Une chasse à l’homme a été lancée par la police kényane pour un homme qui a agressé sexuellement sa femme après l’avoir accusée d’infidélité le samedi 16 mai. La police du sous-comté sud de Tharaka au Kénya, a déclaré que le suspect avait d’abord persuadé sa femme de quitter leur domicile dans le canton de Marimanti, craignant qu’il ne soit arrêté après avoir voyagé de Nairobi en plein confinement.
Un cas d’abus domestiques dont certaines personnes sont victimes en cette période de confinement.
En arrivant à Kathita River, l’homme a menacé de tuer sa femme et lui a ordonné de se déshabiller. Il a été établi que lorsqu’elle a refusé d’obtempérer, l’homme s’est jeté sur elle avec un couteau tout en menaçant de la poignarder. La police a lu en partie :
« Ils sont tous les deux sortis et en arrivant à la rivière Kathita, il lui a ordonné de retirer tous ses vêtements afin qu’elle puisse lui dire tous les hommes avec lesquels elle avait couché pendant qu’il était à Nairobi. »
Le commandant de la police kényane de Tharaka Sud, Kiprop Rutto, a déclaré que le suspect avait ensuite ajouté du poivre, du sel et des oignons dans les parties intimes de sa femme à l’aide d’un couteau bien aiguisé, avant d’appliquer de la super glue mélangée à du sable pour le «sceller». Il a également appliqué la même super glue sur les oreilles et la bouche de sa femme avant de fuir la scène.
Par miracle, cette dernière survécut.
La femme a réussi à se rendre à pied au poste de police de Marimanti où elle a signalé l’affaire avant d’être transportée d’urgence à l’hôpital du sous-comté de Marimanti où elle reçoit des soins. M. Rutto a ajouté que le suspect est un criminel connu dans la région et qu’il est recherché par la police pour divers délits.
La police a déclaré avoir lancé une chasse à l’homme pour le saisir et l’inculper devant le tribunal. Le Kénya est l’un des pays les plus sujets à ce genre de situation depuis le début de la crise.
Laisser un commentaire