Mon répétiteur-Chap 3 : la plus belle b*te que j’ai jamais vue (déconseillée aux moins de 18 ans)


Mon répétiteur est une série d’histoires publiée chaque vendredi nuit par Tony Hemrix. Restez câblés pour la savourer. Formellement déconseillée aux moins de 18 ans. Bonne lecture.

 

Pour rendre ses temps libres utiles, son père lui recruta un répétiteur d’anglais vu que ce fut son choix après son admission à l’UL ( université de Lomé ). Tania tombée sous le charme de son répétiteur, n’hésitera pas une seconde à passer à l’action pour séduire ce dernier.

Tania toute excitée, sa fendue toute mouillée réclamerait le membre de son répétiteur. Tout ce qu’elle voudrait c’est sentir sa verge dans son entrejambe et jouir comme dans son fantasme.

Chap 3 : la plus belle b*te que j’ai jamais vue

Par surprise j’abaissai ma tête puis vit son pénis qui se mettait en érection dans son pantalon. Je me disais qu’il ne fallait pas que je vois ça. Je voyais la forme de sa bite dans son pantalon, ce qui me faisait déjà mouiller sous mon pagne.

Étant déjà dans la gueule du loup, Il fut gêné de l’état de sa bite dans son pantalon vu qu’il se trouvait juste devant, face à moi.

Le pauvre, il faisait de sorte sue je ne voie pas ce que sa bite venait de réaliser oubliant que j’étais l’auteure du sort.

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Il essaya de bien l’arranger tout discrètement mais n’y arrivait toujours pas.

N’ayant plus le choix, il me demanda tout gentiment:

– Euh je peux vous emprunter votre toilette ? .

– Euh… Oui bien sûr sans soucis monsieur.

Il est resté assis en attendant que je me lève d’abord afin qu’il puisse rester derrière moi et me suivre tout en regardant mes grosses fesses se remuer sous mon pagne et surtout pour ne pas que je vis l’état dans lequel se trouvait sa canne.

 

Sachant bien qu’il était KO, je marchais tout lentement et remuait les fesses comme toute femme qui se battait pour ce qu’elle a envie d’avoir. J’essayais par mes fesses de lui augmenter plus sa pulsion et durcir plus sa bite.

Il matait la fente de mon cul à travers le pagne puis serra encore plus fort son pantalon.

Je le regardai avec un clin d’oeil puis sourit tout en poussant un tout petit peu mon cul vers l’arrière pour faire voir encore plus sa fente.

 

Je l’amenai dans les toilettes puis sortit en gardant un tout petit peu la porte ouverte.

Il ouvrit la fermeture de son pantalon puis sortit sa verge et commença par uriner afin de diminuer la dureté de sa bite.

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Il avait une belle grosse bite claire et un gland très beau . Je n’avais jamais vu une bite si belle. Ça me donne envie de la sucer comme un bonbon.

J’avais tellement envie de la mettre dans ma bouche et la croquer comme un concombre et pourquoi pas tout bouffer.

<<Wao elle est mignone sa bite, elle est toute Blanche et grosse. J’ai tellement envie de la croquer>>. Ce que je me disais en mordant mes lèvres.

 

Je ressentais des vibrations dans ma chatte sous le pagne. Je ressentis une chaleur intense dans ma matrice qui me faisait mouiller encore plus et me donnait envie de sentir la bite de mon répétiteur pétrir ma chatte.

Le voyant remuer sa grosse bite métisse après qu’il ait fini d’uriner créait des sensations plus fortes en moi. Cetait comme s’il y avait un truc qui me chatouillait dans la chatte.

Mon vagin s’humidifiait ; se mouillait sous mon pagne et coulait sur mes cuisses.

Je mis deux doigts dans ma bouche puis les lubrifiai avec ma salive et l’introduisit dans mon fourreau.

 

-Oh non ! Je crois je vais mourir ce soir rien qu’en me godant la chatte. Disais-je tout discrètement

Je me caressais le clitoris et tripotais mes nichons. L’envie augmentait encore plus et envahissait tout mon corps.

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Je plongeai mon majeur dans ma chatte et l’enfonçais au plus profond afin de ressentir plus de douceur et de jouissance dans mon corps.

J’étais présente de corps, collée au mur mais avait l’esprit ailleurs. Je fantasmais sur la verge de Mon Répétiteur comme s’il se tenait déjà en moi.

Tout ce que je voulais en cet instant c’est qu’il me prenne à quatre pattes et me baise comme une traînée avec sa belle bite.

Je ne pouvais donc plus supporter qu’il me laisse de l’eau à la chatte et à la bouche et pire me priver de cette sensation de dingue qui circulait dans mes nerfs. Alors je me suis dis: <<Et si je le surprenais ? Je crois qu’il est temps que je tente ma chance car j’ai tellement envie de sa bite ; sentir son corps contre le mien ; sentir la chaleur son pénis ; sentir son sperme circuler dans mes veines et ses coups de reins battre mon coeur. >>.

Il était temps que j’arrête de jouer à « jack où es-tu » et passer à l’action pour avoir ma proie.


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