Fatigué des messages incessants reçus sur WhatsApp, un père de famille a fait part de la pression ressentie au sein de la conversation familiale avant de quitter la discussion.
« Je ne peux pas lire tout ça, je ne supporte plus de toujours devoir rire ou aimer ou ajouter des petits cœurs à chaque pensée, photo ou blague publiées ici. », a écrit Thomas D’Orazio, 51 ans, dans le groupe WhatsApp familial. « Oui, j’aimerais, je rirai, je compatirai toujours avec vous. Mais je ne peux plus vivre avec cette pression, je pars, et c’est signé d’un vieux grincheux né avant les portables », a conclu l’Américain qui vit en Pennsylvanie. Le message du père de famille est très vite devenu viral après que sa fille l’a partagé sur Twitter, le 16 janvier dernier. Il compte aujourd’hui près de 15 millions de vues.
Charge mentale des messages WhatsApp
Plus qu’un simple message, l’histoire soulève une véritable problématique de plus en plus rencontrée à l’ère des réseaux sociaux et des applications de messagerie. Ce phénomène équivaut à la « l’épuisement numérique », et il se produit généralement lorsque les notifications explosent en volume, ne laissant ni le temps ni l’énergie pour les vérifier.
Heureusement, après quelques semaines, il est désormais possible de quitter une conversation de groupe WhatsApp sans le rappeler aux membres. Seuls les administrateurs du groupe concerné seront avertis du départ d’un participant. Ainsi, lorsqu’un de vos amis quitte le groupe, il n’y aura plus de messages du type « X a quitté la conversation » sur le groupe.
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