Instant érotique : Le vigile (Interdit aux -18 ans)


Le vigile

Une vie sexuelle bien remplie, ne veut pas dire une vie sexuelle épanouie. Mon cursus scolaire fut assez problématique. Après l’obtention de mon baccalauréat, j’avais décidé de ne plus continuer à l’université pour me concentrer sur ma passion. Devenir artiste musicien était mon rêve, rêve que j’ai fini par abandonner après plusieurs échecs et plusieurs années à errer sans savoir comment faire pour me donner un nom dans l’arène musicale. À mes premiers essais, les réactions n’étaient pas ce à quoi je m’attendais «Tu as une voix de crapaud» «va chanter pour ta mamy» « Et ça dit vouloir chanter ? » « Mon gars, change de vocation, tu ferais meilleur prêtre que chanteur», tels étaient les commentaires, je vous épargne des plus blessants. J’eus droit à deux semaines de dépression, pendant lesquelles je n’arrêtais pas de me remettre en cause. Mes parents m’avaient encouragé et conseillé de reprendre les études universitaires, mais, plus têtu que la pierre qui a terrassé Goliath, j’avais fait la sourde oreille. Aujourd’hui j’en paie les frais. Sans qualification aucune, j’ai commencé à faire de petits boulots ça et là pour gagner mon pain, de balayeur de rue, en passant par porteur de bagage, agent d’entretien, mes parents ne seront pas toujours derrière moi pour me nourrir, je me dois de prendre les devants.

Mon père me présenta à un de ses riches amis qui cherchait un vigile à plein temps. Au début je trouvais celà banale comme Job et voulais me contenter de ceux que je faisais déjà, mais je me suis vite ravisé après avoir entendu le montant qui serait payé comme salaire. C’était l’équivalent de six fois ce que je gagnais en faisant mes petits boulots en deux mois.

Je m’étais présenté à son riche ami, qui étonnement fut assez sympathique, et je réussis à négocier des horaires de seize heures à l’aube pour le même salaire. Il me fit comprendre qu’en réalité c’était pour me tendre la main. Voilà pourquoi chaque jour je reste assis dans cette cabine, située à l’entrée de cette grande maison, les yeux rivés sur le portail. L’idée me vint plus tard à l’esprit de faire des économies et de m’offrir une ou deux formations pendant mes journées. Voilà comment je suis devenu vigile.

Un métier assez simple qui ne demande aucun effort, me diriez vous. Étant souvent d’humeur festive je finis par m’entendre avec tous les occupants de la maison, et les femmes particulièrement. Nathalie, la sœur cadette de mon patron était, elle, singulièrement attentionnée à mon égard. Organisatrice d’événements, elle avait sa propre entreprise et se faisait un pactole d’après ce qu’elle m’avait dit. Pendant ses journées libres, elle passe tout son temps à mes côtés dans la cabine en discutant de tout et de rien. J’étais devenu presque un membre de la famille. Nathalie me dépassait de huit ans et dans ses propos je percevais sa maturité et sa détermination. Elle était la plus belle de la famille et son créateur l’avait muni de tous les accessoires qui pouvaient rendre fou un homme du premier regard. Elle me raconte assez souvent comment de dizaines d’hommes lui faisaient des avances et sa réponse était toujours la même, un NON catégorique et sans appel. Je vins à me demander pour qui elle se réservait. Tout portait à croire que j’étais l’heureux élu. Elle m’apportait régulièrement de petits cadeaux et avant de s’en aller me posait une bise sur la joue juste à côté de mes lèvres. Je finis par voir clair dans son jeu, mais hors de question pour moi de me faire la sœur du patron, ce boulot était pour moi une grande opportunité de mettre beaucoup d’argent de côté, et même si elle me fit clairement savoir qu’elle se chargerait de payer mes frais de formation, je ne voulais pas prendre le risque. Hors de question de poignarder dans le dos celui qui m’a tendu la main.

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Alice, la fille aînée du patron, et moi partageons la même passion qu’est la musique. Elle vient quelques fois dans ma cabine pour discuter musique et demander mon avis. Et celà, toujours en l’absence de sa tante. Elle n’est pas aussi belle que Nathalie mais entre nous il y a une sorte de tension sexuelle qui régne lorsque nous sommes tous les deux dans la cabine. Le sex-appeal entre nous s’intensifia lorsque je commençai à éprouver pour elle, des sentiments que je me faisais violence pour refouler. Elle était étudiante et je lui était aîné de quatre ans.

Toute la famille quitte tôt la maison pour aller au boulot et ne revenir qu’entre vingt-et-une heures et vingt-deux heures. À part les domestiques, Alice et Nathalie étaient plus souvent présentes. Un jeudi, Alice n’eut pas cours de la journée, elle vint me rendre visite dans ma cabine et apporta de petits gâteaux qu’on dégustait en discutant et en riant comme de vieux amis.

Alice : J’ai quelque chose à te dire (la mine sérieuse)

Moi : Je t’écoute, dis moi ce que tu veux. Je suis comme un grand frère pour toi (en me rapprochant d’elle)

Alice : Je vais être directe. Je suis amoureuse de toi, tu me plaîs beaucoup. Et le fait que tu m’appelles tout le temps petite sœur me rend malade (en me fixant dans les yeux)

Moi : Euuhh, je sais pas quoi dire. C’est grave ce que tu me dis là.

Alice : Grave en quoi ? Je ne te plaît pas c’est ça ? Je suis trop jeune pour toi ? Tu préfères les femmes mûres avec de grosses fesses et de gros seins ?! Des femmes qui ont un catalogue d’hommes qui les baisent ? De femmes comme ma tante.

Moi : Holà holà, calme toi petite sœur (en lui tapotant les cuisses)

Alice : Tu m’appelles encore petite sœur (en se levant pour prendre sa route)

Moi : Ce n’est pas ce que je voulais dire. Ta tante est une très belle femme et on s’entend à merveille, elle ne demeure néanmoins qu’une amie.

Alice : Comme moi ?

Moi : Alice, tu es une très jolie fille et les mecs doivent te courir après mais entre nous il ne peut rien y avoir, tu es comme une petit sœur pour moi. Ton père est mon patron et je ne veux pas perdre mon boulot, c’est tout ce qui me reste.

Alice : Donc tu me friendzones c’est ça ?

Moi : Nonnnn, tu me plaîs beaucoup également mais il ne peut rien y avoir entre nous.

Bien que ça me fasse mal, il fallait que je mette les choses au clair. Elle resta assise et pensive pendant un moment. Ses yeux commençaient à se mouiller de larmes. Un sentiment de remords commençait à m’envahir. La sonnerie se fit entendre, ce qui fit sortir Alice de ses pensées. Je prends un petit gâteau que je croque à moitié et m’en vais ouvrir le portail. C’était Nathalie qui est rentrée plus tôt que prévu.

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Nathalie : Ça va mon chéri ? (En entrant dans la maison)

Moi : Oui ça va et toi ? (En la laissant entrer)

Nathalie : Tiens je t’ai apporté un petit truc.

Moi : Merci pour l’attention, c’est gentil.

Je prends le paquet de ses mains et je remarque que c’était les mêmes petits gâteaux qu’avait apporté Alice, un peu plus tôt. Étonnant. Nathalie se dirige vers les appartements, en passant devant ma cabine elle jeta un regard à l’intérieur et vit Alice entrain de manger les mêmes petits gâteaux qu’elle venait de m’offrir. Elle piqua une grosse colère.

Nathalie : QU’EST CE QUE TU FOUS LÀ SALE GAMINE ??

Elle se dirigea vers la cabine à grands pas et une violente bagarre éclata entre La fille de mon patron et sa tante. Elles ne se faisaient pas de cadeau. Elle se criaient dessus, se lançaient de sales mots et se tapaient dessus. Elles faisaient un tel boucan que les autres domestiques en furent alertés et vinrent profiter du spectacle. Étant le sujet de discussion, je m’insère entre elles et j’essaie de les séparer. Ah, ce ne fut pas facile. Leurs coups me tombaient directement dessus. Gifles par ci, coups de poings par là. Mes gémissements et aïe de douleur ne les arrêtaient pas. Je fus copieusement molesté et mon supplice fut arrêté par un coup de genou qu’Alice envoya à sa tante. Sans savoir ce qui allait suivre, je me retourne pour faire face à Alice et je reçois un violent directe du genou droit entre les parties. Je pousse un cri de douleur et je plaque mes mains sur les parties avant de rejoindre ma cabine sans plus dire un mot. La bagarre s’arrêta net. Elle me suivaient en s’accusant mutuellement et essayaient de me réconforter.

Les jours qui suivirent cet événement ne furent pas les plus heureux. Personne n’avait touché un mot au patron, une tension d’agressivité s’installa entre elles et chacun faisait son possible pour attirer mon attention et dénigrer sa concurrente au passage. C’en est devenu lassant et étouffant. Chaque soir je vis avec la crainte que mon patron découvre ce qui se trame en son absence.

Tout allait pour le mieux, jusqu’à cette fameuse nuit qui mit fin à mon job de vigile. Déjà trois mois depuis la bagarre et six mois que j’avais commencé ce boulot de vigile. Chacune d’elles essayait de me conquérir, petits cadeaux par ci, petits cadeaux par là. Je sentais des intentions d’amour dans les gestes d’Alice, qui m’offrait tantôt des petits biscuits tantôt des rafraîchissements, plutôt que ceux de Nathalie qui n’étaient que matérialistes même si j’avais droit à un nouveau téléphone, des billets de banque neufs, des monstres de marque…
Il était plus de vingt trois heures, tout le monde dormait déjà, à l’exception d’Alice qui sortit en douce de sa chambre pour me rejoindre dans ma cabine. Ennuyé j’avais téléchargé des vidéos pornographiques que je matais, les écouteurs dans les oreilles. J’étais tellement concentré, la tête baissée que je ne remarque pas Alice entrer dans la cabine et se placer derrière mon siège.

Alice : Tu as l’air d’apprécier, en plus tu bandes.

Je fus si surpris que je sursaute du siège en faisant tomber le téléphone.

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Moi : Mais Alice, que fais-tu ici à cette heure ? (En reprenant le téléphone sur le sol)

Alice : Shuuut, parle pas si fort. Tu risques de réveiller les autres.

Moi : Tu fous quoi ici ?

Alice : Tu me manques et j’arrive pas à dormir. Ça tombe bien ça nous divertira.

Moi : Quelqu’un risque de venir et te surprendre ici.

Alice : T’en fait pas. Ils dorment tous déjà. Continue la vidéo, moi aussi je veux voir.

Moi : Prends une chaise alors.

Alice : Non non, je préfère rester debout derrière toi.

J’étais un peu gêné à l’idée de continuer la vidéo, je n’avais pas vraiment le choix non plus. J’appuie sur play et la vidéo se mit à rouler. Une autre vidéo commença et Alice se mit à imiter l’actrice. Elle passe ses mains sur mon corps et commence à me caresser. Dans un premier temps je lui attrape la main pour l’arrêter, laisse toi faire, me souffla t’elle à l’oreille. Les vidéos avaient décuplé mon envie et face à ses caresses je n’arrive pas à opposer de résistance. Elle passa sa main sur tout mon corps, ce qui me fit frissonner. Sa main plongea dans mon pantalon et je lâche un petit gémissement. Je n’arrivais plus à suivre la vidéo. Mon sexe devint plus dur et je n’avais qu’une seule envie, la prendre et lui fourrer la bite dans la chatte. Elle continua de me caresser et je finis par me lever du siège. Je vais me placer derrière elle et sans un mot je fais coucher le haut de son corps sur la table, en mode levrette. Elle avait l’air d’apprécier. Je remonte sa robe de nuit et je découvre un magnifique cul nu qui me donnait plus envie de la pénétrer. Je sors ma bite dure par le trou de fermeture et je la frotte, avec ardeur, contre sa chatte. Elle se mordille les lèvres et me dit de la pénétrer. Elle ne le dit pas deux fois avant que je n’insère ma bite dans sa chatte. Je la pénètre profondément jusqu’à me trouver complètement en elle. Je place une main sur sa bouche pour l’empêcher de gémir bruyamment. L’intérieur de sa chatte était humide et chaude, un plaisir inédit. Je commence à faire de lents va et vient et j’accélère au fur et à mesure. Mes coups devinrent plus rapides et plus puissants. Je la tamponnais vigoureusement pendant de longues minutes et je sentis mon plaisir se décupler. Je n’eu pas le temps de sortir ma bite et je jouis en elle. Sous l’effet du plaisir, je serre les dents qui s’exposaient à l’air, je lève les yeux vers le plafond pour profiter de cet instant magique.

Soudain, Nathalie fit éruption dans la cabine et vit sa nièce se faire prendre en levrette sur une table. Elle ne réagit pas mais les mots qui sortirent de sa bouche furent les plus glaçants depuis que je la connais.

Nathalie : Profite bien de cet instant à jouir en elle et à sourire comme un chimpanzé car c’est ta dernière nuit dans cette maison.

Mon cœur fit un bon dans ma poitrine et ma bite se ramolli comme par enchantement. Les paroles d’Alice furent pour moi réconfortants, «T’inquiète pas, on se débrouillera pour payer ta formation»


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