Mon répétiteur est une série d’histoires publiée chaque vendredi nuit par Tony Hemrix. Restez câblés pour la savourer. Formellement déconseillée aux moins de 18 ans. Bonne lecture.
Pour rendre ses temps libres utiles, son père lui recruta un répétiteur d’anglais vu que ce fut son choix après son admission à l’UL ( université de Lomé ). Tania tombée sous le charme de son répétiteur, n’hésitera pas une seconde à passer à l’action pour séduire ce dernier.
Tania toute excitée, sa fendue toute mouillée réclamerait le membre de son répétiteur. Tout ce qu’elle voudrait c’est sentir sa verge dans son entrejambe et jouir comme dans son fantasme.
Mon répétiteur Chap 12 :
Elle commençait par me saouler avec ses manières, vraiment elle est casse-pied , on ne lui donne pas la main , elle veut tout le bras ensuite par la suite.
Je ne l’avais jamais vu aussi emmerdeuse !
Subitement j’entendis quelqu’un m’appeler.
– Tania ! Tania
C’était ma mère……
-Oui maman… Lui répondis-je à haute voix.
Ah là ! Il fallait que je file avant qu’elle ne pense même à venir sur notre lieu de crime.
Je sortis des toilettes en toute vitesse pour aller dans la cuisine mais imprévisiblement elle me coinça au salon.
D’un regard d’étonnement, elle demanda :
– D’où tu viens ? Et pourquoi as-tu l’air si bizarre ?
– Euh….
– Que me caches tu jeune fille ?
– Euhhhh… rien maman, j’étais juste allé dans les toilettes…
– Toilette ! Ta copine n’y était pas?
– Euh oui, et baahh oui oui j’étais justement allée lui remettre du papier hygiénique. L’ancien était fini .
J’essayais de la convaincre pour ne pas éveiller ses soupçons.
Elle me regarda bizarrement puis me dit :
– Je vois… Euh je crois que le riz est en train de brûler !
– Si si maman, c’est pour ça que je courais tout à l’heure même. Maintenant j’y vais avant que ça ne crame totalement.
Elle me fit un geste de tête qui confirmait son accord.
Je partais dans la cuisine quand j’ai vu ma mère prendre le couloir qui mène vers les toilettes dans laquelle se trouvaient mon Répétiteur et Méli .
Je la regardais sans même savoir ce que j’allais faire mais il me fallait un plan au plus vite sinon je serai cuite comme un légume.
Je pris alors la décision de l’espionner vu que c’est la première idée qui m’est venue en tête.
Je marchais sur le bout de mes orteils pour ne pas me faire démasquer. Dans ma pensée :
– vraiment si maman va là-bas, c’est que c’est mort hein.
Je chassais cette pensée qui encore m’embrouillait. Mon cœur battait tellement vite et mes pieds tremblaient aussi vu que tout mon poids reposait sur mes orteils.
J’espionnais toujours maman, et poussée par je ne sais quelle force, je glissai sur la moquette du salon en voulant plus me courber pour voir de loin et c’est ainsi que je me vis par terre.
J’avais glissé et cogné fort ma nuque à l’un des fauteuils du salon.
Je passais ma main sur ma nuque puis je constatai que je m’étais gravement blessée et le sang commençait à couler.
J’eus une peur bleue qui m’envahit bizarrement puis je me mis à crier :
– Maman ! Maman!
J’étais allongée à terre quand elle accourut à toute vitesse ; toute inquiète pour voir ce qui n’allait pas avec moi.
– Tania qu’est-ce que tu as ? Pourquoi crie-tu comme cela ?
Mais tu saignes ! Qu’est ce qui t’est arrivé ?
– j’ai glissé sur le tapis maman.
– Oh non chérie tu dois faire attention à toi okay ! T’es là seule qui me reste, alors sois prudente. Donne-moi un instant je vais chercher ma trousse de secours.
-D’accord maman… J’ai compris.
La daronne partait amener sa trousse quand Méli sortit curieusement des toilettes.
– Mais que t’est-il arrivé Tania ? Je viens d’entendre tes cris.
-putain va te faire foutre… tout c’est de ta faute Mélina. Si seulement t’avais faits ce que je t’avais dit je n’en serai pas là avec cette blessure….
– Mais Tania c’est pas la première fois qu’on se partage le même mec alors pourquoi t’es si accrochée à ce répétiteur !
– Hééeeee tsuust, ça va pas non. Tu ne parles pas de lui comme cela d’accord ? Même si je n’ai pas passé beaucoup de temps avec lui, je sais qu’il est différent des autres.
– Euh ne me dis pas que tu es amoureuse du gars.
– Et si c’était le cas ?
– Ah ça, ma chérie ça m’intéresse !!!
– J’avoue que oui raison pour laquelle je ne voulais pas le partager avec toi Méli.
À cet instant même on entendit les pas de ma daronne qui revenait et rapidement on changea de sujet.
Maman me souleva et me fit les soins avec de l’alcool et quelques pommades. Elle me donna ensuite quelques médocs et disais à Méli :
– Amène ton amie dans sa chambre. Les médocs que je lui ai donnés vont l’aider à dormir pour prévenir les maux de tête et les vertiges… et ne vous inquiétez pas. Je vais finir la cuisine s’il y a encore quelque chose à sauver sinon je me débrouillerai pour avaler quelque chose. Ton père a appelé et disait qu’il ne peut plus rentrer parce qu’il est déjà 20h dépassé. Donc pour éviter cette histoire de couvre-feu et les emmerdements des policiers il préfère dormir à l’hôtel.
-D’accord maman… Mais ces derniers temps papa reste trop au dehors pourquoi.?
– Hum Tania, ton père a commencé ses manières là ça fait de cela trois mois.
– Hum il s’est dégoté une nana ou quoi !?
– C’est lui seul qui sait et c’est son problème. Bon Méli fait monté ton amie.
Méli m’aida à monter dans ma chambre.
Pendant tout ce moment j’avais mes idées sur mon Répétiteur qui était resté seul dans les toilettes.
« Qu’en est-il de son sort ? » Fut la question que je me posais.
Un coup j’eus une petite idée…
Méliiii et si tu faisais monter le répétiteur dans ma chambre !? Vu que maman est à la cuisine et que personne n’entre dans ma chambre, je crois qu’il sera plus en sécurité ici.
-Euh t’as raison… Ok pas de soucis comme tu veux.
Quelques minutes après, Méli est revenue seule avec un air bizarre et stressé
– Mais qu’est qui t’arrive ? Et mon répétiteur !?
– il n’est plus dans les toilettes ?
– Quoi ! t’es sérieuse ?
– mais je mentirai pourquoi !!!
– Mais comment… Où a-t-il pu aller ?
Ou bien il s’est enfuit ? mais par où ?
– Je ne sais pas trop. Peut-être par la fenêtre des toilettes ou soit par la porte du salon étant donné que ta daronne est scotchée à la bouffe dans la cuisine…
– je n’ai même pas son numéro pour l’appeler et être sûre de sa position… Merde !…
Mais bizarrement depuis ce jour, je n’ai plus revu Moïse, mon Répétiteur charmant, élégant aussi doux que ce dont je tais le nom.
Mais je compte vivement le revoir car je n’arrête pas d’entendre toujours ces gémissements dans mes oreilles et de repenser à ses coups de reins strictes qui me faisaient perdre la tête…
Fin…
TOME 2
Je m’appelle Vanessa, euh j’ai pas besoin de vous dire mon âge mais c’est moi la maman de Tania.
Vous devriez vous poser des questions sur la disparition subite du fameux répétiteur n’est-ce pas ?
Ce fils de pute qui est censé répéter avec ma fille mais qui au contraire la prenait par le cul. Eh baah…. J’en savais rien. Mais j’étais curieuse des vas et viens des filles dans ce couloir-là qui menait dans les toilettes des visiteurs.
Ça fait un moment que mon mari me fait ce truc là de *Jack où es-tu*. Il rentre rarement à la maison et pire encore notre lit conjugal est resté vide et est rempli que de poussières. Putain mais j’ai qu’une seule fille et je suis encore en forme. Je n’ai ni une chatte fanée ni une chatte ovale. J’ai le minou en popodipo (au calme et en forme) qui peut bel et bien se mouiller comme celle d’une pucelle. Et pourquoi cette sécheresse dans ma fendue ?
Je suis en manque depuis un bon bout de temps et j’ai toujours rêvé trouver une bite pour me réanimer et me rajeunir. Je voudrais une bite qui pourrait bien redressée mes nerfs.
Lorsque les filles étaient montées, j’avais ressenti bizarrement une envie forte de faire le besoin et comme c’était les seules toilettes qui se trouvaient en bas, j’avais préféré me détendre là.
Et par surprise qui vois-je ? Un beau jeune homme au teint clair et clean avec une grosse bite tendue comme un pilon. <<« Putain mais il ne manquait plus que ça »*. >>
– Qui êtes-vous ?
– Euh Madame c’est moi qui suis le Répétiteur de Tania.
– Je vois. Et que faites-vous ici dans ces toilettes tout trempé ?
– Hum c’est une longue histoire Madame.
– Euh attends ne me dis pas que c’est ce que je pense qui s’est produit.
– Pour être franc, oui madame. Et je crois c’est vos deux filles qui m’ont violé.
– Violé ?
– Oui elles ont abusées de moi et ont profité sans réserve de ma belle bite. Je compte les convoquer à la gendarmerie.
– Quoi ? Ma fille ?
– oui d’ailleurs laissez-moi partir
– Non tu n’iras nulle part je crois que j’aurai ma part aussi. Ça fait un moment que je n’ai plus vu une si grosse bite. Je la prenais souvent quand j’étais encore jeune fille. Je rêve de voir ce pilon piler cette chatte assoiffée. Je vais t’installer dans la chambre des invités afin que tu puisses prendre une douche.
Je le fis sortir discrètement des toilettes et l’installais dans la chambre des invités puis fermais la porte à clef.
– Je fermerai la porte et garderai soigneusement la clef de mon côté et je passerai te voir une fois la cuisine terminée.
C’était ainsi qu’elles avaient perdu de vue leur fameux répétiteur.
Qui jouera le Tome 2 de sa carrière de répétition dans la chambre des invités.
Et j’espère que je ne vais pas l’enterrer ce soir par que là j’ai grave soif. Tout ce que je voulais c’est finir la cuisine et aller m’assoir sur cette bite qui me faisait déjà mouiller et me donnais des fantasmes.
À suivre….
0 Comments