tout premier rêve et l’une des raisons principales pour lesquelles elle a rejoint la Californie. Elle a été castée pour des productions de long métrage, ou des séries comme celle de Netflix ,TRANSFORMER où elle avait obtenu d’ailleurs un rôle avant de quitter le bateau.

Elle pose aussi en tant que model pour un nombre incalculable de marques de cosmétiques, de vêtement comme Fashion Nova.

Maria est une jeune femme de vision et d’ambition. «Quand je me lève le matin, ce à quoi je pense c’est comment faire pour utiliser mon statut d’influenceuse, ma notoriété pour aider le monde. J’aimerais que les gens me reconnaissent comme étant quelqu’un qui apporte son soutien aux gens.». Et elle n’attend pas. Ça fait 9 ans que Maria se consacre à une activité de charité noble : venir en aide aux enfants démunis. « Au début, j’achetais des habits aux enfants avec mon argent, je les envoyais en Afrique. Puis je me suis dit, qu’il y a des gens dont les enfants ne portent plus certains habits. J’ai donc commencé une collecte de vêtements que je donne aux enfants qui en ont besoin en Afrique. Je l’ai fait au Togo, au Sénégal,  je viens de le faire en Côte d’Ivoire. Au fait, mon objectif est d’aider un pays à chaque fois que j’y mets les pieds. Aux Etats-Unis aussi j’aide les sans-abris. Je leur achète des chaussettes, brosses, pâtes dentifrices. »

Aider rend heureuse la femme au grand cœur qu’est Maria. Vu son passé difficile, j’ai pensé que cet élan est venu du fait qu’elle a elle-même traversé des situations, mais elle m’a fait comprendre qu’il n’en était rien. «  Si tu as un cœur pour faire le bien, tu le feras ».

 

Peut-être que c’est cet autre côté d’elle qui a séduit Morisson son fiancé et mercenaire du club de FC Dallas aux Etats –Unis, qui se bat pour intégrer la sélection nationale ivoirienne.  Comme ont souvent clamé les deux, l’objectif n’était pas au départ de se mettre ensemble, mais c’est parti sur la base d’une amitié. Ils se voyaient, discutaient, rigolaient ; puis Morisson a tenté sa chance en demandant explicitement à Maria d’être sa dulcinée. Ce qu’elle a accepté. Quant à l’exposition de leur couple sur les réseaux sociaux, Maria m’assure qu’en principe elle n’aime pas ce mode de vie. Pour elle c’est de l’intimité qui ne doit pas être publiée. Et c’est l’un des points principaux qui met le couple en divergence. Et ça se comprend pour elle. Sa vie professionnelle l’emmène à s’exhiber. Elle voudrait bien profiter de ces moments au calme avec son chéri. D’ailleurs, au départ, de l’interview elle a tenu à préciser qu’elle voulait qu’on évite d’aborder le point de sa vie de couple. Quoique, comme je suis pointue, j’ai quand même demandé à Maria si elle était heureuse avec lui. Et oui. Tout se passe bien pour le couple. Enlevez d’ici vos gros yeux rouges de drosophile s’il vous plait. Il n’y a rien à gnadoetiser. Johnattan Morisson est à son sens fidèle de ce qu’elle a pu voir jusqu’à présent.

Parlant de sa belle-famille, Maria a été très bien accueillie. Sa belle-mère, l’a adoptée dès le premier jour malgré l’appréhension qu’elle avait avant de la rencontrer. Elle l’a dit. Qui la côtoie l’aime forcément.

Aujourd’hui Maria Mobil ne considère pas qu’elle a déjà accompli sa mission car comme elle le dit son rêve est d’être une grande influenceuse ; quoiqu’aujourd’hui elle n’en est pas des moindres. Cela prouve à suffisance le mental de conquérante qu’elle possède. Elle continue donc de travailler dur pour ça.

Pour tous ceux qui aimeraient comme Maria vivre de son métier d’influenceuse, la bombasse n’a qu’un seul conseil à donner «  Faites ce qui vous ressemble, ce qui vous met réellement en valeur.» Et c’est clair. Assurément, ce qui marche pour X peut ne pas marcher pour Y et inversement. Après c’est de réellement tenir le bon bout en fonction de ses potentialités et de les exploiter à fond pour obtenir ce qu’on recherche.  Je quitte cette interview avec trois choses en tête. D’abord, l’apparence est trompeuse et ensuite, évitons de juger la personne que nous voyons de loin et pour finir, faisons ce qui nous met bien sans nous occuper du reste du monde. Nous passons chaque jour à côté de tellement de choses et nous faisons des erreurs d’appréciation à cause de nos conclusions hâtives.

A bon entendeur……

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