Le problème de monnaie est m0nnaie courante un peu partout sur la terre des aïeux, même dans certaines pharmacies. Un problème que nous vivons chaque jour que Dieu fait.
Sans trop tourner autour du pot, nous vous proposons cette analyse faite par le dénommé Espoir Agbogan sur sa page Facebook. Pourquoi cette analyse ? Pour que des solutions efficaces soient trouvées, surtout pour le cas du refus de vendre les produits dans les pharmacies, à cause du manque de monna!e.
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Voici le constat alarmant
« C’est un peu hallucinant, mais c’est une réalité.
Au Togo, le commerce est fortement endommagé par une maladie de m0nnaie. Si vous vous rendez dans une boutique détenue par un Togolais (excepté les musulmans) la première phase qu’on vous sort, c’est : as-tu la monnaie ?
Aussi drôle que cela puisse paraître, le boutiquier togolais préfère vous laisser partir que de se démêler pour trouver la m0nnaie. C’est un phénomène qui gangrène la misérable économie du pays. Une frange de population restée pauvre, mais qui tient à respecter cette abs*rdité : trouve la monn@ie et vient payer ton produit.
On dirait que c’est l’acheteur qui a besoin des services du vendeur.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, la maladie a atteint les pharmac!es, demeures où l’on doit payer des produits pour sauver des vies.
Eh oui, au Togo, certaines pharmacies peuvent refuser de « sauver une vie » pour défaut de m0nnaie. Et même la santé mentale du patient n’est pas respectée, l’accueil même est déplorable.
On peut donc se rendre dans une pharmac!e, installée par un ph@rmacien qui a prêté serment, et en ressortir blesser et pire, privé de son produit, car le pharmac!en, qui veut faire du business, n’a pas pris les dispositions pour réserver de la monnaie dans sa caisse. Il a donc signé un « contrat » avec le client qui doit respecter son engagement en venant avec sa m0nnaie. Honteux !
Alors chers pharmac!ens, dites-nous. Devons-nous nous munir de la monnaie avant de nous présenter dans vos entreprises ? Si oui, merci de l’écrire noir sur blanc à l’entrée de vos sociétés à fabriquer l’argent. Et là, nous prendrons nos dispositions.
J’ai volontairement évité de citer les noms des pharmac!es concernées. »
Espoir Agbogan
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