Urgent : un béninois prétend être l’auteur des œuvres de Kerozen, Almok, Ariel Sheney et plein d’autres artistes africains


Béninois

Cette nouvelle vient tout fraîchement créer la polémique dans toute l’Afrique de l’Ouest et Centrale. En effet, un Béninois qui résiderait au Cameroun est accusé de s’être déclaré comme étant l’auteur des œuvres de plusieurs artistes africains. Ce sont les sources béninoises elles-mêmes qui affirment qu’il est de leur nationalité.

Nous assistons peut-être au plus gros vol dans l’industrie de la musique Camerounaise et de l’Afrique toute entière.

Quelle est l’identité de ce Béninois ?

Selon les informations recueillies auprès de la SACEM (Société des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique), ce Béninois se prénomme Pacome Amoussou (on ne sait pas si c’est son vrai nom ou pas). Il s’est attribué le titre d’auteur compositeur sur 187 œuvres au total. Cette société fondée en 1851, a son siège en France et est implantée dans plus de 168 pays dans le monde. Elle comptabilise plus de 2 millions d’œuvres déposées chaque année.

Le béninois Pacome Amoussou s’est donc déclaré auteur de plusieurs œuvres des artistes camerounais à l’instar de Blanche Bailly, Maalhox le Viber, Salatiel, etc.

Pacome ne s’est pas arrêté sur le plan national. Il a mentionné les œuvres d’autres artistes internationaux comme étant sienne. Parmi ces artistes, on peut citer Vano Baby, Almok, Ariel Sheney, Fanicko, Sessimè, Inoss B et plein d’autres encore.

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C’est un acteur du showbiz camerounais qui a fait le constat et l’a révélé au monde entier. Pacome Amoussou a enregistré plusieurs tubes africains en son nom auprès de la Sacem.

Voici en images quelques chansons que ce Béninois a enregistrées en son nom :

La question qui reste posée est de savoir comment cette grande société n’a pas pu se rendre compte du vol commis par ce Béninois. Les chansons dont il prétend en être l’auteur n’ont-elles pas fait le tour du monde ? Comment les membres de cette société n’ont pas pu voir clair dans cette arnaque ?

Gnadoè Magazine vous tiendra informés de la suite des événements. Mais pour l’instant, chers artistes, allez réclamer vos droits au plus vite. Nous avons pu entrer en contact avec un certain Pacôme Amoussou également qui nous a donné sa version des faits.


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