De nos jours, les informations erronées abondent sur la toile. La plupart de ces informations proviennent de l’application WhatsApp. Il devient de plus en plus difficile de repérer les Fake news.
Pour pousser les utilisateurs à vérifier les informations parfois douteuses qu’ils reçoivent sur la messagerie, WhatsApp offre la possibilité de rechercher le contenu du message sur Google.
WhatsApp lutte contre les Fake news et multiplie les actions pour tenter d’endiguer le phénomène sur sa plateforme. Il y a quelques mois, en pleine crise de COVID-19, la messagerie avait choisi de limiter le nombre de discussions vers lesquelles il était possible de transférer un message.
Pour renforcer son combat contre la propagation d’informations erronées, WhatsApp vient d’inaugurer une fonctionnalité : Identifier les messages transférés et recherche sur le web. Cette nouvelle fonctionnalité va permettre aux utilisateurs de repérer les Fake news.
Désormais, quand un message transféré de nombreuses fois arrive sur le compte d’un utilisateur, celui-ci pourra facilement l’identifier.
En effet, WhatsApp a intégré dans sa messagerie un outil de recherche sur Internet pour pousser les utilisateurs à vérifier les informations parfois douteuses qu’ils reçoivent sur la messagerie.
Comment repérer les Fake news sur WhatsApp ?
Repérer les Fake news sur WhatsApp n’est pas de la mer à boire. Par ailleurs, il vous faudra une connexion internet et un navigateur.
En appuyant sur l’icône figurant une loupe, présent juste à côté du message, les utilisateurs pourront lancer une requête sur Google avec le contenu du message. Les utilisateurs y trouveront des informations et des sources complémentaires concernant le contenu du message reçu, rendant ainsi l’identification des Fake news plus aisée.
Cette nouvelle fonctionnalité est d’ores et déjà disponible aux USA, au Mexique, au Brésil, en Espagne, en Irlande, en Italie et au Royaume-Uni, sur Android, iOS et sur le Web.
Cette nouvelle fonctionnalité est également disponible dans certains pays d’Afrique. Les autres pays devront sans doute attendre encore un peu pour en bénéficier.
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