WhatsApp : l’application de messagerie appartenant dorénavant à Zuckerberg a conquis nos cœurs. En effet, il s’agit d’une des applis de messagerie instantanée les plus utilisées en Afrique et dans le monde. S’il est concurrencé par plusieurs autres, aucun concurrent de taille ne vient d’Afrique.
C’est justement pour créer une application africaine pour les Africains que de jeunes camerounais ont créé OnDjoss l’appli qui compte détrôner WhatsApp sur le continent africain et peut-être même dans le monde.
Si beaucoup de personnes utilisent WhatsApp, il n’en demeure pas moins évident que l’appli a quelques failles. Il s’agit notamment : du nombre de personnes que l’on peut intégrer dans un groupe (qui est limité à 256), de la protection réelle des données et de la vie privée.
Ce que OnDjoss a de plus que WhatsApp.
La particularité de l’application camerounaise est justement le respect de la vie privée et la protection des données des utilisateurs. En effet, l’application permet aux utilisateurs de protéger leurs données grâce à l’ADN ; une garantie que l’on ne retrouve pas sur l’application de Zuckerberg.
Entre autres, toutes les fonctionnalités inhérentes aux applications de messageries classiques (envoi de textos, de notes vocales, les appels vidéo et audios) y sont intégrées. Les autres avantages clé d’OnDjoss sont la possibilité d’envoyer des fichiers lourds et de créer des groupes de discussion pouvant contenir jusqu’à 500 personnes.
Pas de coup d’État possible sur OnDjoss. En effet, celui qui crée un groupe est un “super administrateur” et il peut nommer et supprimer les autres admins sans pouvoir lui-même être retiré du groupe ou voir son titre retiré par un de ses admins (cool non ?). Vous pouvez même dessiner vos propres émojis grâce à cette appli…
Valère Tchapda, le cofondateur d’OnDjoss a affirmé :
“Jusqu’ici, nous avons de très bon retour venant de plusieurs pays africains et des frères de la diaspora. Pour vérifier cet engouement, il suffit de consulter les commentaires sur Playstore et notre page Facebook. Mais, nous sommes conscients que nous avons encore beaucoup à faire… ”
N’hésitez donc pas à l’essayer et donner vos avis.
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