La Côte d’Ivoire est souvent qualifié comme le carrefour du showbiz Ouest-Africain. Plusieurs stars internationales ont compris cela, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle ces stars y organisent de géants concerts. Ce pays est réputé pour son professionnalisme en matière de buzz et de promotion musicale. Et pour cela, plusieurs artistes français s’y rendent, histoire de réussir à conquérir ce public fantastique.
Ce qui est remarquable, c’est que, de la même manière dont le public ivoirien peut soutenir un artiste à 100%, c’est de cette même manière qu’il peut aussi se détourner de ce dernier. C’est le cas du rappeur français, Gims, à qui le public ivoirien promet une séance de bastonnade, s’il remet pied sur leur territoire.
Gims, bientôt boycotté en côte d’ivoire
Lors du décès du premier ministre Hamed Bakayoko, plusieurs artistes internationaux ont fait des publications pour honorer sa mémoire, parce qu’il fut un grand homme qui soutenait les artistes. Certaines célébrités comme Samuel Eto’o, Fally Ipupa, Adebayor Sheyi, Didier Drogba, etc… ont même fait le déplacement pour assister aux obsèques de ce grand homme. Malheureusement, du côté de Gims, c’était le silence radio. L’artiste n’a pas répondu présent, alors qu’il y a de cela quelques mois qu’il s’était rendu en côte d’ivoire pour organiser un concert. Les ivoiriens ont donc commencer à indexer l’artiste pour son »ingratitude » à l’égard du showbiz ivoirien.
La réponse de Gims
Ce fut la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Suite à ces critiques, beaucoup s’attendaient à ce que le rappeur fasse une publication pour s’excuser pour son absence. Mais ce ne fut pas le cas. L’artiste a plutôt publié une photo de lui, tout en prenant soin de laisser un message subliminal.
Les Ivoiriens n’ont pas digéré ce geste. Dans les commentaires, ils ont promis lui faire passer un sale quart d’heure, s’il mettait pied en côte d’ivoire dans les prochains jours.
Nous attendons de voir si Gims fera une nouvelle publication en guise de réponse. Continuez de vous abonner à Gnadoe Magazine
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