L’artiste togolais Jean Koumy, spécialisé dans la peinture, la sculpture, la mosaïque et d’autres formes d’expression artistique, a récemment pris une nouvelle direction en associant ses créations artistiques à l’univers de la mode.
Cette initiative vise à rendre l’art plus accessible et à le démocratiser en le rendant visible à travers des vêtements et des objets du quotidien. La fusion entre les arts plastiques et la mode se manifeste à travers une collection appelée « Fusion« , fruit d’une collaboration entre Jean Koumy et la marque de vêtements Hayili Klothing dirigée par Florent Attiogbé.
KOUMY, l’artiste plasticien qui révolutionne la mode togolaise
Cette collection unique offre une expérience créative inspirante et ouvre de nouvelles perspectives dans le milieu artistique togolais, en mettant en valeur l’artisanat d’art, qui joue un rôle majeur dans les industries culturelles et créatives.
Les créations de Koumy, riches en couleurs et en formes, sont ainsi adaptées aux textiles multicolores et aux tenues festives, renforçant le lien entre l’art et l’artisanat d’art.
Cette démarche innovante permet de valoriser le patrimoine artistique de Koumy et d’étendre son influence à travers un nouveau support, le t-shirt, qui devient une toile pour ses œuvres.
En outre, cette initiative contribue à la préservation du patrimoine artistique et culturel togolais en proposant des objets dérivés tels que des porte-clés, qui témoignent du mouvement artistique appelé « KOUMYSME« . Ces produits dérivés, disponibles à la Maison Koumy à Lomé, renforcent la dimension artistique, patrimoniale et touristique de cette adresse.
L’association entre Hayili Klothing et Jean Koumy dans la création de la collection « Fusion » marque un pas significatif vers la valorisation de l’artisanat d’art et des industries culturelles et créatives au Togo.
Cette collaboration incarne l’esprit d’ouverture, d’innovation et d’entrepreneuriat, contribuant ainsi à l’épanouissement du milieu créatif togolais et à l’espoir d’un avenir florissant dans les industries culturelles.
Source : LE NOUVEAU REPORTEUR/Adama AYIKOUE
Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager autour de vous. N’oubliez également pas, de vous abonner à nos comptes sociaux, pour ne rater aucune information.
Bonjour Gnadoe
Ayez de l’honnêteté intellectuelle.
Comment pourriez vois plagier sans vergogne l’article du critique d’art Ada ma AYIKOUÉ?
C’est cela le.journalisme???
Vois me.faites gerber…
Puff
Je suis désolé Monsieur, vous parlez de quel plagiat ? S’inspirer de l’article d’un confrère veut dire plagier ? Allez relire les deux articles pour mieux voir. Si c’est à cause des images, on vient de les changer.
Désolé?
C’est à vius-même d’aller relire ce que vois avez écrit.
De quelle inspiration vous parlé ?
Lors qu’on s’inspire d’un texte on fait des citations on les met entre guillemets, et on précise la source.
Lorsqu’on s’inspire d’un écrit, on s’approprie des idées, et on ne recopie pas des phrases du texte initial.
Cela s’appelle monsieur du plagiat.
« Assurons-nois.bien du fait avant que nous inquiéter de la cause ».
Vous êtes une honte.
Reconnaissez votre tirt, au lieu de vous justifier, retirez votre article et Allez réapprendre..
Cordialement.
Merci Monsieur ! Vous avez raison et nous avons compris.
Veuillez nous en excuser pour ça.