Le Sun indique ce mardi 4 janvier 2022 que Benjamin Mendy, accusé de sept viols en Grande-Bretagne, a été transféré le 23 décembre dernier dans l’une des prisons les plus violentes du pays, située à Manchester.
Jusque-là, le Français était incarcéré dans une prison de Liverpool moins dangereuse.
Pour la première fois de sa vie, Benjamin Mendy a passé Noël derrière les barreaux. Il est étenu depuis août dernier pour sept accusations de viols à son encontre, qui auraient été commis entre octobre 2020 et août 2021.
Le Français de 27 ans aurait connu un déménagement de dernière minute juste avant Noël, à en croire les informations divulguées ce mardi soir par The Sun.
Transféré le 23 décembre dernier, Le tabloïd anglais explique que Benjamin Mendy a été discrètement transféré d’une prison à une autre.
Jusque-là détenu dans la prison de catégorie B d’Altcourse, à Liverpool, le joueur de Manchester City aurait donc été acheminé à Strangeways, une prison de catégorie A située à Manchester.
La veille, Mendy participait à une audience préparatoire en vue de son procès. Il s’était alors fait signifier une septième accusation de viol à son encontre.
Son procès, qui devait débuter le 24 janvier, a alors été repoussé et devrait débuter le 27 juin ou le 1er août prochain. Le lendemain, Mendy aurait alors subi ce changement de prison, d’Altcourse à Strangeways.
Une nouvelle audience préparatoire le 24 janvier
The Sun explique ce transfert par des questions de sécurité. La prison de Strangeways serait plus adaptée pour protéger le Français, forcément reconnu parmi les détenus, que celle d’Altcourse.
C’est alors à Strangeways que Mendy devrait poursuivre sa détention. À moins que le magistrat ne décide d’une remise en liberté sous condition le 7 janvier prochain.
Strangeways, qui est décrite par The Sun comme l’une des plus prisons les plus dures de Grande-Bretagne, a déjà accueilli un footballeur en la personne de Joey Barton. Ce dernier avait été incarcéré en 2010 pendant plus de deux mois après avoir passé à tabac un adolescent.
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