Suite à une étude scientifique, l’écrivain américain John Hollis, 54 ans, a découvert qu’il possédait des super anticorps qui l’immunisaient de manière temporaire.
En d’autres termes, le virus peut pénétrer dans son corps, mais ne peut pas infecter ses cellules et le rendre malade.
« Tout cela a été surréaliste. J’ai été écrivain toute ma vie et je ne pourrais pas inventer ce genre de choses si je le voulais. C’est tellement irréel », a reconnu M. John Hollis.
Il poursuit : « Ce qu’on m’a dit, c’est que moins de 5 % des patients du monde entier qui se rétablissent du COVID ont des super anticorps, et que parmi ces super anticorps, seulement 1 % environ ont le type de neutralisation que j’ai – ceux qui tuent tout. Il y a différents niveaux de super anticorps avec différents niveaux de protection, mais le mien est en fait le filon principal. Je suis immunisé contre toutes les souches du virus à l’heure actuelle ».
Les anticorps de John Hollis se singularisent donc par le fait qu’ils peuvent attaquer différentes parties du virus et le tuer rapidement. « On pourrait diluer ses anticorps à un millième et continuer à tuer 99 % du virus », affirme le scientifique M. Liotta qui dirige les essais cliniques de Georges Mason sur les anticorps.
Selon les chercheurs, cela constitue une piste de taille pour guérir la Covid-19.
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