LES CHRONIQUES D’AMÉ : MON FILS ÉTAIT ASSIS PARMI LES CADAVRES – COMPLET


LES CHRONIQUES D'AMÉ

Bonjour chers lecteurs.

Aujourd’hui mon témoignage est pour rendre gloire au Seigneur car il a fait des merveilles.

Je viens d’une famille très pauvre, tellement pauvre que j’ai dû aller au foyer beaucoup plus par famine qu’autre chose. Mon père décida de me donner en mariage au premier venu, le féticheur du village. J’en voulus terriblement à mon père pour ce mariage forcé car j’étais chrétienne et m’envoyer dans les bras d’un animiste, je trouvais que c’était le pire châtiment qui pouvait exister sur terre. Malheureusement, je n’eus pas mon mot à dire. A peine avais-je fini la troisième qu’on me déposa dans ce que j’appellerai mon foyer. Mes parents étaient des animistes comme ce vieil homme dégoûtant  et polygame. Ils n’avaient jamais été d’accord que je choisisse de suivre Dieu. Pour eux, la meilleure religion était celle des dieux. Je n’étais pas de cet avis car dès les premiers instants où j’ouvris la bible, je ne m’en décollai plus jamais.

J’avais la certitude d’avoir une alliance particulière avec Dieu. Je le savais présent partout et en toute chose. Le jour de mon mariage, je n’avais que 14 ans, j’avais serré contre moi, ma bible lorsqu’on me fit rentrer dans la cour de cet homme. Dès qu’il posa les yeux sur la bible, il me l’arracha des mains et la jeta au loin. Je savais que le début d’un vrai calvaire venait de sonner mais ce que je ne pouvais imaginer, c’était la fin horrible sur laquelle se posèrent mes yeux.

Cet homme avait une dizaine d’année de plus que mon père, quand je dis qu’il était vieux, il l’était vraiment. Les grands hommes venaient dans des voitures de luxe le consulter. Ils affluaient de partout car sa réputation était « Bonne ».

Lorsqu’il finissait de « travailler » la nuit, lorsque c’était ma semaine, il passait son temps à me violer car je me refusais à lui. Il me dégoutait. Tout me dégoutait. Même le sol sur lequel je marchais me dégoûtait tellement il était souillé par le sang des animaux sacrifiés pour ses rituels avec ses clients.

Il m’avait interdit de me rendre à l’église, il m’avait également interdit de prier sous son toit mais les nuits lorsqu’il dormait chez ses autres femmes, je priais et suppliais Dieu de me sortir de cet enfer.

Quelques mois après, je constatai que j’étais enceinte. Je m’effondrai tellement je ne voulais jamais porter l’enfant de ce diable que j’appelais mari. Je pleurai nuit et jour, mais il disait que lorsque je priais ou pleurais, je portais entrave à ses pratiques car les esprits n’aimaient pas les larmes et les prières. Pourtant je continuais de me cacher pour prier car je ne pouvais pas vivre et survivre dans cette maison sans mon Dieu.

Une nuit, il me surprit en train de prier et convoqua ma famille le lendemain matin. Il se plaignit à mon père qui sans hésiter, alla chercher une lanière et me chicota proprement sous les yeux de mes rivales et de leurs enfants. J’étais bel et bien enceinte et mon ventre s’affirmait déjà assez bien, mais mon père n’eut pas pitié de moi. Il ne fit que ce que cet homme lui demanda, en échange de quelques billets de banque.

C’est seulement à partir de ce jour que je ressentis de l’amour pour l’enfant que je portais car je me rendis compte qu’il n’y avait que lui et moi au monde, seuls contre tous.

Je consacrai toute mon énergie à ma grossesse, elle fut difficile et le jour de l’accouchement, ce furent les femmes de mon mari qui firent venir mon fils au monde. Elles ne nous ménagèrent point car elles ne m’aimaient déjà pas à la base. Mais contraintes, elles durent le faire pour respecter la volonté de leur mari.

Elles disaient que j’étais sa préférée et qu’en tant que dernière je mettais au monde un fils. C’était beaucoup trop pour elles surtout que notre mari adorait les garçons.

Je mis un temps relativement long pour me remettre de cet accouchement mesquin. Mon fils était devenu la plus belle chose de toute ma vie. Il avait de magnifiques yeux et souriait à tous ceux qui voulaient le porter. Je venais d’avoir 15 ans.

Je ne pouvais pas parler de prière de bénédiction à mon enfant. Je savais que c’était contre le règlement de la maison alors je continuai à voler quelques minutes de prières dans la vie de mon fils. Je priais pour lui, sa vie, son avenir et je priais pour nous. Je ne savais pas comment cela pouvait-être effectif mais je demandais à Dieu de nous sortir de cette prison.

Dès que j’avais un petit instant je me m’étais à prier en silence. Je posais les yeux sur mon fils et mes larmes coulaient car je ne savais vraiment pas quel avenir lui et moi avions dans cette maison. Moi qui voulais aller à l’école et devenir institutrice un jour, je me retrouvais mère et épouse battue, violée, violentée, humiliée… J’étais constamment en peine mais cet homme semblait ne pas le voir.

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Il m’obligeait à préparer les animaux tués pour les sacrifices et m’obligeait à subir le rituel de protection qu’il faisait en début de chaque trimestre à toute sa famille avec des poules qu’il tuait par étouffement ou étranglement.

Il continuait de recevoir ses personnalités et leur faisait des rituels. Ça ne désemplissait jamais. Il en était fier parce que tous parlaient de lui. Dieu sait à quel point je priais pour que quelque chose lui arrive. Je subissais ses supplices sans jamais oser en parler à ma mère car comme mon père, elle disait que je ne pouvais pas trouver meilleur mari que cet horrible personnage. Elle me disait de ne point me plaindre, de me taire et de supporter. Elle enviait même ma place dans ce foyer alors que je vivais un enfer.

Pendant la période des grandes élections dans la capitale, de grands politiciens venaient consulter le père de mon fils. Ils ramenaient des moutons, des bœufs, il y en avait beaucoup et constituaient ainsi sa richesse. Il leur faisait des consultations et leur prescrivait des rituels qu’ils revenaient tous faire.

Les semaines d’après, je trouvai mon mari très très mystérieux. Il m’informa qu’il irait passer quelques jours dans une autre de ses maisons en brousse. Il avait besoin de calme pour travailler et devait y aller. Il me donna trois semaines pour lui apporter à manger là-bas. Je m’y opposai mais je reçu une gifle. En partant il déposa un billet de deux milles sur le lit et me demanda de prendre un taxi et de m’arrêter à un endroit qu’il m’indiqua à une heure précise.

  • Amène le bébé. Je ne veux pas que tu le laisses seul à la maison là-bas.

DEUXIEME PARTIE

Les semaines d’après, je trouvai mon mari très très mystérieux. Il m’informa qu’il irait passer quelques jours dans une autre de ses maisons en brousse. Il avait besoin de calme pour travailler et devait y aller. Il me donna trois semaines pour lui apporter à manger là-bas. Je m’y opposai mais je reçu une gifle. En partant il déposa un billet de deux milles sur le lit et me demanda de prendre un taxi et de m’arrêter à un endroit qu’il m’indiqua à une heure précise.

  • Amène le bébé. Je ne veux pas que tu le laisses seul à la maison là-bas.
  • D’accord. Je ferai comme tu souhaites.

Ce fut-là la dernière phrase que je dis à mon époux. Avec les deux milles francs qu’il avait laissés, je devais attendre les deux semaines pour lui faire une sauce et la lui apporter.

Ce furent deux semaines de pur bonheur car je pouvais ainsi m’enfermer dans ma chambre et lire ma bible ou prier. Je le faisais constamment, je croyais que le seul à pouvoir me sortir de cet enfer était Lui, Dieu et personne d’autre.

J’étais constamment persécutée par mes coépouses. Elles profitaient de l’absence de leur époux pour me provoquer en duel mais je ne répondais jamais. Je demandais à Dieu de me donner encore plus de patience et de force pour survivre.

Plus le jour du voyage approchait et plus je ressentais une profonde angoisse. Je ne savais pas d’où elle provenait mais l’idée d’aller rejoindre cet homme aussi loin m’effrayait et m’angoissait. Je confiais ce séjour à mon Dieu sans arrêt. Je lui disais :

  • Dieu tu sais à quel point je ne puis rien sans ta main protectrice. Veille sur mon fils et moi, je ne sais pourquoi je me sens aussi mal à l’idée d’effectuer ce voyage mais sois avec nous Dieu de toute chose.

Le jour J, je me levai tôt et fis ma prière avant d’apprêter mon fils pour la route. Le repas prêt depuis la veille, je rangeai tout dans un panier que je portai sur la tête. Chose bizarre, mon fils au dos n’arrêtait pas de pleurer. Pourtant mon bébé ne pleurait presque jamais. J’essayai de le calmer sans succès, au final pris de sommeil, il s’endormit.

Mon mari avait demandé à un de ses amis, chauffeur de taxi de passer nous prendre et me déposer à un endroit. C’était devant une forêt terriblement touffue, j’en eus la chair de poule. Un petit sentier traversait cette forêt. Il me donna pour instruction de suivre le sentier, que mon mari habitait non loin et que je le croiserai en route.

Je peux vous assurer que pendant au moins 30 mn, j’empruntai seule ce sentier sans l’ombre d’un être humain. Je tremblais de peur car jamais je n’avais eu aussi froid dans le dos de toute ma vie. Plus j’avançais et plus ma gorge se nouait. Je dénouai mon pagne et portai mon fils contre ma poitrine panier toujours sur la tête. Après pratiquement 45 minutes de marche dans une forêt totalement sombre d’arbres et de feuilles, je tombai sur une clairière et enfin je découvris la première case au loin.

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Une fumée se dégageait de l’arrière et dès que mon mari entendit mes pas, il se précipita dehors et me demanda d’enlever mes chaussures ce que je fis sur le champ.

  • Tu m’as apporté mon repas ? Me demanda-t-il sans aucun geste chaleureux.

Je posai le panier à ses pieds et lui demandai si je devais le servir à l’instant. Il me dit que non, qu’il n’avait pas besoin que je le serve mais qu’il voulait que j’aille dans l’une des cases me doucher.

  • Laisse le bébé là, tu n’as pas besoin de l’y amener, il peut rester avec moi, après tout je suis son père.

Je m’exécutai et pénétrai dans la case indiquée. L’endroit était vraiment insolite. Rien avoir avec notre maison au village. Ici c’était vraiment un temple car il y avait des objets, gris-gris et fétiches de toutes les tailles. Tout était vraiment hostile et l’endroit dégageait une puanteur sans pareille. J’avais la nausée tellement l’odeur était forte.

Je me posais bien des questions. Comment un être humain pouvait vivre dans une telle puanteur ? Comment vivre et dormir avec tant de fétiches autour de soi ? Et comment dormir seul dans une forêt aussi profonde ?

À ma sortie de la douche, je ne trouvai plus mon mari et mon fils. Je fis le tour des cases sans succès, mon mari avait juste disparu avec mon enfant. Prise de panique je me mis à courir et à appeler son nom mais où aller ? Il commençait à faire vraiment nuit, les cases n’étaient pas éclairées et j’étais seule au milieu de nulle part. J’eus envie de pénétrer dans la forêt une fois de plus mais me ravisai de justesse car sans lumière je ne pouvais aller loin.

Je me laisser tomber au sol les larmes plein les yeux. Mon mari avait disparu avec notre fils. A terre, j’implorais Dieu. Je lui parlais comme quand on parle à une personne en face de soi. Mes larmes coulaient sans arrêt puis j’avais peur, je tremblais comme une feuille. Je continuais à appeler le bébé et mon mari mais je ne recevais aucun signe en retour. Toute la nuit, je restai recroquevillée sur moi-même contre une des cases dans la nuit noire. Je ne fermai pas l’œil. Je scrutais le moindre bruit, pas, froissement de feuilles d’arbres sèches… Je tendais l’oreille à la recherche du moindre bruit mais je ne percevais que le silence. Un lourd et pesant silence.

Mon angoisse devint très forte. Je commençai à avoir de la fièvre, je grelottais mais impossible de bouger de là.  Ce fut la nuit la plus douloureuse de ma vie. Entre les bruits des animaux et les fétiches je ne savais où donner de la tête. Je priai toute la nuit, intensément. Certes j’avais peur mais je n’avais que la prière et rien d’autre. Vers 5h du matin, je perçus les premières lueurs du jour avec grand soulagement mais mon mari n’était toujours pas de retour avec le bébé. Il avait disparu avec le panier et le bébé. Dès que la forêt s’éclaircît un peu, je décidai de partir à leur recherche.

La forêt était vaste, je ne savais par où commencer mais en suivant mon instinct de femme mère, j’empruntai le premier sentier que je vis devant moi. Il était moins large que celui que j’avais emprunté pour arriver là. Je marchais sans repères. J’avais peur de me perdre mais que représentais une perte devant la vie de mon enfant ?

À un moment, j’eu l’impression de tourner en rond tellement j’avais ce sentiment de déjà vu mais je ne m’arrêtai pas là, je continuais.

Des heures passèrent mais aucun signe d’eux. Désespérée et en larmes, j’avais la sensation d’avoir perdu du poids. La tenue que je portais me descendait à l’épaule. J’avais des blessures aux pieds car dans ma marche, j’avais fini par perdre mes scandales. Je ne ressentis pas la douleur. Je voulais juste retrouver mon bébé.

Vers midi, j’étais certaine de m’être totalement perdu dans cette forêt. Je n’avais plus de repère du tout. Je me laisser choir sous un arbre et criai à Dieu. Je priais et pleurais à chaudes larmes. J’avais toujours ce très mauvais pressentiment qui ne me quittait pas.

Je culpabilisais d’avoir mis mon enfant en danger. Où pouvait-il être avec mon fils, et pourquoi je ne les retrouvais nulle part ?

Je restai sous cet arbre jusqu’au-delà de 15h. Allant de prière en prière, je n’arrêtai pas.

Lorsque je relevais la tête et je vis, dissimulé sous les feuilles, une petite case. Je retrouvai espoir et me levai. Au pas de course je me rendis là, Croyant être tombée sur des habitants mais plus je m’en approchais et plus je réalisais que non. Il n’y avait pas de vie et l’endroit puait comme un abattoir. Je me bouchai le nez avec la main et poussai le portail en tôle. Par terre je vis le panier de nourriture, quelques assiettes trainaient à côté, j’appelai le nom de mon mari, je n’entendis rien.

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Mon instinct me dicta d’aller vers une case spécifique. Une petite voix en moi qui m’obligeait à aller à l’intérieur. L’odeur infect avait l’air de provenir de là.  Je poussai la porte et je ressortis en courant après avoir poussé un cri.

Sur le sol, je découvris deux corps de jeunes enfants éventrés, les organes sectionnés et posés juste à côté, j’eux la nausée, je n’y croyais pas.  Je sentis quelque chose bouger à l’ombre car la lumière du soleil pénétrait dans la pièce par la fenêtre et laissait de l’ombre en arrière-plan. Puis j’entendis des gloussements de bébé. Je reconnus automatiquement la voix de mon fils, et là j’ouvris plus grandement les yeux.

Mon fils était couché parmi les cadavres, et juste à son côté, je reconnu la chemise qu’avait porté mon mari la veille. Il ne bougeait pas. Il était froid comme un poisson, il ne réagit pas lorsque je le remuai. J’éclatai en sanglot et portai mon fils dans mes bras puis sortis de la case totalement horrifiée par le carnage qu’il y avait à l’intérieur. Le couteau qui avait servi à trancher la gorge des enfants et à les dépecer était posé juste à côté de mon mari, je ne compris pas ce qui lui était arrivé mais mon fils n’avait rien et ce fut l’essentiel pour moi.

Je marchai avec mon bébé pendant de longues heures dans cette forêt, essayant de réaliser que ce que je venais de voir n’était pas le fruit de mon imagination. Je n’y croyais pas, je n’arrêtais pas de pleurer et prier que Dieu nous sorte de là. Je réalisais que mon mari assassinait des enfants et se servait de leurs organes pour faire des rituels à ses grands hommes qui venaient le voir. Il avait certainement voulu sacrifier aussi notre fils mais Dieu avait écouté mon cri de mère et l’avait épargné.  J’étais en pleine frayeur car je me disais que s’il n’était pas réellement mort, alors à son réveil il se lancerait à notre poursuite. Je n’arrêtais de marcher, tantôt courant pour gagner du temps. Je regardais en arrière, j’avais l’impression d’être suivie pourtant non.

Je marchai encore et encore et finis par tomber au bord d’une petite route goudronnée. Je venais ainsi de sortir de la forêt à mon grand soulagement. Je m’assis au bord du goudron mon fils en main. J’attendis que passe un véhicule, il n’en eut pas beaucoup, peut-être un toutes les 40 minutes mais je me mis à prier et un taxi finit par s’arrêter à ma hauteur avec des passagers. Le chauffeur me demanda si j’allais en ville, je répondis que OUI. Sincèrement je ne savais pas de quelle ville exactement il parlait mais je voulais partir très loin. Je ne pouvais dire à personne ce que je venais de voir au risque d’être abandonnée là au bord de la route. Pourtant c’est vrai, mon mari s’adonnait à des crimes rituels.

Le chauffeur me déposa dans un marché, à l’entrée d’une petite ville que je ne connaissais pas du tout. Lorsque je me renseignai, on me fit comprendre que j’étais à la frontière d’un autre pays et que j’étais à plus de 5 heures de route de mon village.

Une foi là, j’expliquai au chauffeur que je venais y travailler mais que la personne n’était pas venue me récupérer. Ce dernier parla de moi à certaines femmes l’une d’elles accepta de m’embaucher comme domestique. Elle accepta que je reste avec mon bébé. Cette dame était très gentille et bonne chrétienne. Elle prit soin de nous comme jamais je ne l’aurais souhaité.

Je ne cherchai plus à avoir des nouvelles de mes parents. Je me dis qu’à voir la distance, personne n’aurait retrouvé mon mari dans cette forêt. Je ne parlai à personne de ce que j’avais vu non plus de peur d’être traitée de folle ou de menteuse.

Je restai chez cette dame pendant deux années et au bout de la troisième, je lui demandai de m’aider à trouver une petite place au marché pour commencer la vente de produits de conserve avec mes économies. Elle accepta avec joie et m’aida à lancer mon activité.

Je ne croisai plus des membres de ma famille ni de mon époux. Pour moi cette vie était passée, je m’en construisais une toute nouvelle dans la prière et le respect des normes.

Il m’arrive de repenser à la scène horrible que j’ai découverte et je rendais gloire à Dieu pour son grand amour et sa fidélité car je sais que c’était lui qui m’avait sorti de ce gouffre, il a sauvé mon bébé et je lui en serai toujours reconnaissante.

 

Recueilli et publié par Amé Océane CODJIA

 

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25 Commentaires

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  1. Waou très beau témoignage que DIEU continue de te fortifier madame et continue de se manifester dans ta vie Amen

  2. Oooh quelle histoire horrible ..j’ai eu peur a la place de cette dernière. Heureusement que Dieu ne laisse pas ses enfants.
    Prions encore et encore

  3. Dieu est Dieu… Quand vous criez vers lui il répond toujours
    Merci papa pour ce que tu as fais
    tu es et demeures notre Dieu ?

  4. Une triste et belle histoire a la fois, triste de voir que nos familles africaines au nom de la culture ou pauvreté détruisent la vie de leurs propres filless en les mariant tres jeunes aux hommes pervers et méchants. Belle histoire, de par le fait que Dieu n abandonne jamais personnes malgré les obstacles et misères que nous pouvons rencontrer et vivre il demeure Fidèle. Au delà des tempêtes vint un jour ou le Seigneur opère le miracle et met fin à nos souffrances .
    Gardons toujours espoir même dans la vallée de l ombre de la mort il freint un chemin?
    Merci pour cette histoire ma belle?

  5. Seul DIEU est capable de faire cela et d’agir ainsi. Il est Merveilleux. Un grand témoignage cette histoire et ceci pour dire a ceux qui prient et l’invoquent IL agira certainement au bon moment. Merci

  6. Très intéressante, la puissance de Dieu est encore manifeste et une fois de plus démontré. Merci Seigneur pour ta présence dans ma vie

  7. Merci Seine Dieu tout puissant pour avoir agis avec puissance pour la maman qui ta tjs été fidèle t son fils Gloire à toi seul Seigneur Merciiiiii

  8. Histoire très édifiante, une raison de plus de s’abandonner à notre Seigneur JÉSUS CHRIST, Dieu est vraiment vivant . Merci d’avaoir accepter de partager ton histoire, puisse Dieu se souvienne encore de toi alors que tu as béni quelqu’un par ton témoignage.

    Be blessed.

  9. Dieu est miséricordieux , avec lui tout est grâce. Il est toujours présent quand on a besoin de lui. Kil soit loué aujourd’hui et à jamais. La femme a eu la foi et Dieu l’éternel des armées les a sauvés elle et son fils