Le dossier Dubaï Porta Potty continue d’offrir de nouvelles pages. Après la liste des pays africains impliqués, le nom de certains artistes et influenceurs/euses commencent par sortir.
Tagué plusieurs fois sur les réseaux sociaux par rapport à Dubaï Porta Potty, le député togolais le plus présent sur les réseaux sociaux en la personne de l’honorable Gerry Komandega Taama sort de sa tanière pour dire ce qu’il pense de cette affaire qui est très loin de finir.
Dans une vidéo TikTok qu’il a posté sur son compte Facebook, l’ancien officier des forces armées togolaises dit être au courant de cette pratique connu aujourd’hui sous le nom de Dubaï Porta Potty depuis trois ans suite à des témoignages des influenceuses Françaises qui ont dit ce qui se passe à Dubaï.
Regardez la vidéo ici: https://vm.tiktok.com/ZMLn57Jas/ ou <https://fb.watch/cPy4MDo7lF//p>
La question qu’il se pose est que, aujourd’hui c’est pour les filles influenceuses qui est versé partout mais qu’en est-il des hommes influenceurs, qu’est ce qu’ils subissent à Dubaï?
Rappelons que Gerry Taama fait partie de la génération des tous premiers blogueurs togolais. Son blog, Terres togolaises, au départ concentré sur son vécu pendant qu’il était encore dans l’armée, va se muer progressivement en un outil de communication pour le leader d’opinion qu’il devient progressivement.
Ses articles sont repris d’abord dans la presse, puis il est invité sur les plateaux télé et radio pour analyser et donner son point de vue sur l’actualité nationale. Dès 2011, Gerry transforme son blog en plateforme politique, et n’hésite plus à prendre des positions très fortes, qui transcendent les frontières nationales.
Son statut de blogueur est reconnu par la classe politique, qui l’invite à des forums nationaux, notamment celui organisé par le ministère de l’administration territoriale pour apporter des modifications à la loi sur les manifestations publiques.
Gerry reste aujourd’hui l’une des personnalités politiques Togolaises les plus présentes en ligne et intervient toujours sur les questions de l’heure comme il le fait actuellement dans le cadre de l’affaire Dubaï Porta Potty.
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