Instant érotique : Un bar pas comme les autres (interdit aux -18 ans)


Instant érotique

Il y a de plus en plus de concurrence dans notre métier. Les jeunes filles ont prit d’assaut le marché et le comble est que la plupart ne sont pas encore sorties de l’adolescence et manquent d’expérience en matière d’homme et de sexe. Je travaille dans un bar peu commun qui dispose d’une grande salle et des cabines VIP pour les clients particuliers et cochons, si vous voyez ce que je veux dire…

L’espace non VIP est destiné aux consommateurs et consommatrices habituels qui veulent se taper des bières et s’offrir une petite séance de strip-tease d’hommes ou de femmes. La politique mise en place par le gérant n’autorise que les plus de vingt ans à pénétrer au cœur de notre caverne à débauche. Plusieurs podiums et barres de strip-tease étaient disposés en épars dans le bar, hommes ou femmes y dansaient, le premier bar de la capitale où l’on pouvait trouver des jeunes hommes entrain de twerker à moitié nues. Ils étaient le fantasme de beaucoup de femmes qui, en manque de plaisir, les réquisitionnaient pour une chaude partie de baise.

On y voyait quelques fois des couples libertins qui passaient directement aux cabines VIP, je n’ai jamais compris comment voir son homme ou sa femme se faire prendre par un autre pouvait exciter ou procurer du plaisir à certains. Oui, j’ai été scandalisée lors de ma première partie de jambes en l’air avec un couple blanc libertin. L’homme d’une quarantaine d’années me prenait en levrette et sa conne de femme était excitée en le voyant me baiser. Il est pratique de suivre des coachings en sexualité avec son partenaire mais à mon humble avis il y a mieux pour faire revenir l’amour, dixit une experte en cœur brisé qui s’est casée dans le libertinage, que je suis. Les autorités ignoraient l’existence ou du moins ils fermaient les yeux sur cet espace vip, il était très bien tenu au secret et assez rares sont les personnes de classes moyennes qui y accèdent, l’entrée était elle-même tenue secrète. Nous sommes habitués à voir des personnalités, des maires, des ambassadeurs et même des ministres, les gens assez fortunés qui peuvent dépenser plus de 100.000 en un claquement de doigts sans rechigner.

Light, le gérant et fondateur du bar n’y était pas allé de main morte dans le décor, tout type d’alcool était servi, les boules de lumières multicolores étaient disposées un peu partout dans le bar et toutes les serveuses s’habillaient uniquement que de soutien gorge et string, de quoi provoquer l’excitation des clients et les pousser à consommer plus. On pouvait être danseur et serveur à la fois, filles comme hommes, nous étions très bien payés et personnes ne s’était jamais plaint. L’espace VIP était une réplique plus améliorée et plus ingénieuse de la salle rouge du richissime Grey dans « Les 50 nuances de Grey ». Tout était en rouge, presque tout, les clients avaient à leur disposition tout un arsenal d’objets sexuels, godemichets, des matraques et ceintures pour les masochistes, des préservatifs et lubrifiants, des menottes, des tenues sexys de différentes tailles et formes, des magazines de sexualités, et des écrans incorporés de lecteurs USB pour les vidéos pornographiques, rien que pour le plaisir des clients. Certaines cabines étaient côtes à côtes ce qui permet d’exciter les clients lorsqu’ils entendent les gémissements provenant d’autres cabines. Au fond de l’espace VIP se trouvait une porte à roulettes, qui donnait sur un sauna, portant l’inscription «Tout ce qui entre ici se met en tenue d’Adam et Eve». Tous ceux qui y entraient laissaient leurs vêtements dans un bac à linge, c’était pour certains un moyen d’exhiber la virulence de leurs corps et pour certaines le moyen d’exhiber leurs corps dans toute sa fraîcheur.

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Avec l’arrivée de cette pandémie, nous étions cruellement en manque de clients, il nous arrivait de n’avoir qu’un seul client de toute la soirée, et pire encore, un client dans toute la semaine. Pour soucis de confidentialité et d’identité, on ne n’utilisait pas nos noms mais dès noms de personnages de film, Light nous donnait les surnoms qu’il attribuait aux clients. Avec l’allègement des mesures barrières, les choses commencent à revenir à la normale.

Vers dix-neuf heures trente, Mark et Margaret un couple blanc habitué à l’espace VIP entra dans le bar. De son humeur toujours joviale, Mark salua Ligth le gérant et donna une petite fessée à Mia en guise de salutations. Énervée, Margaret lui saisit la peau du dos et le pinça férocement comme si elle voulait la lui arracher. Mark se tordit de douleur et supplia sa femme de l’épargner, ce qui fit rire tout le monde.

Light : Les hommes ont besoin d’une bonne correction pour les ramener sur les rails (en riant)

Mark : Ah mais vous pouvez pas dire ça cher amiii, elle failli m’arracher la peau (en se tordant toujours de douleur)

Margaret : Et je t’arracherai la peau des fesses si tu touches encore les fesses d’une de ces filles.

Mark : Okay Okay je ne recommencerai plus (en levant les bras en signe de capitulation), PREPARE TOI GHOST, DEMAIN TU FILERAS DE BON COUPS DE BITE À MADAME QUE VOICI (en élevant la voix vers Ghost, un collègue, qui se défoulait sur la bar de strip-tease).

Ghost : D’ACCORD MONSIEUR MARK, COMPTEZ SUR MOI.

Mark : Light nous voulons euuhh une de tes filles pour un plan à trois (en s’adressant à Light)

Light : Fais ton choix Mark.

Mark : Euuhh Toi (en pointant son doigt vers moi) viens par ici Keïsha.

Light : Keïsha, amène les clients à l’espace VIP et fais leur plaisir.

Moi : Ne vous inquiétez pas Boss

Nous prenons la direction de l’espace VIP, j’ouvre et je les laisse passer en premier, nous choisissons une cabine un peu espacée au milieu. J’étais vêtue d’un soutif et d’un string en filet, tous deux de couleur blanche, ce qui laissait entrevoir mes tétons.

J’allume la musique et Margaret poussa Mark sur le lit. Il se laisse tomber et se mord légèrement les lèvres en voyant sa femme se déshabiller. Il s’installe pieds écartés et toutes deux on monte sur le lit en lui caressant les jambes. Je continue de le caresser quand Margaret monta vers le haut. Elle l’embrasse et lui donne des baisers dans le coup tout en descendant vers son torse. Je soulève sa chemise et je commence à lui lécher le nombril. Margaret lui caresse le torse sous la chemise et elle commença à la déboutonner. Il se redresse, enleve la chemise et l’accroche à un pan du lit. Il se recouche et Margaret commença à lui sucer les tétons tour à tour en les mordillant l’un après l’autre. Pendant ce temps je continue de lui lécher le nombril et je lui caresse le ventre. Elle caressait le torse de son mari et délaissait tantôt ses tétons pour l’embrasser. Margaret glissa sa main sur son torse et la plongea vers l’intérieur de son pantalon. La voyant venir, je m’arrête dans mes gestes et je me redresse pour commencer à déboutonner son pantalon. Elle saisit sa bite à l’intérieur de sa cachette et il gémit légèrement. Je finis d’enlever le pantalon que j’accroche à un autre pan et elle redressa la bite blanche gonflée de sang vers moi. Je compris que je devais la sucer. Je passe ma langue sur ses couilles et je la remonte vers la tête de la verge avant de la plonger dans ma bouche. Mark gémit de plus bel. Je lui caresse les couilles et lui suce la bite pendant que Margaret s’occupe de ses lèvres et lui caresse le haut du corps tout en léchant ses tétons. Je saisis la bite, je crache dessus et je commence à la branler lentement avant de la remettre dans ma bouche. Je l’aspire et je la rejette hors de ma bouche. J’adorais l’odeur de sa bite, une odeur parfumée.

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Margaret délaissa les lèvres de son homme et s’approcha de moi. Je fus surprise lorsqu’elle se redressa en face de moi et commençait à m’embrasser, je n’oppose pas de résistance, je trouvai la sensation plutôt agréable, pour moi c’était une première. Elle me caressa comme le ferait un homme et enleva mon soutif avant de commencer à me lécher les tétons. Je fus parcourue par des frissons. Elle me suçait les seins tout en me caressant et elle plongea sa main dans mon string. Je presse sa tête contre ma poitrine pour l’encourager. Elle fit pénétrer un doigt dans ma chatte et je gémi «Ohh oui !» elle elle fit ressortir son doigts et me pénétra à nouveau. Elle me doigtait et me suçait les seins. Mark adorait le spectacle et se branlait en nous observant. Il se leva et s’approcha de nous et commença à nous couvrir de chaudes caresses et baisers. On gémissait tous les trois. Il me donna une une tape sur les fesses et en donna également une à Margaret avant de commencer à lécher nos culs. Margaret arrêta de me doigter et elle s’abaissa pour prendre la dite de son homme dans sa bouche. Ce fut maintenant Mark qui m’embrassait et me suçait les seins pendants qu’elle lui suçait la verge. Elle le suçait et le branlait au même moment.

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Quelques minutes plus après Margaret s’allongea sur le dos et écarta les jambes. Je me mis en levrette au dessus d’elle et je m’apprêtais à me faire pénétrer par son homme. Mark se place derrière mon cul, porte un préservatif sur sa bite et la frotte contre ma chatte après avoir décalé mon string sur le coté. J’étais tellement excitée et je mouille terriblement. Je plonge ma tête entre les jambes de Margaret et je donne un coup de langue rapide sur sa chatte. Mark entama la pénétration. Je le sentais plonger lentement et chaudement dans ma chatte jusqu’à coller son bassin contre mon postérieur. Je gémis sous l’effet du plaisir et je plonge ma tête entre les jambes de Margaret pour lui lécher la minette. Je lape son clitoris et j’aspire les levres de sa chatte qui était du même parfum que la bite de son mari. Mark accéléra la vitesse et la puissance de ses coups de reins, il me donnait tantôt de petites fessées. Margaret gémissait sous mes coups de langue et je gémissais sous les coups de bite de son mari. Nous gémissements et les claquements de bassin contre mes fesses raisonnaient dans toute la cabine. Au bout d’un moment Margaret pressa ma tête contre sa chatte et jouit contre mon visage. Je reçu, malgré moi, quelques gouttes de sa cyprine dans ma bouche, elle était d’un goût salé. Après cette vague d’orgasme, je la pénètre avec deux de mes doigts et je plonge à nouveau ma tête entre ses jambes. Je lui mordille le clitoris et je fais entrer et sortir mes doigts de sa chatte. Elle gémit plus fortement qu’auparavant. Mark continuait de me tamponner ,avec vigueur sans perdre l’endurance, une bonne vingtaine de minutes. Il commença à grogner. Et la puissance de ses coups doubla. Il plaqua furieusement son son bassin contre mes fesses, ce qui fit entrer sa bite un peu plus en moi et me fit gémir, et il jouit en grognant comme un animal. Il s’étala sur mon dos et me pressa les seins par derrière. Je sort me doigt de la chatte de Margaret et je frotte, avec frénésie ma main contre son clitoris. Elle jouit à nouveau et gicla contre mon visage.
Mark sortit sa bite de ma chatte et vint s’allonger auprès de Margaret et l’embrassa tendrement en lui caressa la poitrine.

Une trentaine de minutes plus tard nous ressortîmes de l’espace VIP après avoir pris chacun une douche. Mark régla la facture auprès de Light et le couple prit congé de nous.
En sortant, Mark lança une salutation à un jeune homme qui pénétra dans le bar. C’était probablement un nouveau puisque son visage ne me disait rien. Ce qui me frappa c’est l’épaisseur et la musculature de son corps. En marchant, on pouvait distinguer son énorme sexe qui descendait jusqu’à la moitié de ses jambes.


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