Bientôt deux millions de vues YouTube pour le titre Amina de ARIEL SHENEY. Il explose les compteurs, fait rugir les rageux même délie la langue de son ex mentor ARAFAT qui l’accuse d’achat de vue. Entre buzz, stratégie promotionnelle et plagiat, quels sont les facteurs clés du succès de ce morceau sorti en version vidéo en à peine une semaine.
MARIA MOBIL, LA PIÈCE CENTRALE
Tous les mélomanes le savent, c’est la pièce maîtresse autour de la quelle gravitent les composantes du succès de ce morceau de l’artiste ivoirien ARIEL SHENEY.
Lors du teasing, il a fallu qu’elle intervienne par un post pour que la toile s’enflamme. Connu mondialement comme top model et coach sportif, beaucoup l’ont lynché sur la toile et tout ce buzz n’a contribué qu’à l’expansion du morceau d’ARIEL SHENEY. Cette stratégie qui consiste à s’accrocher à la notoriété d’une star pour facilement se faire connaitre a été exploitée avec succès par le staff de l’artiste.
En fin de compte, les deux millions de vues sont la résultante d’un travail bien soigné. D’autre part, c’est un retour positif mutuel car beaucoup de personnes qui ne connaissaient pas MARIA MOBIL, par l’intermédiaire de l’artiste l’ont connu.
«Ce qui est bon avec le buzz, même ceux qui ne t’aiment pas t’écoutent»
LE CLIP
“Le cul dans un clip et ça clique à gogo”. Traité de prostituée de première classe par rapport à ses vidéos sex appeal, c’est tout normal que les internautes aillent voir, surtout pour les pervers, c’est l’occasion de voir comment MARIA se déhanchera dans le clip.
Quand l’audio dit twerk, c’est que le clip montrera le rebondissement des jumelles. Enfin de compte, la chanson en elle a moins attiré, ce qui a relevé le Level, c’est toute l’imagerie autour du morceau. Il faut aussi noter que ARIEL venait de signer avec SONY MUSIC donc le suspens était au rendez-vous quant à la qualité de ce clip. Il a tenu toutes ses promesses.
Ses deux facteurs ont établi les bases du succès d’AMINA, chanson du moment d’ARIEL SHENEY. À voir les chiffres monstrueux, il n’est pas choquant que ça trouble la tranquillité des plus considérés comme le grand ARAFAT qui s’acharne à montrer sa suprématie sur le coupé décalé. Il s’y prend mal car l’opinion mélomane ivoirienne le fusille sur la toile.
Pour les mélomanes à l’ouïe aiguisée, ce morceau n’a rien d’authentique quand même. C’est un plagiat à la limite. C’est de la musicalité du morceau qui en souffre. Pour ça, je vous renvoie au morceau Bam Bam de TIMAYA ou encore le morceau COPINE de ROCKY GOLD.
ARIEL a fait le coup de l’année. Le morceau le positionne bien. Merci surtout à MARIA MOBIL. Nous voulons un exploit du genre aussi pour un artiste togolais.
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