Comment j’ai détruit ma famille et obligé mes enfants à enterrer leur mère…


Comment j’ai détruit ma famille

Merci de partager ce témoignage pour aider une femme qui souffre en silence quelque part.  Vos conseils aideront plus d’une et même les hommes à prendre conscience.  Partagez.

Bonjour chers lecteurs.

Depuis quelques années, j’essaie de faire une thérapie, depuis la perte de ma femme, je comprends à présent à quel point j’ai eu de la chance de l’avoir et combien j’ai été un monstre dans sa vie.

Ma femme m’a aimé plus que tout, elle m’avait tout donné. Mais jamais je n’avais été reconnaissant, au final, je l’ai tuée.

Ce que je m’apprête à vous confesser, c’est ma croix quotidienne.  Leila, je te demande PARDON…

Je suis un homme respecté de tous. Un homme de pouvoir. J’avais un très bon boulot, une belle situation, et naturellement j’avais une épouse et quatre enfants, notre fille et nos trois fils dont Marco, l’ainé né d’un autre père. Oui ma femme avait un enfant lorsque je l’avais connu et épousé. Cela ne m’avait en réalité jamais dérangé au fond, mais …

Ma femme est une personne très très calme et patiente, elle avait tellement été patiente que même le jour de son décès, c’est dans cette même patience qu’elle est partie. Je l’avais tué.

Dieu m’avait donné une famille merveilleuse. Nos enfants s’entendaient si bien, nous n’avions aucun problème en temps normal mais j’étais un homme très difficile, intransigeant, pointilleux sur les détails et toute sa vie, j’ai mené la vie très dure à mon épouse.

Je suis un homme possessif et jaloux et c’est pour cela d’ailleurs  que je n’ai pas permis à Leila de faire quoi que ce soit de sa vie de peur qu’un autre homme ne s’intéresse à elle.

Leila était si parfaite pourtant. Très bonne cuisinière, excellente épouse et mère, je n’avais rien à lui reprocher. Ma femme se pliait en quatre pour me combler mais à chaque fois et pour zéro raison, je levais le ton car je ressentais toujours le besoin de jouer à l’homme dans ma maison. J’avais vu mon père faire, jamais ma mère ne s’en était plainte mais tout le monde disait que notre père était trop sévère. Notre mère avait supporté jusqu’à sa vieillesse.

C’est avec cette même éducation égoïste que je me suis mis en couple avec ma femme. Lorsque je décidai de l’épouser, malgré le fils d’un autre, ce fut un choc pour mon père et mes oncles trop conservateurs.

– Tu vas épouser une femme mère ? Tu es sérieux ? Tu vas élever le fils d’un autre homme sous ton toît ? Tu es fou ? Nous ne faisons pas ces genres de choses chez nous.

Mes oncles et mon père n’avaient pas du tout été d’accord avec le fait que je veuille épouser une femme qui avait déjà un enfant. Mais cette femme, je l’aimais, elle était exactement ce que j’avais toujours désiré alors je forçai la main à tous en espérant qu’ils finissent par s’habituer.

Contre leur gré, ils durent accepter de célébrer notre mariage traditionnel et ma femme intégra notre foyer avec Marco qui n’avait que 3 ans en ce temps.

Mon père et son père avant lui étaient très personnes riches. Nous venons d’une grande famille très à cheval sur les traditions et coutumes et aucun fils ne quittait la maison de son père. C’était d’ailleurs pour cela que nos pères construisaient de vastes maisons, pour que chaque fils y vive avec sa famille car nous n’avions pas le droit de quitter la demeure familiale. C’était à nous d’en prendre soin disaient-ils.

Mon fils adoptif et ma femme étaient arrivés dans une jungle dont très vite je devins le lion. Une fois installé avec ma nouvelle famille, tous les yeux se braquèrent sur nous. Ceux de mon père en premier car il passait tous les matins sous prétexte qu’il voulait me parler mais en réalité, il venait voir comment nous vivions mon épouse et moi. Si toute chose était à sa place. C’était une pression énorme pour Leila qui venait d’une modeste famille mais avec sourire, elle faisait tout ce qu’on lui demandait et ne parlait pas.

Trop souvent, les critiques à son endroit me semblaient dures à supporter mais « c’est bien pour son éducation, elle doit comprendre qu’elle n’est pas dans une de ces familles de basse classe » … C’était moi qui parlais ainsi.  Au lieu de remettre chacun à sa place, je les soutenais.

Ma femme n’a pas eu à supporter que mon père. Ma mère, ma sœur et mes frères à part Octavien notre benjamin, n’ont jamais aimé ma femme. Ils disaient tous qu’elle n’était pas assez bien pour moi et risquait d’entacher la réputation de notre famille car elle ne venait pas d’une famille aisée et ils avaient souhaité que j’épouse la fille d’un ami à mon oncle, le plus riche de la famille. Je refusai catégoriquement et tous pensèrent que mon refus venait de Leila. Pourtant je ne la connaissais pas encore.

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Avec la pression des parents, je rentrais très agacé les soirs. J’avais de la rage au cœur et je la déversais sur ma femme à qui quotidiennement je demandais des efforts pour se parfaire. Ainsi je la chargeais de reproches de tout genre.

– Vas te faire belle, je n’aime pas cette coiffure que tu as sur la tête. Ta tenue est minable et tu dois me changer ces vieilles tenues que tu passes ton temps à porter. Pourtant je te donne de l’argent pour tes courses, mais tu t’entêtes à me faire honte n’est-ce pas ?

Je lui mettais la pression constamment. Lorsqu’elle tomba enceinte de notre fils, elle prit énormément de poids. Au lieu de l’aider à déjà supporter la grossesse et à se préparer pour la délivrance, je lui reprochais de trop grossir et de se laisser aller. Les autres femmes de mes frères ne l’aimaient pas beaucoup non plus alors elle se retrouvait au milieu de tous et avec son fils comme seul allié.

Je faisais semblant de ne pas lire sa profonde tristesse sur son visage. Je jouais à l’homme intransigeant et elle n’osait même pas me parler de sa frustration. Pendant toute la grossesse elle eut de l’hypertension et le bébé faillit ne pas venir au monde.

Après à l’accouchement, je pensais que le bébé allait changer les choses mais au lieu de ça, les mamans de la famille, c’est-à-dire ma mère et mes tantes vinrent l’envahir.

– Tu es nouvelle maman, tu ne dois pas faire ci, ça. Tu ne peux pas te vêtir ainsi, tu ne peux pas manger ça. Tu te négliges un peu trop. Tu ne fais pas d’effort. Tu t’occupes trop mal de l’enfant…

Je les entendais la brimer ainsi mais là encore jamais je n’avais levé le petit doigt pour soutenir et protéger mon épouse. Elle supportait sans jamais parler. Quelques rares fois, je l’avais surprise en train de s’essuyer les larmes discrètement après des remontrances téléguidées par mes mamans, mais elle gardait sa bouche fermée et disait simplement Merci j’ai compris…

Je pensais, je pensais qu’elle devait supporter pour se parfaire et se faire accepter, je me disais lâchement que c’était son rôle de se faire accepter. J’avais juste démissionné de mon rôle de mari. Ma fonction de protecteur était perdue.

J’avais abandonné ma femme dans la douleur.

Leïla eut nos deux autres enfants dans ces conditions ou même pires encore car à un moment donné, il y eut Fatim, cette fille qui m’avait totalement bouleversé l’esprit, je m’étais amouraché d’elle et après quelques mois d’infidélité cachée, je ne me voyais plus jouer à cache-cache car j’avais commencé à envisager d’épouser cette fille.  Je sortais avec elle, sans même essayer de le cacher à ma femme.

Oui je l’ai fait et je n’en suis pas fier. Je trouvais cette fille jeune et fraiche, contrairement à ma femme qui avait totalement changé. Elle s’était tellement laissé aller, elle avait vieilli, ne se gênait plus pour essayer de me plaire selon moi, et pourtant, elle devait prendre soin de 4 enfants et je n’étais jamais là pour elle. Jamais je ne l’avais invité au restaurant. Toutes les fois qu’on devait sortir ensemble, je lui faisais des reproches à cause de ces tenues que je ne trouvais jamais à mon goût pourtant jamais je ne lui avais demandé qu’elles étaient ses préférences. Jamais je ne l’avais accompagné au salon de coiffure ou amené faire du shopping. Je l’aurais aidé à choisir ce qui me ferait plaisir et lui aurait fait plaisir par la même occasion mais je ne l’avais jamais fait.

J’offrais des cadeaux coquins à ma maîtresse, à ma femme j’épuisais l’âme avec des tonnes de reproches. Lorsque je devais partir en voyage, je partais avec ma sublime Fatim et j’étais si fière de tourner la tête à mes collègues de travail ou mes partenaires d’affaires qui pourtant connaissaient mon épouse mais ils ne disaient absolument rien. Au contraire certains me félicitaient même et me demandaient de ne pas lâcher cette fille. Elle était belle, immensément belle mais ma femme l’était aussi. Ma femme était une déesse que j’avais transformée en femme banale à force d’abandon. Au final, la beauté de Fatim ne rima pas avec son intérieur, elle était une diablesse que j’abandonnai très vite.

Je n’avais absolument rien fait pour que ma femme soit ma Fatim. J’avais lâchement choisi une autre reine de beauté pour me sentir homme. J’avais choisi la facilité alors que Leila en était là à cause de moi.

Leila, ma femme forte, tu avais perdu ta fraîcheur pour nos enfants. A plusieurs reprises tu avais  failli y laisser ta peau parce que je voulais des enfants et tu tenais à me combler malgré ta santé fragile. Tu souffrais, tu souffrais tellement mais même t’amener à l’hôpital les jours de tes accouchements était une corvée pour moi. (Larmes…). Tu t’apprêtais à m’offrir ces anges au prix de ta vie et je t’abandonnais encore ou je débarquais en retard parce qu’étant auprès d’une autre femme. Leila, je te demande PARDON, pardonne moi Leila.

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Je ne voyais même pas le mal que je te faisais. Je n’étais pas reconnaissant de t’avoir. Tu avais tout laissé pour me rendre heureux mais que t’avais-je donné en retour ? Une voiture, un toit ? C’était tout ? Ce n’était pas ce que tu méritais. Tu méritais toute mon attention, mon amour, j’avais promis veiller sur toi mais je n’avais jamais été là pour accomplir mon devoir d’époux. Tu avais tout pensais-je, argent, confort, tout, mais pourtant tu étais constamment mal, remplie de médicaments contre le stress, l’angoisse, la dépression, je ne voyais rien venir. Tu te faisais prescrire ses saletés en silence Leila, tu ne m’en avais jamais parlé, tu n’avais pas voulu m’inquiéter parce que tu disais que ton rôle était de me donner la paix du cœur. Mais moi que t’avais-je donné, as-tu juste eu la paix un jour sous mon toit ? As-tu juste été heureuse ? Non. Jamais.

Au contraire tu priais même pour que mes affaires prospèrent… Leila.

Toutes ces fois où j’avais osé critiquer ta nourriture alors qu’elle était parfaite, simplement parce que j’étais rentré tard de mes virées et qu’elle avait été froide, je t’avais grondé parce que mon repas je le voulais toujours chaud quel que soit l’heure. Toutes ces fois où je t’avais réveillé malgré tes grossesses, tard dans la nuit et sans aucun respect, pour me faire à manger parce que j’avais faim et que j’étais l’homme de la maison, ton mari et que je pensais en avoir le droit…

Toutes les fois où je lisais l’épuisement sur ton visage mais t’obligeais à avoir des rapports sexuels avec moi malgré ta santé fragile simplement parce que j’avais une libido débordante ? Tu m’avais tant supporté. Toutes ces fois et toutes ces années où sachant mon sexe très fourni et toi très étroite, je t’avais obligé à coucher avec moi sans prendre de mesures, sans préliminaires, sans te ménager. Tu avais serré les dents et le poing et m’avait laissé faire en te tordant de douleur et non de plaisir. (Larmes…).

Comme j’ai été cruel Leila, comme j’ai été méchant !

Je partais en fausses missions simplement pour retrouver mes amantes et te laissais t’occuper des rentrées scolaires de nos enfants. Ce n’était pas ton rôle, mais j’avais une fois encore démissionné, je t’avais encore abandonné et tu le faisais avec sourire, avec bonheur parce que tu voulais que j’ai la paix du cœur.

Leila pourquoi t’es-tu autant sacrifiée pour moi ? Je ne le méritais même pas. J’étais ton bourreau, pas ton époux… (Larmes…).

Combien de fois tu avais eu le regard admiratif face à toutes ces femmes de ta promotion qui travaillaient et faisaient parler d’elles partout ? Tu les regardais à la télévision, pendant que tu t’affairais à me faire à manger. Elles étaient des chefs d’entreprise et toi, je t’avais conféré le titre de femme au foyer ou plutôt esclave devrais-je dire. Tu voyais notre fille ainsi dans une vingtaine d’année. Tu l’éduquais pour qu’elle ne finisse pas comme toi. Je t’entendais lui dire, tu dois étudier pour devenir une femme. Toi tu n’en étais plus une.

Leila je t’ai volé ton titre de femme, je t’avais volé ton épanouissement, ta dignité tant de foi, tes rêves… Jamais tu ne m’avais dit que ton rêve était de finir entre casseroles et couches, je t’avais imposé cela. Je ne t’avais jamais demandé ce qui t’aurait fait plaisir, jamais. Je t’imposais même jusqu’aux cadeaux, je te les donnais et certains étaient même des produits vendus par mes maitresses ou des femmes qui voulaient ta place. Tu les prenais et me souriais, reconnaissante alors que…

Je t’avais tant fait souffrir, mais tu n’avais jamais bronché, tu n’avais jamais pleuré devant moi, tu te cachais pour le faire et je le savais mais au lieu de te consoler et te demander pardon pour mes bavures, je te trouvais excessive et capricieuse, je prenais ma veste et sortais prendre un verre avec des amis ou retrouver des filles. Des fois, je faisais exprès de rester tard dehors sans aucune raison valable, simplement parce que je ne voulais pas voir ta tête débraillée du matin. (Larmes…). Jamais je ne t’avais demandé pourquoi tu avais l’air aussi négligée.

Je jouais au galant dehors, ouvrant la portière de ma voiture à des femmes qui n’avait même pas ta valeur mais à toi j’osais demander d’accompagner nos enfants en taxi quand ton véhicule tombait en panne. Nos propres enfants, nos héritiers. Tu le faisais sans parler. Et je n’avais aucun remords. (Larmes…). Leila… Pourquoi ne m’avais-tu jamais refoulé (Larmes…). Pourquoi n’avais-tu jamais haussé le ton sur moi, tu avais tellement d’occasions de le faire pourtant… Pourquoi n’avais-tu jamais rien dit ? Pourquoi n’as-tu rien dit ?

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Tu avais demandé au médecin après ton dernier accouchement de ne pas me parler de ton état de santé, tu lui promettais que tu irais bien et qu’il ne fallait pas m’angoisser car j’avais déjà si tant à faire. Ma petite femme, je n’avais rien à faire qui fut plus important que toi, ta santé… Tu te faisais soigner et tenais bon alors que tu avais le diabète et la tension, deux diables dans ton corps et le chagrin en plus.

Ces jours où tu avais du mal à sortir du lit, je te boudais pensant que tu te laissais aller alors que allais si mal, je ne faisais pas attention à toi, j’avais mieux à faire pendant que ma femme perdait la vie. (Larmes…). Il a fallu ta dernière crise pour que je sois mis au courant de ce qui se passait en toi… Mais il était tard Leila. Je n’avais pas été là une seule petite fois pour toi et tu étais à la veille de ton départ de nos vies.

Ton corps était épuisé, tu avais fait tant d’efforts pour nous, tant sacrifié pour notre bonheur. Urgemment nous t’avions conduite à l’hôpital mais tu ne me dis plus un mot avant de fermer l’œil et rendre le souffle. Tu avais souffert jusqu’à ta dernière minute sans même que je n’ai pu essayer de te donner une seconde de bonheur.

Leila c’est moi qui t’ai tuée. Je t’ai ôté la vie, tu venais de boucler tes 43 ans. Et ton désir de voir notre fille devenir avocate, nos garçons ? Et Marco Leila, à qui le laisses-tu ? Leila, comment pourrais-je m’occuper d’eux aussi bien que toi ? Comment aurais-je pu savoir à quelle heure les réveiller et comment les aider à finir leurs devoirs ? Je les connais à peine, pourtant ce sont mes enfants… Mais c’était toi leur père et mère…

Le jour de ton enterrement, je les ai vu marcher derrière ton cercueil, j’avais été dévasté parce que nos enfants n’avaient pas à subir cela, c’était de ma faute. Regarde ce que j’ai fait de notre famille, de ma femme. La jeune fille fraiche jeune, belle et pleine de vie… Leila, tes parents ont sorti ta photo, celle que tu m’avais offerte, tu venais de recevoir ton diplôme universitaire et tu avais un sourire merveilleux, des yeux pleins de bonheur. J’ai tout tué, tout. Je t’ai tout pris…

En rangeant tes effets, j’ai découvert toutes ces ordonnances, ces médicaments, tu les cachais si soigneusement. Tu m’avais caché jusqu’à ton état de santé mais à quelle fin Leila ? Tu avais le droit de me le dire. J’avais le devoir d’être là pour toi. Mon caractère difficile à dû te dissuader de le faire, parce que je passais le temps à te rabaisser, à t’insulter, à crier aux caprices…

Je suis difficile à vivre, je le sais. Je t’ai mené la vie si dure. Leila, je te prie à genoux de me pardonner, pardonne-moi de t’avoir détruite. Je ne te méritais pas. Tu étais un ange et moi un véritable démon. Tu as été celle qui m’avait supporté sans jamais rien dire…

Pardonne-moi Leila. Je porterai ce poids sur ma conscience toute ma vie car je sais que c’est moi qui t’ai tuée. Et si seulement je pouvais revenir en arrière, j’allais tant corriger. Mais je ne le peux.

Je n’ai que le mot pardon, la culpabilité, le regret, le remord, la peine. Je n’arrive plus à dormir depuis qu’on m’a annoncé ton décès. Te voir dans ce cercueil sans vie, m’a brisé le cœur. Tout ce que jamais je n’ai pu te dire, j’avais tant envie de te crier à quel point je t’aimais et que je t’étais reconnaissant pour nos bébés. Mais tu ne m’écoutais plus, tu étais partie maman, tu nous avais abandonné à ton tour…

Chaque jour je comprends à quel point je t’ai fait du mal et je sais que je ne suis pas le seul à faire souffrir une femme autant. Chers amis hommes, ce que nous faisons de nos femmes… Elles ne demandent qu’à être aimées et protégées. Nous sommes si égoïstes et il est souvent si tard pour corriger nos erreurs…

Pardonne-moi ma petite femme parfaite. PARDONNE- MOI MA FEMME PARFAITE ET QUE TON ÂME REPOSE EN PAIX.


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