Instant érotique : Viol (interdit aux -18 ans)


viol

Est-ce-qu’il existe un viol avec consentement ? Au fond je ne pense pas.

Depuis le début de cette histoire de virus, il m’est impossible de voir Marc, mon petit-ami. Pour lui il vaut mieux limiter nos déplacements et se voir à la fin de l’état d’urgence, que de prendre des risques maintenant. Je n’étais pas de cet avis. J’ai besoin de lui et mon corps a besoin du sien, encore plus maintenant que le Covid19 a mis un frein à l’obtention de mon diplôme. Foncièrement, je savais qu’il avait raison. C’est un ennemi qu’on ne voit pas et on peut être contaminé sans savoir. On ne s’en rendra compte que deux semaines plus tard après avoir peut-être touché une cinquantaine de personnes, voir plus. Donc je suis là, impatiente de retrouver mon homme.

Je venais de terminer mon film quand mon grand frère cria mon nom. J’allai le voir pour lui demander de quoi il avait besoin. Il me fait savoir qu’un manuscrit qu’il avait envoyé pour saisie vient d’être terminé, si je ne fais rien je pourrais aller le lui récupérer. Il a bien choisi son moment, il était déjà plus de vingt heures, je n’aimerais pas être hors de la maison lorsqu’il sonnera vingt-et-une heures, heure du couvre-feu. Alors sans perdre une seconde, je prends la clé de sa moto et je descends à toutes jambes. Je démarre l’engin à deux roues puis je passe à une vitesse de soixante kilomètres heure.

D’après mes calculs je devrais arriver dans deux minutes puisque le cyber n’est qu’à deux kilomètres de notre maison. Je roule à une vitesse maîtrisable, les bonnes dames de la rue se pressaient pour emporter leurs marchandises. Celles qui venaient de loin étaient déjà parties, les plus proches restent souvent jusqu’à 10 minutes avant le début du couvre-feu. La route était parsemée de pierres et de carreaux cassés, je ne diminue pas ma vitesse pour autant. Je suis secouée sur la moto mais je tiens bon en m’accrochant au guidon. Soudain j’entends un grand clic et la chaîne de la moto commence à rugir. Cela faisait tellement de bruit que je dû m’arrêter pour voir quelle était la cause de ce chant affreux pour mes oreilles. Naturellement je ne comprends rien à la mécanique. Une revendeuse de pain ayant vu l’action au loin me fait savoir qu’une pièce s’était détachée de la moto lorsque je roulais sur l’amas de pierre et de carreaux. Je me dirige vers le tas et je parviens à distinguer un gros boulon, ce sera facile à visser avec la bonne clé, pensais je. Je scrute la rue du regard en espérant trouver un mécano. Je commence à paniquer quand je me rends compte qu’outre les revendeuses de pain je suis la seule sur la voie. Je perçois au loin une lumière donnant sur un atelier de soudure. Je traine la moto vers la lumière en espérant qu’elle soit salvatrice.

Je signale ma présence à l’entrée puis pénètre dans l’atelier. Je tombe sur un très beau jeune homme un peu musclé et torse nu. Il avait son nez dans son plat. Ce qui me frappa le plus, c’était le son qui sortait de son téléphone, sûrement du porno puisque son pantalon était visiblement débordé. L’odeur du métal rouillé empeste dans l’atelier. Je lis de l’étonnement sur son visage. Il se demande sûrement le but de ma présence à pareille heure, mais il ne semblait pas gêné de me laisser entendre ces gémissements qui émanaient de son téléphone.

Soudeur : Je peux faire quelque chose pour toi ? En continuant de mastiquer.

Moi : Oui, bonsoir. J’ai un gros problème et j’espère que vous pouvez m’aider. En roulant ce boulon s’est détachée de la moto et il faut que je le répare pour rentrer avant vingt-et-une heures.

Il tend la main pour prendre le bouton de ma main et sans jeter un œil à la moto il arrive à deviner que c’était l’écrou qui fixe l’amortisseur à la partie chaîne de la moto. Au contact de sa main je remarque que sa paume était endurcie, certainement à cause des années passées à travailler le métal.

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Soudeur : C’est l’écrou qui fixe l’amortisseur sur la partie de chaîne. Je peux le replacer mais il va falloir payer un nouvel écrou, celui-ci est usé.

Moi : D’accord, s’il te plaît fais-le. C’est la moto de mon grand frère, il se chargera de changer les boulons lui-même (la mine triste)

Soudeur : D’accord, ça fera 200 francs.

Moi : Ok, mais j’ai pas de monnaie sur moi. Tu peux le faire et demain dans la matinée je paie ?

Soudeur : …(silencieux, le regard perplexe)

Moi : S’il te plaît (je ne savais qu’elle attitude adopter pour qu’il accepte)

Soudeur : Je te le ferai gratuitement, c’est mieux.

Moi : Merci beaucoup. Je vais chez le document pour lequel je suis sortie et je reviens. D’ici là j’espère que vous pourrez résoudre mon problème.

Je sors de l’atelier et respire un grand coup d’air frais sans odeur de métal rouillé. Cet air me fit un bien fou. Je hâte le pas et me dirige vers le cyber qui n’était plus qu’à quelques centaines de mètres, en espérant que ce soit toujours ouvert. Je récupère le document de mon grand frère qui les avait prévenu de mon arrivée puis je reviens sur mes pas en me dirigeant vers l’atelier de soudure. Je me mis à penser au beau jeune homme qui serait sûrement entrain de s’affairer sur l’amortisseur. À mon grand étonnement il n’avait même pas encore touché à la moto. Il avait son chalumeau en main et soudait un bout de métal sur un portail métallique. Je le regardais à la fois étonnée, rouge de colère et éprise d’administration, en même temps il avait raison, je n’aurai pas à payer alors pourquoi se presser sur mon travail ?

Soudeur : Je voulais que tu sois là avant que je commence le travail pour qu’après tu ne viennes pas dire qu’il y a une pièce manquante sur la moto. Beaucoup de clients nous accusent d’enlever certaines pièces et de les garder.

Moi : Ah d’accord, je suis pas comme ça.

Soudeur : Beaucoup de clients disent la même chose (en déposant le chalumeau et le casque de protection)

Il prend son téléphone et arrête la vidéo puis se dirige vers la sortie, il fut si agile que je n’eus pas le temps de me dégager de l’entrée. Son sexe gonflé dans son pantalon se frotta contre ma cuisse. Il n’était visiblement pas gêné. Il s’accroupit à côté de la moto, une clé à douille en main et commençait à visser. Pour faire descendre la tension, j’engageais la conversation.

Moi : Comment se fait-il qu’un si beau jeune homme soit dans un atelier de soudure plutôt que dans un bureau climatisé ?

Soudeur : J’ai pas compris ta question

Moi : C’est pourtant simple comme question

Soudeur : Tu veux laisser sous-entendre que ce travail est destiné à une catégorie de personnes dont je fais pas partie ? (En levant ses yeux transperçants vers moi)

Moi : Non euh…

Soudeur : Tu fais partie de ces personnes là qui se sont fait des stéréotypes et des préjugés dans leurs esprits. Parce que je suis beau je dois forcément être dans un bureau ! Je suis sûr que tu te dis que j’ai été un vilain garçon à l’école, c’est pourquoi j’ai atterri ici.

Moi : Non, euh- mais- au fait je veux savoir pourquoi tu fais la soudure, c’est tout. J’ai mal posé la question

Soudeur : Parce que j’aime ce boulot et je gagne bien ma vie. (En serrant une dernière fois avec plus de vigueur l’écrou) Voilà c’est fait.

Il s’approcha de l’entrée et je lui fais place pour le laisser passer, il s’arrêta en face de moi et en me regardant fixement dans les yeux me demanda «tu sais ce que je regardais sur mon téléphone ?». Je fus surprise par sa question et je réponds « je ne veux pas le savoir, merci pour l’aide». En voulant sortir de l’atelier je me heurte à son bras qu’il venait de placer contre la poutre pour me barrer le passage. Le rythme de mon cœur s’accéléra et l’odeur du métal rouillé se fit plus intense dans mes narines. Mon esprit voulait le repousser mais je n’étais plus maîtresse de mon corps. Il approcha son visage du mien et huma profondément mon odeur. Je recule ma tête jusqu’à la coller contre la poutre, c’était insuffisant, il approchait toujours son visage comme pour chercher je ne sais quoi dans mes yeux.

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Il passa son doigt dans mon cou et le fit descendre jusque dans le creux de ma poitrine. La sensation était assez agréable mais je ne pouvais me le permettre. Je le repousse brutalement sur le côté puis me dirige vers la moto. Il saisit mon poignet avant que je réussisse à faire plus d’un pas hors de l’atelier, puis me tire violemment vers l’intérieur. «Je vais crier si tu me lâches pas» en essayant de le repousser de toutes mes forces. «Je ne te crois pas» avait-il répondu avec un sourire énigmatique, qu’avec dénégation, je trouvais charmeur. J’ouvre grand la bouche pour prendre mon souffle et quand je m’apprêtais à crier il colla ses lèvres sur les miennes, absorbant mon cri. Instinctivement par réflexe, je lui donne un violent coup dans l’entrejambe pour me libérer mais je ne réussis qu’à le repousser de quelques centimètres. Il serra fortement mon poignet d’une main et de l’autre attrapa son sexe. Il se tordait sous l’effet de la douleur. Curieuse et perplexe, je l’observe se marrer tout en me demandant ce qui le faisait rire dans une pareille situation. Après une minute de massage sur son sexe, il se redressa et m’observa quelques secondes puis commença à s’approcher de nouveau. Il me coinça contre un énorme poteau métallique malgré mon effort pour me libérer, il passa son doigt dans mon cou et le fit descendre Jusqu’à l’entrée de ma jupe. Mes membres étaient engourdis et mon corps ne répondait pas à mes ordres. Je ne sais pas pourquoi mais étrangement je n’avais pas peur, peut être parce qu’au fond je brûlais déjà de désir quand j’ai posé mon regard sur ce magnifique spécimen.

Il plongea soudain sans main dans ma jupe et me caressa le pubis par-dessus la culotte. Pour réaction je lâchais un petit soupir, ce qui lui donna confiance en lui. Il activa sa main sur mon pubis, ce qui amplifiait mon excitation. J’avais abandonné toute idée de le repousser et je m’abandonnais à la paume rugueuse de sa main. Il passa sa langue en douceur sur le lobe de mon oreille et y déposa un souffle chaud et agréable. J’ondule le bassin à chaque mouvement de sa main pour plus ressentir les caresses sur ma chatte. De l’autre main il aggripait fortement le poteau métallique en se collant contre moi comme s’il avait peur que je m’enfuis. Il fit descendre sa main jusqu’au dessus de mon sexe et frotta énergiquement un doigt contre mon clitoris. Je gémis légèrement sous ses caresses qui continuaient d’emplifier mon désir. Soudain mon esprit se raviva et je le repousse brutalement. Il se rapprocha aussi vite que je l’avais repoussé et se colla à nouveau contre moi en me plaquant contre le poteau. Il fit pénétrer un doigt à l’intérieur de mon sexe, ce qui me fait abandonner toute résistance. J’étais tellement excitée que j’étais prête à me donner à lui. Il agitait sa main sur mon clitoris et je mouillais abondamment. Il glissa un doigt à l’intérieur de ma chatte et je gémis légèrement. Je sentais son doigt rugueux entrer et sortir de ma chatte sans difficulté à cause de ma mouille. Il frottait son doigt contre chaque centimètre de ma minette et j’étais en extase. Il continuait de me doigter un bon moment tout en me léchant le coup. Je n’en pouvait plus, je le voulais à l’intérieur de moi. Je commence à descendre la fermeture de son pantalon et je plonge délicatement ma main à l’intérieur. Je fus choquée par l’énormité de ce que ma main venait de toucher. Je n’en revenait pas que ce soit une verge. Je la sors de sa cachette et la masse délicatement. J’eus l’envie de la prendre dans ma bouche et de la sentir chaudement sur ma langue, je voulais m’abaisser mais il me retient. Il saisit son énorme sexe courbé vers le haut et en me fixant droit dans les yeux, le frotta contre mon clitoris après avoir soulevé ma jupe et décalé ma culotte sur le côté. « Vas-y» je venais de lui donner le feu vert.

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Il plaça sa verge à l’entrée de ma chatte et commença à me pénétrer lentement. Je gémis malgré mes efforts pour garder le silence. Je le sentais venir en moi. Je commençais à avoir mal au fur et à mesure qu’il plongeait dans mon intimité. C’était à la fois douloureux et agréable. Ma chatte n’était pas modelée pour les grosses bites. Ayant remarqué que j’avais mal, il sortit sa verge et me pénétra à nouveau, il répéta le geste jusqu’à ce que son sexe soit totalement en moi. Ma chatte n’avait pas pu avaler toute sa bite, elle était énorme et en même temps longue. Sous l’effet du plaisir je le sert fortement contre moi, je ne jouissait pas mais mes pieds tremblaient déjà.

Il entama de lents vas et viens, ma chatte brûlait de plaisir. Je lui mordille le creux du cou pour ne pas laisser sortir mes gémissements. Il commença à accélérer et mon plaisir augmentait au fur et à mesure. Il saisit ma deuxième main et la plaça fermement contre le poteau métallique. Bras écartés, j’étais comme sur un crucifix. Ses coups devinrent plus puissants et plus rapides. Je haletais et je gémissais de plaisir, tellement c’était intense que je n’arrivais plus à tenir sur mes jambes mais le beau soudeur me retenait contre le poteau. Une quinzaine de minutes plus tard je me sentais à l’apothéose. «plus vite» avais-je lâché. Je me doutais qu’il pouvait aller plus vite qu’il le fait déjà. Il redoubla d’intensité et me baisait violemment. Son sexe cognait le fond de ma chatte. C’était douloureux et très agréable. Je commençais à jouir longuement comme d’habitude mais plus intensément. Tout mon être était parcouru par une vague de plaisir et de tremblement. Je gémis profondément et bruyamment. Mon orgasme dura une bonne minute et je vis son visage se déformer de plaisir. «Pas à l’intérieur» avais-je lâché. Il se retira brusquement se tourna sur le côté et se masturbait pour finir le boulot. Des jambes toujours tremblantes, je réussis à m’appuyer contre le poteau. Il grogna bruyamment en expulsant un puissant jet de foutre qui atterrit plus loin sur le chalumeau et le casque de protection. Il continuait de se branler tout en grognant, le visage vers le ciel. J’observe cette scène hilarante et j’arrange ma jupe après avoir replacé ma culotte. Ma chatte brûlait toujours de désir mais il fallait que je rentre au plus vite. Il secoua énergiquement sa verge et la fit entrer dans son pantalon puis se retourna vers moi avec un sourire de satisfaction.

Soudeur : On remet ça sur quand tu voudras

Moi : Une chance sur dix mille que ça se reproduise. Je l’avoue j’ai pris mon pied mais il faut que je rentre maintenant.

Son regard s’assombrit quand il entend ses paroles sortir de ma bouche. Il prend son téléphone et le retourne vers moi. Merde, il est déjà vingt-et-une heures dépassé de neuf minutes. Sans plus un mot je fonce vers la moto et dès que j’allume les phares je perçois au loin deux hommes en uniforme, c’était les FOSAP, les Forces Spéciales Mixtes Anti Pandémie. Ils étaient reconnaissables partout avec leurs brassards blanc au bras. Mon cœur s’emballa.


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