Togo : Covid-19 ne freine aucunement la s€xualité de la population


7 choses à faire immédiatement après un rapport s3xuel

L’avènement de la Covid-19 et l’instauration des mesures barrières par l’OMS ont fait croire que la vie des Togolais connaitrait un bouleversement sur tous les plans. La preuve en est la suspension de toutes activités festives et la chute de l’économie togolaise. Mais il y a quand même un domaine qui ne semble pas être affecté par la Covid-19 : il s’agit du domaine sexuel.

Les règles de distanciation sociale ont été respectées par les Togolais dans tous les endroits, sauf dans la chambre. C’est ce que nous allons développer dans cet article.

Voici 3 raisons qui prouvent que la Covid-19 n’a freiné en rien la libido des Togolais

1- Le confinement

Le confinement est le premier point qui appuie notre thèse. Durant les périodes du confinement et du couvre-feu, les maris (qui avaient l’habitude de rentrer tard) ont été obligés de rentrer tôt pour passer du temps avec leurs familles. Et quand on parle de passer du temps, cela inclut les rapports sexuels. D’ailleurs, nous avons eu à lire certaines publications ironiques dans lesquelles les femmes demandaient au gouvernement togolais de prolonger le couvre-feu ; parce que leurs maris passaient beaucoup plus de temps à la maison et les satisfaisaient au lit.

2- L’avènement des sextapes

Si à cause de la Covid-19, la vente et l’achat des tests de grossesse ont augmenté en France durant la période du confinement, du côté du Togo, ce sont les sextapes qui ont vu le jour. L’année 2020 a été celle où le Togo a plus connu les affaires de sextape. Et pourtant, les agents de santé n’ont cessé de clamer haut et fort qu’il faut respecter les mesures de distanciation sociale.

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C’est vraiment paradoxal. Cela prouve que même si les Togolais semblent respecter les règles en n’allant plus à l’église, en ne se rassemblant plus, ou en ne participant plus aux activités festives, rien n’a changé sur le plan sexuel.

3- Les grossesses en milieu scolaire

Les grossesses en milieu scolaire ont été récurrentes en cette période de Covid-19. Le Kenya a battu le record avec plus de 3000 élèves tombées enceintes pendant le confinement. Le Togo a aussi énuméré plusieurs cas de grossesses en cette période. Le cas le plus flagrant est celui d’une élève en classe de CM2 qui a été enceintée par le directeur de son école. Notons que l’élève en question n’a que 12 ans.

En plus, des vidéos de certains élèves s’adonnant à des pratiques sexuelles ont circulé, ce qui a même fait réagir le gouvernement togolais. La dépravation sexuelle en milieu scolaire n’a jamais eu autant d’ampleur dans les années précédentes. L’année 2020 est vraiment particulière.

Ce qui est encore plus intéressant dans cette histoire est que les sextapes ne cessent de voir le jour au Togo ; et ce, malgré les règles de lutte contre la Covid-19 qui sont toujours en vigueur. On attend donc la fin de l’année pour faire un bilan global. Abonnez-vous à Gnadoè Magazine pour ne rien rater.


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