Un homme accusé d’avoir violé une chèvre, affirme qu’elle était consentante


Un homme accusé d'avoir violé une chèvre, affirme qu'elle était consentante
Un individu âgé de 25 ans a été arrêté ce lundi pour des faits de zoophilie présumée qui auraient eu lieu dans la nuit du 10 au 11 mai.

Un homme âgé de 25 ans a été arrêté ce lundi 16 mai par la gendarmerie de Fontainebleau (Seine-et-Marne) pour des soupçons de « sévices graves et actes de cruauté sur un animal ». Il est accusé d’avoir violé une chèvre dans une exploitation agricole située sur la commune de Chaintreaux, dans la nuit du 10 au 11 mai dernier.

Un homme accusé d'avoir violé une chèvre, affirme qu'elle était consentante
L’animal a notamment subi des lésions génitales suite à ce viol (Photo : Getty Images/iStockphoto)

Selon La République de Seine-et-Marne, le suspect se serait rendu en voiture à cette chèvrerie en compagnie d’un ami qui n’est pour sa part pas concerné par la procédure judiciaire. L’escapade nocturne a cependant été filmée par les caméras de vidéosurveillance du site, produisant des preuves accablantes.

Les images montreraient ainsi le suspect « en train de mettre la main dans son short pour se masturber puis de s’approcher d’une chèvre et de la pénétrer ».

La biquette aurait alors léché l’individu, ce que ce dernier a apparemment pris pour un signe de « consentement ». Selon les informations du quotidien régional, le suspect aurait ainsi continué de la violer « durant de nombreuses minutes ». Il aurait ensuite embarqué la chèvre hors de l’étable dans le but de « la proposer à son ami », qui aurait « refusé catégoriquement » de violer l’animal.

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Il affirme qu’il « préfère les chèvres aux femmes »

Abandonné dans un bois voisin, l’animal a été retrouvé le lendemain par sa propriétaire, qui l’a amenée chez un vétérinaire. Ce dernier ayant « constaté des lésions génitales« , une plainte a été déposée.

Les gendarmes n’ont pas tardé à retrouver le zoophile présumé, qui a reconnu les faits, mais a donc également présenté cette justification désarmante selon laquelle la chèvre était consentante.

Le quotidien précise par ailleurs que l’individu, dont le casier judiciaire était vierge avant cette improbable affaire, aurait affirmé aux forces de l’ordre qu’il « préfère les chèvres aux femmes ». Il a cependant plaidé coupable pour les faits qui lui sont reprochés et devrait être jugé en novembre prochain par le tribunal de Fontainebleau.


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