Togo: pour une moto Haojue, elle accepte de se faire baiser 100 fois


Togo: pour une moto Haojue, elle accepte de se faire baiser 100 fois

Une jeune togolaise aurait accepté d’avoir des rapports sexuels 100 fois (pas 100 coups) avec un homme de nationalité nigériane appelé généralement Ibo, pour un engin à deux roues de marque Haojue. C’est l’histoire qui défraie la chronique sur le net actuellement. Et comme Gnadoe djo vivina, on ne pouvait certainement passer à côté.

Une jeune dame qui habiterait au niveau d’Adewii, aurait accepté, contre une moto Haojue, de coucher avec un Ibo.

Ce dernier a exigé de la jeune dame qu’elle signe un contrat qui stipule qu’il devra la baiser 100 fois (ce qui veut dire qu’elle peut venir elle peut prendre jusqu’à 4 coups, ça va compter une fois) avant de lui remettre l’engin. Notre demoiselle a accepté les termes du contrat.

Togo: Pour une moto Haojue, elle accepte de se faire baiser 100 fois (vidéo)

Notre Ibo chaque fois avant de baiser notre compatriote, aurait pris des aphrodisiaques pour bien la pilonner sauvagement. Après la vingtième fois, la dame n’en pouvant plus aurait refusé de continuer. Elle aurait des plaies partout sur ses parties génitales, ces dernières s’étant gonflées. Le monsieur aurait refusé de lui donner l’engin tant qu’il n’atteindrait pas les 100 coups convenus.

La jeune dame aurait convoqué l’homme devant les autorités policières avec des ordonnances en mains. Ordonnances attestant les dégâts subis par ses parties intimes. Le Ibo de son côté, se serait présenté avec le contrat signé par la jeune fille.

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Togo: Pour une moto Haojue, elle accepte de se faire baiser 100 fois (vidéo)

L’officier de police en charge de l’affaire ne sachant quoi faire aurait demandé à la demoiselle d’aller voir ses parents pour se faire soigner. Refus catégorique de la fille ne voulant pas impliquer sa famille dans une histoire si immorale et si sordide.

Le Ibo quant à lui, confiant de ne respecter que les termes de leur contrat aurait refusé de prendre en charge les soins de la jeune fille. Menaçant par la même occasion d’impliquer son ambassade dans l’affaire s’il venait à se sentir lésé par la décision de l’officier.

L’officier indécis devant ce litige s’est confié à un ami qui a publié l’histoire sur le net pour attirer l’attention nos jeunes sœurs sur le « gain facile ». 

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