Instant érotique : Ma Prof (interdit aux -18 ans)


Nous espérons que vous avez apprécié la fin de notre petite aventure titrée « Tournage sans montage« . Nous vous revenons avec une toute nouvelle aventure. Lisez plutôt.

Ma Prof

Avec cette pandémie, le gouvernement a fait fermer toutes les écoles et églises. Au début c’était assez ennuyeux et fatiguant. j’ai fini par m’y faire en me plongeant dans les nombreux romans que mon professeur de français m’a prêté.

On entretenait une vraie relation de professeur à meilleur élève. Au delà de son cours, je l’adorait, elle. J’en viens presque à oublier quel jour était quel jour, tellement tous se ressemblent. Les cours en ligne et sur les médias sociaux ont débuté. Pour nous les étudiants en master c’était une autre histoire, nos cours débutaient à partir de 18h comme à l’heure normale des cours avant le confinement.

J’avais terminé mes trois mois de stage en entreprise et j’ai repris la routine quotidienne de ma vie. Un concours régional de littérature a été organisé, la première partie était la rédaction d’un projet et la deuxième l’explication détaillée d’une œuvre littéraire au choix parmi celles proposées. Ma professeur de français m’encouragea à m’inscrire et à concourir, ce que j’ai accepté à condition qu’elle soit mon coach dans cette aventure.

Le jour fatidique approcha à grand pas, elle et moi on travaillait un jour sur trois. Elle venait à mon domicile car elle a pour tradition de ne jamais montrer son habitation à ses étudiants ou élèves. Bien qu’elle me dépasse de sept ans, il nous arrivait de discuter comme des personnes du même âge.

Nous fûmes un jeudi, c’était la veille du dépôt des travaux littéraires effectués. Ma professeur était venue avec des plats faits maison, aujourd’hui c’est le dernier jour, nous allons énormément travailler a-t-elle dit avant d’entrer dans la maison. Mes parents étaient au courant de notre travail et ils m’encouragaient à donner le meilleur de moi même. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que je nourrissais en moi un amour passionné pour ma professeur. Bien qu’elle soit toujours vêtue de robe de grands mères je la trouvais terriblement sexy peu importe son accoutrement.

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Ma prof déposa son sac et enleva son cache-nez à usage unique. Elle le jeta à la poubelle et demanda de l’eau et du savon pour se laver les mains, le respect des règles barrières était primordiale.

Ma prof : Alors ? Tu terminé le projet et l’explication de l’œuvre ?

Moi : Oui néné ( elle m’interdisait de l’appeler madame ou professeur, j’ai donc choisi néné c’était assez drôle) en relisant mon projet j’ai ajouté certains détails pour le rendre plus explicite.

Ma prof : D’accord, fait voir ( en prenant le document de sept pages de mes mains)

Moi : Pour l’explication détaillée, j’ai modifié la structure de mon œuvre. J’ai remarqué qu’arrivé à un moment j’étais sorti de la peau de l’auteur donc j’ai radié la dernière partie. Je vais terminer d’ici une heure ou deux.

Ma prof : Excellent. Pendant ce temps je vais jeter un œil sur ton projet (elle ne quittait pas le document des yeux)

Le temps passa plus vite que je l’espérais. La présence ma prof dans la salle où j’ai l’habitude d’étudier m’empêchait de me concentrer totalement. Je jetais des coups d’œil discrets vers elle et je la déshabillais du regard en essayant de deviner les rondeurs qui se cachent sous cette longue robe de grand mère. Elle était tellement concentrée qu’elle ne remarqua même pas que je me passais la langue sur les lèvres, c’est ce que je pensais.

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Ma prof : Tu as quelque chose à me dire ? (La tête toujours plongée dans le document et un stylo rouge en main)

Moi : Euh non non, désolé. Je savais pas que tu me regardais. (En tournant brusquement la tête vers mon ordinateur portable)

Ma prof : Je t’observais depuis un moment. C’est demain tu rends ton travail et tu n’as pas encore fini, alors pas de distraction.

Moi : D’accord mademoiselle.

Ma prof : Pardon ? (En regardant vers moi par-dessus ses lunettes )

Moi : Excuse moi. D’accord néné.

Sa dernière réaction me prouva qu’elle n’était pas en colère donc je continuais à travailler le cœur léger mais je ne pouvais m’empêcher de jeter de temps en temps un œil sur cette sublime demoiselle.

Une fois la correction terminée, elle me rendit le document sur lequel elle avait souligné les erreurs grammaticales et lexicales et prit mon ordinateur portable sur lequel j’avais rédigé l’explication détaillée. Elle vint s’asseoir à côté de moi sans gêne et commençait à lire mes écrits. Je notais les corrections au fur et à mesure.

Une heure plus tard, elle tomba enfin sur la dernière page. À ce moment je commençais à perdre contrôle de moi. Je n’étais plus concentré et son parfum m’enivrait. Plus je pensais à ma prof, plus le désir montait en moi. Mon sexe entra en érection et je me donnait tout un mal pour le cacher entre mes cuisses. C’était peine perdue, Antoinette l’avait déjà remarqué et riait intérieurement. Bien, je crois qu’on a fini dit-elle avant de poser sa main sur ma cuisse.

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Je frémit un cours instant laissant voir mon sexe tendu qui traçait une courbe dans mon short. Elle plongea son regard dans le mien sans toutefois enlever sa main. Je la fixais à mon tour puis je me demandais ce qui allait se passer. Je déglutis bruyamment en essayant de détourner mon regard.

Elle promena sa main sur ma cuisse jusqu’à s’arrêter au dessus de mon sexe. Ma respiration se troubla et s’accéléra. Je me demandais si c’était la réalité j’étais entrain de vivre. Elle posa son index sur ses lèvres pulpeuses me faisant signe de garder le silence. Elle plongea sa main dans mon short et mon intimité n’avait plus de secret pour elle. Je sursaute légèrement en sentant la paume de sa main enrouler mon sexe. Elle saisit ma verge déjà tendue et le branla lentement tout en ne me quittant pas des yeux.

Sa main me procurait un plaisir inédit. Comme un enfant je la regardais faire tout en me demandant jusqu’où elle pouvait aller, je ferme les yeux pour me laisser emporter. Elle fit sortir sa main et commença à défaire le nœud qui attachait mon short. Elle sortit mon sexe et passa un bref coup de langue sur la tête. Jamais auparavant je n’avais ressenti ce plaisir…

 

Affaire à suivre…


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