Instant érotique : Ma patronne-chap 2 (déconseillé aux -18 ans)


Vous étiez nombreux à vouloir connaître la suite de notre petite aventure entre ma patronne et moi. Je suis donc de retour pour vous satisfaire, chers lecteurs…

Ma Patronne (suite)

Je dévore les lèvres de ma patronne et elle n’oppose pas de résistance. Elle laissa tomber la serviette et commença à répondre à mon baiser. D’une main je maintenait sa tête contre mes lèvres et de l’autre je la caressait. Je passe ma main dans son dos, la fait descendre sur ses fesses que je presse ardemment mais tendrement.

Ma patronne laissa un petit gémissement qui me donnait confiance en moi et me disait de continuer. Elle se détacha de mon corps puis commence à m’embrasser le torse. Elle passe soigneusement sa langue autour de mes tétons, les lèche avant d’y appliquer de petits sucions.

Je lève la tête vers le plafond en fermant les yeux puis gémis de plaisir. Pendant qu’elle me léchait et me suçait fougueusement les tétons, de ses ongles, elle me caressait le ventre puis descendit sur mon bermuda et me massait le sexe en douceur.

Je passe ma main dans ses cheveux, la retourne puis la plaque doucement contre le mur. C’était sensationnel. Nos respirations s’accéléraient et nos corps étaient chauds de désir.

Je commence à ouvrir la fermeture de sa robe grise tout en embrassant son magnifique dos. Une fois la robe sur le carrelage, je me colle à son corps puis de dos je lui embrasse le cou. Elle ferma les yeux puis gémit. Je masse sa poitrine puis je fais descendre ma main sur sa culotte en lui caressant le ventre. Je masse son sexe au dessus de sa culotte puis je plonge ma main à l’intérieur.

Son minou était impeccablement rasé, ce qui amplifiait mon désir. Je plonge un doigt à l’intérieur de son sexe puis je le ressort. Elle soupira profondément. Je fis des mouvements de va et vient puis au bout de deux minutes son sexe se contracta contre mon doigt puis elle jouit en se tortillant collée à moi.

Ma patronne tenait à peine debout. Elle se retourna soudainement puis me sauta au cou, je compris qu’elle me voulait en elle et qu’elle n’en pouvait plus. Je marche lentement avec elle accroché à moi vers le bureau. Elle m’embrassait et me caressait. Elle fit descendre tendrement et lentement ses doigts dans mon dos, ce qui me provoqua des frissons.

Je la dépose et la fait allonger sur le bureau, je repousse les dossiers et les ordinateurs portables pour nous faire de la place puis je l’embrasse de nouveau. Je dépose partout sur son corps de légers et tendres baisers, depuis son cou jusqu’à l’extrémité de ses fines jambes poilues. Elle frissonnait et me suppliait de la pénétrer.

Je fesait durer son supplice, je voulais la faire languir. Elle mouillait abondamment sur le bureau. Pénètre moi si tu ne veux pas perdre ton poste, a-t-elle lâché. Mon sang se glaça mais mon désir n’en diminuait pas moins. Je fis sortir mon sexe tendu de mon bermuda, j’écarte ses jambes, je décale sa petite culotte sur le côté et m’apprête à m’introduire en elle.

Lire aussi :   Gnadoe Magazine N14 Avril 2020: Oceane Codjia femme de media et maman en Or

Je recueille dans ma main la mouille qui coulait sur le bureau puis je masse mon sexe pour le lubrifier. Je prends mon sexe pour caresser son petit bouton qui était sorti sous l’excitation puis je fais entrer la tête de mon sexe, elle gémit profondément.

Les gémissements de ma patronne cessèrent quand je resors mon sexe. Je la pénètre de nouveau un peu plus profondément et je ressors. Je répète le geste jusqu’à ce que mon sexe soit entièrement avalé par sa grotte. Je fais ressortir mon sexe puis d’un coup sec je la pénètre profondément. Ma patronne lâcha un cri aigu sous l’effet du plaisir. Je m’apprêtais à donner des coups de reins quand je sentis son sexe se contracter de nouveau. Elle jouit encore en gémissant.

J’étais fasciné par la fréquence de ses orgasmes, elle prenait véritablement son pied. Je reste une minute en elle puis j’entame de lents va et vient à l’intérieur de son sexe. Je pouvais sentir mon sexe se glisser et se frotter sur chaque centimètre du sexe de ma patronne, on gémissait tous les deux dans le bureau.

Malgré la climatisation, des gouttes de sueur froides perlaient sur mon front. Eléonore saisissait des papiers sur le bureau et les froissait sous l’effet du plaisir. Elle agitait le bassin pour venir à l’encontre de mon bassin et se tortillait sur le bureau. La fréquence de mes coups de reins augmentait et devenait de plus en plus violent.

Je la pénétrais profondément et intensément. Je continuais de la tamponner une bonne quinzaine de minutes puis je sentis mon plaisir grimper en flèche. J’étais à l’apothéose, je voulais sortir mon sexe pour ne pas jouir en elle mais il était trop tard. Je lâchait déjà mon foutre. Je m’écroule sur sur son corps chaud et me serre contre elle. Je compris qu’elle allait jouir une fois encore.

On se laissait, tous deux, emporter par cet océan de plaisir et de jouissance. Je reste immobile sur elle quelques secondes, pour reprendre notre souffle et je sors mon sexe. Je me rends compte que je n’avais pas eu l’occasion de contempler sa poitrine, on avait commencé alors autant aller jusqu’au bout. Je me penche de nouveau sur elle puis je l’aidait à enlever son bustier, elle ne s’y opposa pas et me regardait faire. Mon sexe était toujours au garde-à-vous. J’étais loin d’avoir fini avec ma patronne.

J’étais hypnotisé par cette belle et ferme poitrine. Je me penchait sur elle puis je pris dans chacune de mes mains un sein. Je passe délicatement ma langue sur ses tétons un à un, je la sentais frissonner de tout son être. Je pris encore ses délicieuses lèvres dans ma bouche et je les dévorais.

Pendantque je l’embrassais, mes mains s’activaient en massant délicatement ses seins. Je titille ses tétons puis je les lèche à nouveau. J’étais comme un enfant assoiffé qui refusait de lâcher la poitrine de sa mère avant d’être rassasié. Je suce férocement ses tétons en augmentant la pression de mes lèvres et elle presse ma tête de toute ses forces contre sa poitrine.

Je savais qu’elle adorait et elle savait que j’adorais. L’idée de la prendre par derrière me montait à la tête quand soudain j’eus l’impression d’entendre des bruits de pas dans le couloir. Ils étaient faibles et indistincts. Ne voulant pas couper de si tôt ce moment de parodie, je feins de ne rien entendre et je continuais de donner à ma patronne tout le plaisir qu’elle méritait.

Lire aussi :   Le bureau du PNUD recherche

Je finis par abandonner l’idée de la prendre par derrière quand mes yeux se posèrent sur le long meuble mousseux qui étaient à quelques pas du bureau. Je passe mes mains dans son dos puis je la soulèvent de toutes mes forces. Toute cette chaire, ce postérieur et cette poitrine ne la rendait pas légère. J

pas à pas vers le canapé avec ma patronne accroché à mon cou. J’en profitais pour lui embrasser tendrement le cou et lui masser le postérieur. Elle lâcha prise d’une main et de l’autre attrapa mon sexe et cherchait désespérément à l’introduire en elle. Sa fine main sur mon sexe me fit frémir et frissonner en entier.

Je venais d’arriver au canapé, je me penche lentement au dessus puis je dépose ma patronne qui avait retiré sa main de mon sexe. Pendant que je la posais, elle passa sa main entre nos deux corps chauds de désir, saisit ma verge et la plaça à l’entrée de sa fontaine. Aussitôt je la posais, aussitôt je commençais à la pénétrer lentement.

Je sentais son sexe avaler chaque centimètre du mien. Elle planta ses ongles dans mon dos et me mordillait l’espace entre l’épaule et le cou en gémissant. C’était à la fois douloureux et excitant. De part mes expériences celle-ci était la plus sensationnelle, je n’avais jamais été griffé. Eh bien il y a une première à tout dit-on.

Je continue de la pénétrer jusqu’à ce que mon sexe soit profondément planté en elle. Je gémissais à mon tour au passage de ses mains qui alternaient entre griffes et caresses. Je reste en elle quelques secondes puis je commence à faire de lents aller-retour. Elle saisit ma tête et me dévore les lèvres.

Je m’apprêtais à accélérer mes coups de reins quand je la vis se crisper sous moi et me serrer plus fortement. Elle pressa mes fesses contre son bassin et son sexe se contracta. Par peur de crier elle planta sa mâchoire dans mon cou et gémissait. Je compris qu’elle avait atteint une fois de plus le septième ciel.

Elle tremblait et me serrait toujours contre elle. Je retire mon sexe et je le masse avec le liquide qui coulait sur le canapé en cuir en regardant ma patronne droit dans les yeux. Elle écarta ses jambes et se tenait prête à m’accueillir. Je frotte ardemment mon sexe contre son clitoris pour augmenter son excitation puis j’introduis lentement mon sexe en elle.

J’étais heureux de voir ses griffes s’enfoncer dans le cuir du canapé plutôt que dans mon dos. Je m’allonge sur elle puis commence à donner de violents coups de reins. Le choc de nos bassins bassins résonnaient dans la pièce et se noyait dans nos gémissements. Elle me pressait les fesses pour me signifier qu’elle me voulait plus profond.

Lire aussi :   Une société de la place recrute pour ces deux postes

J’agrippe le canapé puis je le tire vers moi à chaque coup. Ma patronne gémissait dans toute la pièce. Je continuais de la tamponner férocement pendant une vingtaine de minutes sans perdre vitesse ni puissance. Mon sexe se frottait contre chaque centimètre du sien et le plaisir me fit perdre la notion du temps. J’étais aux anges. Je sentais la chaleur de son corps collé au mien et son parfum m’enivrait.

Nous étions coupés du monde, et pour nous, plus rien n’existait à part ce plaisir jouissif. Je sentait mon apothéose s’approcher à grands pas. J’accélère encore plus mes entrées sorties à l’intérieur de ma patronne et nos gémissements montaient d’un cran. Son sexe se contracta ce qui décupla mon plaisir et me fit trembler. Je lâchais ma semence en gémissant de plus bel et elle pressait toujours mes fesses en tremblant.

On partait tout deux dans des orgasmes synchronisés. Cette sensation était indescriptible. Je m’écroule sur elle puis la couvre de baisers pendant quelques secondes. Nous restons immobiles puis je ressors mon sexe et m’assieds à la fin du canapé. Eléonore était dans les nuages et continuait de vibrer légèrement. Jambes toujours écartés, elle me donnait une vue parfaite sur son corps.

Je calme ma respiration puis des pensées commencent à se faire place dans mon esprit. Je me demandais comment ça allait maintenant se passer pour moi, serais-je viré pour que les autres ne l’apprennent pas ? Et si elle me garde, je ne pourrai plus jamais la voir sans l’imaginer nue sous ses vêtements.

En attendant…je me lève et me dirige vers mon ordinateur qui était passé en mode veille. Je l’allume, j’ajoute ma signature et celle de la boîte, je m’assure d’avoir bien ajouté les dernières informations d’aujourd’hui puis je publie. Ma patronne venait de se lever et commençait à porter sa robe. Elle prit un lot de mouchoirs jetables et vint prendre mon sexe entre ses mains et le nettoie. Malgré moi je bandais de nouveau.

Elle continuait de le nettoyer quand elle leva la tête vers moi et plongea ses yeux dans les miens. J’étais terrifié par ce regard froid et glacial. Mon cœur s’emballa à l’idée de ce qui pouvait sortir de la bouche de cette dame girouette.

Ma patronne : Dès qu’on sera sorti de ce bureau, il ne s’était rien passé entre nous. Tu te doutes que notre petite aventure ne reproduira plus jamais dans ce bureau.

Moi : … (silencieux, je déglutis bruyamment. Mon sexe était devenu tout flasque et bon qu’à uriner)

Ma patronne : Tu tiens à ton poste ? (En passant derrière son bureau)

Moi : Oui patronne (d’une voix hésitante)

Ma patronne : Alors je compte sur toi pour ne laisser sortir aucun mot (en me montrant la porte)

Tout ce qui se passe au bureau reste au bureau, je venais de comprendre cette phrase. Je sors de ce bureau complètement épuisé et pensif.

Vous voulez savoir quel était le contenu final de mon article ? Cette information qui pourrait provoquer une révolte mondiale ? Eh bien, il s’agit de…Allez lire l’article pour augmenter le nombre de lecture


Quelle est ta réaction?

Gnadoe ne pourra vivre que grâce à ses lecteurs et à ses abonnés. Vous êtes au cœur du projet, aidez –nous à le faire grandir. Nous avons beaucoup d’autres idées en tête pour faire rayonner ce media.
Votre soutien nous permettra de porter plus haut nos ambitions.

Nous soutenir

4 Commentaires

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.