La famille du disparu a exigé des enfants et de la veuve du disparu de libérer aussi la parcelle, étant donné qu’ils ont honte d’assumer la réalité. Mais pour les enfants, c’est inconcevable que leur père soit mort en pleins ébats sexuels avec la bonne dans le lit conjugal.
Un homme a trouvé la mort pendant qu’il avait des rapports sexuels avec la femme de ménage au quartier Tchibamba de Pointe-Noire au Congo. Il profitait de l’absence de sa femme et de ses enfants pour inviter la bonne dans le lit conjugal.
Victime d’un AVC, il y a un an, il passait la plupart de son temps à la maison en profitant de sa bonne. Cadre au trésor public de Pointe-Noire, il s’est retrouvé dans l’incapacité de continuer à exercer sa profession.
En avril dernier, sa femme avait appris l’existence d’un enfant de lui avec une cabindaise vivant à Ngoyo. Une situation qui a crée des suspicions dans le couple. Les enfants ont évidemment pris position pour leur mère.
Les circonstances de la mort de l’homme le 10 septembre dernier alimentent les commérages du quartier, ce qui a poussé la femme et les enfants à rejeter l’organisation de la veillée mortuaire à leur domicile.
Une décision mal appréciée par les parents du défunt, qui en représailles veulent déshériter les enfants et la veuve. Il leur a été interdit aussi de se rendre au lieu de la veillée au quartier la base.
« La veillée du tonton qui est mort sur sa bonne là est où ? » se demandent les songueurs du quartier, en remarquant le calme qui règne à son domicile de Tchimbamba.
Pour sa veuve et ses enfants, il est hors de question pour eux de libérer le domicile familial et encore moins de remettre les biens hérités.
Stéphanie Mabonzo
source: lolakayacongo.net
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