Instant érotique : Un bar pas comme les autres 2 (interdit aux -18 ans)

Vous devriez lire « Un bar pas comme les autres 1 » avant de continuer cette histoire savoureuse et alléchante à souhait.

En sortant, Mark lança une salutation à un jeune homme qui pénétra dans le bar. C’était probablement un nouveau puisque son visage ne me disait rien. Ce qui me frappa c’est l’épaisseur et la musculature de son corps. En marchant, on pouvait distinguer son énorme sexe qui descendait jusqu’à la moitié de ses jambes.

Light : Bonsoir monsieur, bienvenu dans notre bar. Je vous sers quoi ?

Jeune homme : Appelez moi Capitaine (en ouvrant son portefeuille) Je veux celle ci et celui là (en pointant son doigt tour à tour vers Ghost et moi)

Il dépose un nombre important de billets de grands montants sur le comptoir et regarde fixement Light qui bavait déjà devant les billets.

Light : GHOST, ON TE DEMANDE. (en élevant la voix vers mon collègue) Keïsha tu te sens capable ? (en s’adressant à moi)

Moi : Parfaitement Boss (en me léchant le doigt devant l’inconnu pour le provoquer).

Nous entrâmes tous les trois dans l’espace VIP, c’était mon deuxième plan à trois de la soirée.

Il fait le tour des cabines et choisit celle au fond avec un poteau de strip-tease. Nous entrons et je mets la musique.

Capitaine : Pas besoin. Danse pour moi (en s’adressant à moi). Viens là mon frère (en s’adressant à Ghost)

Il s’assit sur le long meuble à côté du jeune homme musclé et ce dernier lui passe le bras au dessus des épaules pour le détendre. Je commence à tourner autour de la barre, je m’y accroche, je me caresse devant ces deux hommes, j’écarte les jambes, je m’abaisse, je remue les fesses et ainsi de suite.

Ils m’observaient amusés et hochaient la tête en signe d’encouragements. Dans mon esprit je n’arrêtait pas de penser à l’énorme verge de ce homme qui se faisait voir à travers son pantalon. Je m’imaginais ce que cette bite pouvait procurer comme sensation. Une dizaine de minutes après il enleva son bras des épaules de Ghost et se redressa.

Capitaine : Allez ! Va la faire mouiller pour moi (en souriant)

J’étais frustrée en entendant celà, ce que je voulais c’est d’avoir cette bite en moi et non de mouiller et rester sur la touche. Ghost ne se le fit pas répéter. Il me rejoint sur le mini podium et on commençait les attouchements. On s’embrassait, on se caressait et on se léchait devant lui. Le jeune homme prenait son pied.

Je ne détournais pas mon regard du sien pendant que Ghost s’affairait sur mon corps. Tout en me fixant, il sortit son énorme verge déjà en érection et me fit signe du doigt d’approcher. Je le rejoins et je me place à quatre pattes entre ses jambes pour prendre sa queue entre mes lèvres. Elle était si énorme que je dû dilater ma bouche pour ne prendre que le quart. Je commençais à le sucer et à le branler des deux mains. Il gémit et me caresse les cheveux. Il commença à grogner et me fit signe de m’arrêter. Je retourne auprès de Ghost et celui-ci enleva mon soutif et mon string qu’il jetta à la volée. Il prend mes seins et commence à les sucer tendrement et lentement. Je m’abaisse entre ses jambes et je le fais enlever son boxer et je lèche sa bite. Je commence à la sucer et elle devenait plus énorme et chaude dans ma bouche au fur et à mesure. Pendant ce temps Capitaine nous observait et se branlait en grognant. Je suce la bite de mon collègue un bon moment puis je me redresse lentement en passant la langue sur son corps. Il s’abaisse à son tour et plonge son visage dans ma chatte. Le jeune poussa un grand grognement et expulsa son foutre en plusieurs jets plus loin. La pression était si forte que le premier jet avait atterri au pied du mini podium. Ghost fit pénétrer sa langue dans ma chatte et je gémi. La sensation était indescriptible, chaude et douce en moi. Il se leva du canapé et massait son énorme verge tout en nous observant. Il nous rejoint sur le podium, après avoir éviter les jets de foutre sur le sol, et me caressa l’entrejambe avec sa bite. Il me retourne vers le poteau, je m’y accroche des deux mains et je pousse mon postérieur vers l’arrière. Il me caresse les fesses et me donna deux petites tapes, ce qui m’excita encore plus. Sur un signe de la main, Ghost le rejoint et il se place derrière mon cul.

Je sentis une bite pénétrer lentement ma chatte. J’eus un plaisir intense et je gémis. Je pouvais sentir la chaleur de cette bite qui commença à faire de lent va et vient en moi. Le jeune homme nous observait en massant la tête de son monstre et il fit signe à Ghost de se retirer. Je compris alors que c’était que pour me préparer à accueillir son montre. Il frotta sa verge contre ma chatte et commença à me pénétrer centimètre par centimètre. Elle était si énorme que je sentais la chatte se dilater et des douleurs commençaient à envahir mon bas ventre. Je pouvais à peine tenir la barre. Ghost plaça sa verge en face de mon visage et j’ouvris la bouche pour l’accueillir. Capitaine passa un bras sur ma chatte et le frottait frénétiquement le bout du clitoris. Il continuait toujours de me pénétrer jusqu’à ce que sa bite touche le fond de ma chatte. Je voulais me dégager mais le poteau m’en empêchait, j’étais entre le marteau et l’enclume, c’était un mélange d’intenses douleurs et plaisirs. Je n’en pouvais plus du tourment, je lâche un cri et mes larmes commencent à couler. Mes jambes tremblaient, d’un coup mon plaisir grimpa en flèche. Mon bassin se contracta et je me vis entrain de jouir abondamment. Je ne comprenait pas comment une seule pénétration pouvait me faire jouir sur le coup.

Je repris la verge de Ghost dans ma bouche et je la suçait. Capitaine était toujours à l’intérieur de moi mais ne faisait aucun mouvement pendant quelques minutes pour permettre à ma chatte de s’habituer à son nouvel hôte. Je suçais toujours mon collègue et capitaine commença à faire de lents et rythmés allés retours. Ma chatte s’était à peine habituée et la douleur laissa place à un plaisir indescriptible. Tellement je gémissais que je n’arrivais plus à sucer la bite qui était tendue devant ma bouche. Je sentais la chaleur de cette énorme bite en moi et chaque frottements donnait un plaisir que jamais je n’avais ressenti.

À chaque coup le monstre se cognait conte le fond de ma grotte. Il plaça ses mains sur mes hanches et commençait à me baiser un peu plus violemment. Ses coups était puissants et rapides, sa bite se cognait violemment contre le fond de ma chatte. Je gémissais et me tordais de plaisir. Plus il me baisait plus ma chatte s’élargissait. Bientôt son bassin se heurtait contre mes fesses en produisant des bruits de claquements qui remplissaient non seulement la cabine mais aussi l’espace VIP tout entier. Je ne pouvais m’empêcher de gémir furieusement. J’enchaîne orgasme sur orgasme pendant qu’il continue de me baiser avec la même vivacité pendant plus de quarante cinq minutes. Je failli m’écrouler sur le podium mais il me retint. Tellement mon être vibrait de plaisir que je n’arrivais plus à suivre le rythme. Je pris à nouveau le phallus de Ghost et le suçait malgré la frénésie des coups. Les deux hommes se mirent à grogner bruyamment et ils expulsèrent leur foutre en moi. Je reçu celui de Ghost dans ma bouche et su le visage. Le capitaine grogna pendant plusieurs secondes et son foutre continuait de se déverser en moi. Sans un mot il retira son sexe et alla s’asseoir essoufflé dans le canapé. Je me laisse glisser contre la barre et je m’écroule sur le podium dans cette mare de sperme.

J’étais épuisée et j’entendais des échos de la voix de Ghost. «Keïsha ça va ?» Je voulais lui répondre mais je n’y arrivais. La seule chose qui me vient à l’esprit est de dormir, dormir et dormir encore