L’année qui vient de s’écouler a fait nombre de décès dans le camp des trafiquants d’essence frelatée. Au Togo, à cause de « boudè », 24 personnes sont mortes en 2022.
Ces décès sont dus aux incendies des endroits de stockage de ces produits hautement inflammables, sans oublier les accidents des véhicules de transport de ces essences frelatées.

Malgré les efforts et les garde-fous mis en œuvre par le gouvernement, cette activité illicite continue de faire rage un partout dans le pays. Le ministre de la protection civile et de la sécurité, Yark Damehame, a récemment décrié l’action illicite et mis en garde les acteurs de ce trafic.
Il faut noter que le dernier décès remonte à la semaine dernière. Un homme est mort à Vogan dans un accident à cause du trafic d’essence frelatée. Il transportait du carburant de contrebande dans son véhicule quand l’engin a pris feu.
Cette activité illicite n’est pas à encourager, du fait du danger qu’il représente non seulement pour les trafiquants mais aussi pour la population. Ces produits sont le plus souvent mal conserver et susceptible de causer un incendie à la moindre étincelle.

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