Instant érotique : Ma patronne (déconseillé aux -18ans)


Ma patronne

Entre adultes, il y a plusieurs causeries qui interviennent. Et pour vous permettre de mieux vous détendre, Gnadoè Magazine vous offre cet instant érotique titré  »Ma patronne ».

Nous espérons qu’il vous procurera beaucoup de plaisir. On commence !

Ma patronne

« Au début, on ne savait pas de quoi il s’agissait, mais maintenant on l’a vu, on l’a vécu, on le voit et on le vit. Serait-ce une pandémie provoquée délibérément ou par erreur ? Serait-ce la colère de Dieu envers sa création ? D’aucuns pensent que oui et d’autres non. La réalité est que le Coronavirus est là ! Il est dans nos maisons, dans nos rues, le Coronavirus est partout. C’est un tsunami, a affirmé une internaute.

J’étais assis dans ce bureau climatisé en rédigeant mon article. Étant journaliste et rédacteur web, j’avais fait mon entrée dans la boîte il y a de cela deux ans . Très vite j’ai obtenu le titre de meilleur employé de l’année, ma première publication en tant que rédacteur web avait fait plus de cinquante mille lectures en un court laps de temps, c’était un record que jamais personne n’avait atteint dans la boîte, m’avait dit la patronne. Je suis par la suite devenu son employé préféré et son petit mari, disait-elle à tous mes collègues.

Évidemment j’attisais l’envie et les regards en coins des autres, ma côte de popularité grimpa aussi vite qu’un envol d’oiseau et je recevais des avances d’un bon de mes collègues demoiselles, ce qui ajoutait de l’huile sur le feu de convoitise de mes collègues hommes. Mes séjours dans la boîte sont devenus mélange de mélodrame, de crainte, et d’excitation depuis que Goliath, je l’avais surnommé ainsi à cause de la grandeur de son corps, m’avait dit ceci : Fais gaffe, le dernier petit mari de la patronne est décédé dans un accident de vélo. Était-ce pour une prévention ou une mise en garde ? Ce qui était sûr, décédé d’un simple accrochage de deux vélos n’était pas chose naturelle.

Eléonore notre patronne, était une belle dame de teint foncée et un peu potelée, elle avait tout pour plaire à un homme. Méticuleuse et disciplinée, elle dirigeait la boîte d’une poignée de fer, elle était à la fois chaude et froide, joviale et glaciale. Je me demandais comment une personne pouvait être si simple et ambivalente. Aucune relation autre que celle professionnelle n’était autorisée dans la boîte.

Ce jeudi était la veille d’un jour férié, ma patronne m’a fait savoir que trois de ses informateurs correspondants en Chine, en France et en Amérique lui feront parvenir des informations confidentielles et sensibles concernant le Covid19, des informations qui pourraient provoquer un soulèvement et une révolte mondiale. J’étais à la fois intrigué et excité de savoir quelles informations étaient-ce. Pour un travail impeccable, il fallait mettre sur le coup son meilleur rédacteur, moi.

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Pour éviter toute fuite d’information et des oreilles et yeux indiscrets, je devais rédiger cet article dans son bureau. Au fond de moi je tremblais d’effroi devant cette dame girouette et mon désir pour elle s’emplifia. Tant son agréable parfum remplissait le bureau qu’il m’était impossible de me concentrer à 100%.
Jusqu’à 14h tout le monde était rentré chez lui à cause de la demie journée. Eléonore et moi étions seuls dans ce bâtiment. Les informations des correspondants commençaient à pleuvoir, ils étaient exorbitants et effroyables. Des frissons m’ont parcouru le corps tout entier quand j’ai vu ces photos répugnantes. J’eu soudain l’envie de gerber, je sortis du bureau à toutes jambes puis vidais mon ventre dans l’un des WC communs. Je revins m’assoir dans le siège en face du sien puis continuait la rédaction. Elle posa une main sur mon épaule et me demanda si je pouvais tenir le coup. Affirmatif, j’avais répondu en faisant oui de la tête. Ce n’était pas un travail à sens unique, on collaborait en mettant en ordre les informations reçues et en les analysant.

Après quatre heures d’intenses réflexions et analyses, ma patronne fit une commande de plats que le livreur apporta muni d’une bavette fait de pagne africain. J’étais terriblement affamé. Après m’être empiffré, je soulève la tête puis je la vois immobile entrain de m’observer attentivement, elle n’avait pas encore touché à son plat. Je fus immobile. J’arrêtais de mastiquer puis je déglutis bruyamment.

Elle resta ainsi plusieurs secondes sans dire un mot. Son regard me transpersait comme une flèche et j’avais l’impression qu’on avait déposé le monde sur mon crâne. J’étais terriblement gêné et j’avais honte de m’être comporté ainsi devant ma patronne. Elle me sourit calmement du coin des lèvres. Mon cœur s’emballa et je voyais venir mon apocalypse. Je suis fini, me disais je intérieurement.

Ma patronne : Tu es de quelle congrégation religieuse ?

Moi : Aucune, directrice. Je ne crois pas en l’existence de dieu.

Ma patronne : Pourquoi ?

Moi : Dieu n’est qu’un mythe inventé par les puissants pour contrôler les faibles.

Ma patronne : Et tu penses quoi des délivrances ?

Moi : Des coups montés. Je crois ce que je vois, je ne vois pas Dieu donc il n’existe pas.

Ma patronne : Je vois (en passant ses mains sous son menton) c’est pour cela tu n’as fait aucune prière avant de commencer ton repas.

Moi : Et vous ? Si je puis me le permettre(en refermant mon plat jetable)

Ma patronne : Je suis chrétienne, tu le sais sûrement.

Moi : Pourquoi ?

Ma patronne : J’ai vu et vécu les merveilles de Dieu

Moi : …(Silencieux)

Je finis de boire ma canette de Pils puis repris la rédaction de l’article.

Elle apparaît le 17 novembre 2019 dans la province de Hubei (en Chine centrale), plus précisément dans la ville de Wuhan, puis se propage dans le monde entier.

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Le 31 décembre 2019, la Chine a révélé l’existence d’un foyer de cas de pneumonie dans sa province. Au total, une quarantaine de cas sont dénombrés, dont une dizaine avec une forme sévère de la maladie. Le 1er janvier 2020, l’OMS active à son siège de Genève une cellule de gestion de crise, « plaçant l’organisation en mode urgence », ensuite il signale sur les réseaux sociaux « l’existence d’un foyer de pneumonie – sans décès – à Wuhan ».

Le 10 janvier, l’OMS publie un guide technique à l’intention de ses 194 États membres pour savoir comment dépister, tester et gérer des cas potentiels. Les 22 et 23 janvier, son patron Tedros Adhanom Ghebreyesus, convoque un comité d’urgence pour savoir s’il faut déclarer une « urgence de santé publique de portée internationale ». Le comité ne parvient pas à trouver de consensus. Le 30 janvier, l’OMS déclare l’épidémie de nouveau coronavirus « urgence de santé publique de portée internationale ». Au total ce sont environ 200 pays et territoires qui sont touchés par cette crise sanitaire mondiale, Le 11 mars, l’épidémie de Covid-19 est déclarée pandémie par l’OMS, qui demande des mesures de protection essentielles pour renforcer l’hygiène préventive.

Les symptômes recensés vont des plus fréquents: fièvre, toux sèche, fatigue, aux plus graves: difficultés à respirer ou essoufflement, sensation d’oppression ou douleur au niveau de la poitrine, perte d’élocution ou de motricité, en passant par les symptômes moins fréquents: courbatures, maux de gorge, diarrhée, conjonctivite, maux de tête, perte de l’odorat ou du goût, éruption cutanée, ou décoloration des doigts ou des orteils. Plusieurs gestes barrières sont recommandés : rester chez soi autant que possible, éviter les contacts au maximum, garder une distance de sécurité d’un mètre minimum, se laver régulièrement les mains, se couvrir la bouche quand l’on tousse ou le faire dans le coude.

Le 11 mai, plus de 4 000 000 cas cumulés sont confirmés dans le monde, dont plus de 1 500 000 personnes guéries et près de 280 000 morts. Au-delà de la propagation de la maladie et des mesures de quarantaine, des pénuries d’approvisionnement médico-pharmaceutiques et manufacturés apparaissent. Deux priorités sont de limiter au maximum les contacts physiques avec autrui, et respecter le lavage fréquent des mains. Le 14 mai, l’OMS estime que le nouveau coronavirus pourrait « ne jamais disparaître » et devenir une maladie avec laquelle l’humanité devra apprendre à vivre.

L’agence sanitaire de l’ONU est mise en cause par les États-Unis, qui l’accusent d’être sous l’influence de la Chine, alors que celle-ci est soupçonnée par Washington d’être à l’origine de la pandémie (source : FRANCE 24, le 19/05/2020)

Le Togo quant à lui a annoncé le 7 mars un premier cas de Covid-19 dans le pays…
Ce virus, cet ennemi, on ne le voit pas. Chaque jour on recense des milliers de morts partout sur la planète, une pré apocalypse, a affirmé une internaute paniquée. Les prières vont aux testés positifs et surtout aux corps médicaux qui sont au premier rang dans cette lutte pour la survie…

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Je continuais de taper vigoureusement le clavier avec mes doigts. J’avais presque terminé la rédaction de cet article, c’est une bombe qui explosera dès les premières secondes de sa publication. J’ajoute les informations reçues des correspondants en insistant sur des cas et témoignages des hautes personnalités interrogées.

J’étais tellement concentré que je n’avais pas vu ma patronne se lever. Elle revient avec deux tasses pleines de café. Tiens, a-t-elle dit en se penchant par dessus mon bras pour déposer ma tasse sur le bureau. Dans son mouvement, j’ai senti sa poitrine plantureuse se frotter contre mon bras et j’ai deviné qu’elle ne portait pas de soutif mais un léger bustier qui ne cachait pas totalement ses tétons, j’ai pu sentir le bouton noir de sa poitrine caresser mon bras.

Je commence à bander dans la seconde. Dans la peur qu’elle le remarque, je me suis levé brusquement. Merde, a-t-elle lâché quand j’ai bousculé son bras. Le chaud café s’était renversé sur le bas de ma chemise et le haut de mon pantalon. Mon sexe était touché. Je commençais à sauter dans le bureau comme un gamin, sous l’effet de la brûlure.

En quelques secondes j’avais enlevé ma chemise et mon pantalon qui me brûlaient la peau. Je souffrais, je cherchais des yeux un point d’eau fraîche sans faire attention à ma patronne qui jusque-là me regardait silencieuse, elle était amusée. Je fonçais vers les toilettes de ma patronne pour mettre de l’eau sur mon corps brûlé. Je reviens tout mouillé puis je la vis avec une serviette propre en main.

Le sol et le siège étaient déjà nettoyés, et heureusement mon ordinateur portable n’a pas reçu une seule goutte de café. Ma patronne se rapprocha de moi, colla la serviette contre mon torse et commençait à me nettoyer délicatement. Ma douleur avait disparu et je sentais le désir monter en moi. Elle a baissé la serviette et la appuyé légèrement contre mon sexe par dessus mon bermuda pour que l’eau soit absorbée.

Mon sexe entra en érection malgré mes efforts de concentration. Elle leva lentement le visage et plonge son regard intense sans le mien. Je voyais monter dans ses yeux le désir. Sans réfléchir je pris sa tête entre mes mains puis ses lèvres entre les miennes, advienne que pourra…»

Nous mettons une pause à ce petit instant érotique. Mais ne vous inquietez pas. Nous vous reviendons pour la suite; une suite très intéressante d’ailleurs. Et pour ne pas vous couper l’appétit, je vous suggère Mon Répétiteur, qui est une histoire érotique très intéressante aussi.


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