L’accès aux visas pour les États-Unis est un processus complexe et souvent difficile, avec des taux de refus qui varient considérablement d’un pays à l’autre.
Un récent classement, relayé par World of Statistics, met en lumière les pays ayant enregistré les taux de refus les plus élevés en 2022. Il est intéressant de noter que ces taux de refus élevés ne sont pas spécifiquement concentrés en Afrique, contrairement à ce que l’on pourrait penser.
Les pays auxquels les États-Unis refusent le plus les visas
- Micronésie : 100 % de taux de refus
En tête de ce classement impressionnant, la Micronésie affiche un taux de refus de 100 % pour la délivrance de visas vers les États-Unis. Cela signifie que chaque demande de visa de la Micronésie a été rejetée en 2022, faisant de ce pays un cas unique.
- Mauritanie : Un taux de refus de 90 %
En deuxième position, la Mauritanie se distingue avec un taux de refus considérable de 90 %. Ce chiffre élevé indique que la grande majorité des demandes de visa en provenance de la Mauritanie ont été refusées.
- Somalie : 74 % de taux de refus
La Somalie occupe la troisième place avec un taux de refus de 74 %. Malgré les défis auxquels ce pays est confronté, un pourcentage significatif de ses citoyens s’est vu refuser l’accès aux États-Unis en 2022.
- Rwanda : 63 % de taux de refus
Le Rwanda se classe au quatrième rang, avec un taux de refus de visa de 63 %. Cela signifie que plus de la moitié des demandes de visa en provenance du Rwanda ont été rejetées l’année dernière.
- Canada : 58 % de taux de refus
Curieusement, le Canada occupe la cinquième place de ce classement, avec un taux de refus de 58 %. Il devance même des pays tels que Cuba (57 %) et l’Iran (54 %), ce qui peut surprendre de nombreux observateurs.
Ce classement met en lumière les défis auxquels de nombreux voyageurs sont confrontés lorsqu’ils cherchent à obtenir des visas pour les États-Unis, en particulier dans ces pays où les taux de refus sont exceptionnellement élevés.
La politique de délivrance de visas des États-Unis demeure un sujet de débat et de préoccupation à l’échelle mondiale, avec des conséquences importantes pour les individus et les relations internationales.
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