Il s’appelle Komlanvi M. AVITSO originaire du Togo, accusé pour aggression sexuelle au premier degré dans l’Etat d’Omaha grâce à l’ADN et les données d’un téléphone.
Avitso travaillait comme conducteur de taxi chez Lyft ( une entreprise de voiture), lorsqu’il a arrêté une femme de 24 ans. Cette dernière s’est rendue à la police plus tard en soupçonnant d’avoir été sexuellement agressée à partir des «bribes et morceaux».
Les détectives ont retracé le parcours de la femme, qui se disait intoxiquée, d’un bar du Vieux Marché à son domicile. Les données de son téléphone portable, de la vidéo de surveillance et des enregistrements de conduite de Lyft ont été rassemblées.
Selon la detective Melissa McDermott, la femme avait été arrêtée au bar par un chauffeur du Lyft à 12h35. À ce moment-là, la femme se trouvait à environ six pâtés de maisons de chez elle. C’est après qu’elle a été récupérée par un deuxième conducteur de Lyft, identifié par des enregistrements comme étant Avitso, devant la station-service à 1 h 25. Les données téléphoniques de la femme indiquaient que le véhicule circulait autour de Omaha jusqu’à s’arrêter entre 2 h 05 et 2 h 52 près des 119 e et P Rues. Et pour preuve, un témoin a rapporté avoir vu un homme identifié plus tard comme étant Avitso sortant du motel et prenant place dans une berline sombre. Le témoin a déclaré à la police qu’une femme était assise sur le siège passager du véhicule « dans une position inclinée vers l’arrière ».
L’avocat d’Avitso a déclaré que son client nie les allégations, mais le comble est que les tests soumis à Klomanvi correspondent aux échantillons d’ADN sur la présumée victime.
Il est détenu sous caution de 400 000 $. Ordonné pour être jugé devant un tribunal, il serait obligé de verser 10% de sa caution, soit 40 000 dollars, pour être libéré.
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