Mon répétiteur-Chap 5 : prise à mon propre piège (déconseillé aux -18ans)

Mon répétiteur est une série d’histoires publiée chaque vendredi nuit par Tony Hemrix. Restez câblés pour la savourer. Formellement déconseillée aux moins de 18 ans. Bonne lecture.

Pour rendre ses temps libres utiles, son père lui recruta un répétiteur d’anglais vu que ce fut son choix après son admission à l’UL ( université de Lomé ). Tania tombée sous le charme de son répétiteur, n’hésitera pas une seconde à passer à l’action pour séduire ce dernier.

Tania toute excitée, sa fendue toute mouillée réclamerait le membre de son répétiteur. Tout ce qu’elle voudrait c’est sentir sa verge dans son entrejambe et jouir comme dans son fantasme.

Chap 5 : prise à mon propre piège

– S’il te plaît ne me refuse pas ça. Je n’ai pas envie de me masturber après ton départ. Regarde ma chatte. Regarde la manière dont ça coule. Elle est toute humide. Plonge ta verge en moi. J’en ai tellement envie Teacher. Fais-moi jouir avec ta queue.

J’étais prête à tout le soir-là juste pour faire tomber mon répétiteur et le voir entre mes jambes.

C’était comme si je deviendrais folle s’il ne me défonçait pas cette nuit là.

Je plongeai sa bite dans ma bouche et la lui suçait comme une assoiffée.

Sa verge devenait de plus en plus dure et chaude. C’était un truc vivant dans ma bouche. C’était trop délicieux sa queue.

Je la suçais tellement bien la bite qu’il commença à y prendre goût à son tour. Il serra fort mes cheveux et me baisait la bouche. Ses coups faisaient toucher sa verge au fond de ma gorge. Il était trop doux autour de ses reins et je lui caressais les couilles à mon tour.

Sa verge était tellement belle à voir que j’avais envie de m’amuser avec. Je me mis à genoux puis plaçai sa bite entre mes seins. Sa bite était tellement chaude que ça me donnait de la chaire de poule.

Je ressentais la douceur de sa bite entre mes seins et voyais encore sa beauté de plus prêt. Quel spectacle ! Le liquide séminal qui sortait de sa bite me lubrifiait les seins et facilitait ses vas et viens. Pour que ça soit plus glissante, J’ai mis abondement de salive entre mes seins afin que sa bite soit plus glissante à l’intérieur

Je me levais et lui serrais fort la tête et approchais mes lèvres des siennes. Ces lèvres étaient tellement confortables et fragiles que je ne pouvais m’arrêter de l’embrasser.

Je me serrais fort contre lui et frottais mon corps contre le sien afin de sentir sa chaleur en moi. Je ressentais tellement l’envie qu’il me baise et me défonce le soir-là.

– Arrête Tania. Tes parents pourraient rentrer à tout moment. Il faut que tu arrêtes ça sinon tu me causeras des ennuis. Ne me tentes pas s’il te plaît.

– Ils rentrent toujours tard alors perdons pas d’temps d’accord !?. Allez viens là et plonge ta bite dans ma chatte. Aller viens là…. _lui disais-je toute hypnotisée par l’envie de me faire défoncer_

Je posais mes deux mains contre le mur et poussais mes grosses fesses en arrière vers mon répétiteur.

– Oh non ! T’as un cul formidable Tania. C’est tout rond et t’es hyper sexy. Mais je ne peux pas te faire ça ma puce….

– Me laisse pas dans cet état Moïse. Je tomberais malade si tu me laissais comme ça.

– Okay comme tu veux. Une occasion non profitée est un péché alors je crois qu’il est temps pour que tu puisses exaucer tes vœux.

Il lubrifia le gland de sa verge avec ses salives pour l’introduire en moi.

– T’as pas besoin de faire ça Moïse. Je suis déjà toute humide. Ça glissera jusqu’à l’intérieur. Je jouirai de chaque millimètre de ta verge.

– Je ne veux plus entendre tes gémissements Tania. Ils sont trop magiques et m’empêchent de m’abstenir de fondre trop vite en toi.

Pendant tout ce moment, la tête de sa corne flottait légèrement mon corps.

C’était comme si c’était un serpent qui me frottait sur le corps. J’eus la chair de poule ; ce qui me rendait encore plus mouillé.

Tout mon corps devenait rouge et ma chatte tremblait d’envie d’exploser comme un château d’eau. Il plaça sa corne au bout de ma chatte et l’introduisit en moi.

Mais bizarrement, je sentis comme si ma chatte ne pouvait pas avaler sa corne.

<<Mais pourquoi donc ?>> _me suis-je demandé._

À vue d’œil mon professeur n’avait pas une si grande verge. C’est là que je me suis souvenu que j’avais fait au départ un mauvais calcul sexuel. Moi qui croyais sursauter sur sa corne !

Il me retourna et me mit à terre afin de bien me pénétrer. Je m’allongeais à même le sol dans les toilettes.

Il écarta mes deux jambes et remettait sa tige en moi après avoir mis des tonnes de salives sur sa bite et aux lèvres de mon vagin.

Sa verge devenait de plus en plus gros, chaque fois qu’il essaya de le faire entrer dans mon vagin.

À cet instant, c’était comme si je faisais face à mon destin.

Mon répétiteur avait respiré un bon coup et sur son visage, je lisais une grande détermination d’en finir avec moi sur le champ.

Il contracta ses muscles abdominaux pour pouvoir bien diriger toute sa force de frappe sexuelle vers le bas de son bassin afin de s’assurer que je serai bien réceptive à accueillir sa tige mielleuse.

D’un coup très rapide et très précis je sentis son bassin se heurter contre le mien, mais ma chatte n’a pas pu avaler complètement sa corne.

C’était juste le bout de la tête qui s’y est introduit. En ce moment je le suis rappelé de l’adage qui disait : *Un enfant peut s’amuser avec les seins de sa maman mais pas avec les couilles de son père*.

C’était comme si j’avais fait appel à ma propre mort. J’ai senti un grand mal en moi.

Mon répétiteur a du matériel en bas. On dirait qu’il a aussi fait des recherches pour être bien au point au niveau de son sexe que son cours de répétition anglaise.

À cet instant j’ai voulu me dégager pour pouvoir reprendre mon souffle. Mais il était déjà trop tard pour moi.

Mon professeur était en train de se préparer pour me donner un autre coup de rein.

Tellement il grinçait les dents que même si je l’interpellais en ce moment ça aurait été peine perdu.

J’avais mes deux mains sur sa poitrine, je sentis que mes forces me quittaient mais la douleur était énorme et je ne m’étais pas encore préparé pour recevoir un deuxième coup de rein.

C’est là j’ai eu l’impression que sa corne allait faire de ravages dans mon minou qui s’est trompé en fin de compte.

Il sourit ????et me dit :<< Tu es prise dans ton propre filet ma petite élève. Tiens bon pour recevoir le complet. Je crois que tu peux maintenant dire adieu à ta séduction>>.