C’est vraiment impensable d’apprendre qu’un perroquet puisse être appelé à témoigner dans un procès pour avoir été témoin du meurtre de sa propriétaire. Mais que s’est –il réellement passé ?
C’est l’histoire d’Elizabeth Toledo, une argentine de 46 ans, retrouvée nue et sans vie sur un matelas dans un appartement situé à Buenos Aires (San Fernando, Argentine). Le comble est qu’à côté de son corps, se trouvait son perroquet dans une cage.
Selon le récit, Elizabeth Toledo aurait été violée et assassinée par ses deux colocataires, Miguel Saturnino Rolon (51 ans) et Jorge Raoul Alvarez (62 ans). Les deux sont donc accusés et jugés pour viol et meurtre.
Au cours des enquêtes, un officier de la police a affirmé avoir entendu le perroquet de la défunte prononcer ces mots : « Ay no por favor soltame ! ». Ce qui signifierait « Ah non, s’il vous plait, laissez-moi partir ! »
Selon les interprétations de la police, le perroquet aurait répété les dernières paroles d’Elizabeth pendant qu’elle se faisait violer et bastonner.
Cependant, le procureur chargé de l’affaire aurait inclus d’autres preuves de morsure, d’ADN et notamment les propos d’un voisin qui confirme avoir une fois entendu le perroquet dire « por qué me pegaste ?* (Pourquoi m’as-tu frappé ?) », après que l’un des coupables ait levé la main sur la victime.
En tout cas, cette tragique histoire nous montre qu’il n’y a pas que les hommes qui peuvent être témoins mais les perroquets aussi.
Alors mes Gnadoè peeps, que pensez-vous d’une possession de perroquet chez soi à la maison ? Chico est disponible si vous y mettez le prix.
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