C’est en exclusivité pour Blue Life Magazine que Josey, la belle voix de la musique ivoirienne a révélé certains détails croustillants sur sa carrière et sa vie.
Voici donc l’intégralité de cette interview sans détour
Pour ce N°3 de votre magazine, nous avons reçu une artiste ivoirienne qui aujourd’hui est incontournable dans la musique et qui se hisse petit à petit au sommet de la musique africaine.
Une étoile montante qui force l’admiration de tous, de par ses chansons qui traitent de sujets qui nous touchent tous, mais aussi pour sa discrétion dans un showbiz où tout n’est que << m’as-tu vu ? >>Josey se confie à nous.
Allons donc à la découverte cette artiste ivoirienne :
Blue Reporter : Bonjour, présente-toi.
Josey : Bonjour, je m’appelle Josey. Je suis artiste chanteuse
Blue Reporter : Depuis la sortie du sigle « Diplôme » qui a lancé ta carrière, tu enchaînes les hits; quel est ton secret ?
Josey : C’est depuis la sortie de mon single appelé « Diplôme », j’ai réussi par la grâce de Dieu. C’est Dieu qui donne l’inspiration.
Blue Reporter : Parlant de hit, depuis un moment, ton single « Espoir » connait un franc succès. Qu’est-ce qui t’a inspiré cette chanson ?
Josey : Ce qui m’a inspiré cette chanson, c’est la vie en général et les personnes qui traversent des moments difficiles en particulier.
Blue Reporter : Aujourd’hui, de grands majors de la production tels que Sony Music ou Universal ont leurs bases à Abidjan ; lesquels t’ont déjà fait la cour ?
Josey : (Rires) Les deux m’ont déjà fait la cour.
Blue Repoter : Aujourd’hui, tu es mère d’un garçon dont tu sembles très fière. Comment arrives-tu à gérer ta carrière et la vie de maman ?
Josey : C’est une responsabilité qui s’impose à moi et c’est avec plaisir que je l’assume.
Blue Repoter : Le monde du showbiz est assez opaque parfois. As-tu déjà reçu des avances indécentes d’un producteur ou d’un acteur majeur du domaine ? Si oui, quel genre ?
Josey : Oui. J’ai déjà reçu des avances dans le milieu du showbiz, mais j’ai réussi à clarifier les choses très vite. Oui, c’était une sorte de droit de cuissage ; je n’ai pas accepté, puis voilà.
Blue Reporter : Le coronavirus a mis à genoux le monde du showbiz. Comment vis-tu cette période difficile ?
Josey : Je vis cette période tranquillement. Je suis quelqu’un de très casanier ; du coup, je passe beaucoup de temps à la maison et encore plus de temps avec mon fils, avec ma famille, à faire à manger, à composer des chansons.
Je vais au studio parce qu’il me faut bien poser les compositions que j’ai ; donc je m’arrange pour avoir le moins de personnes possible avec moi pour aller en studio et voilà. C’est comme ça que je mets ce temps à profit.
Blue Reporter : Sur quel genre d’homme fantasmes-tu ?
Josey : Je fantasme sur mon homme
Blue Reporter : Quelle est selon toi la qualité indispensable qu’un homme doit avoir ?
Josey : Selon moi, la qualité indispensable qu’un homme doit avoir est la crainte de Dieu.
Blue Reporter : As-tu vécu une situation gênante une fois avec ton partenaire ?
Josey : Il n’y en a pas.
Blue Reporter : Généralement, tu es assez discrète ; on ne te voit pas en boîte de nuit, dans les bars ou dans les fêtes comme certaines artistes ivoiriennes. Pourquoi ?
Josey : On ne me voit pas en boîte de nuit ou du moins on ne me voit plus en boîte de nuit parce que j’y allais mais maintenant, je n’y vais plus ; parce que parce que lorsque j’y vais, je m’ennuie, je vois la même chose.
Ce que je fais en boîte de nuit, je peux très bien le faire à la maison ; donc je préfère faire ça à la maison. Voilà !
Blue Reporter : Pourrais-tu citer trois artistes béninois que tu connais ?
Josey : Je connais Zeynab, Sessimé et Nikanor.
Blue Reporter : Quelle est la suite pour Josey au cours de cette année ?
Josey : Je continue de bosser sur mon album et de vous sortir des hits.
Blue Reporter : Merci Josey d’avoir répondu à nos questions et à bientôt !
Source : Blue Life N3, Bluediamond TV
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